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Actualités marocaines
Comment Mohammed VI a fait du Maroc sa machine à cash
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[QUOTE="bouskan, post: 10045098, member: 290347"] Le souverain perçoit un salaire royal mensuel de 40.000 dollars, auquel sajoute 2,5 millions deuros par an pour la famille proche, et 31 millions deuros de subventions répartis selon son bon vouloir : « une somme dont lusage échappe naturellement à tout contrôle, mais on sait quau temps dHassan II, elle servait de caisse noire pour sassurer les faveurs de certaines personnalités politiques, marocaines ou étrangères et récompenser pour sa fidélité létrange tribu française des « amis du Maroc », composée de journalistes, dacadémiciens davocats et danciens responsables des services de renseignements ». Ces hôtes le lui rendent bien. Hassan II qui voulait intervenir à la télé française se fera inviter à sa demande- à lémission « 7 sur 7 » sur un simple coup fil à Bouygues Passons sur ses innombrables voitures de luxe, ses jets, ses tableaux, son festival royal subventionné par le royaume, ses « frais » vestimentaires qui sélèvent à 2 millions deuros par an, les immenses palais rénovés ou édifiés par son père pour des centaines de millions de dollars où il ne passait parfois que quelques heures. A labsolutisme politique teinté de terreur dHassan II a ainsi succédé, avec Mohammed VI, un système de confiscation organisé et légalisé. Où plutôt même au dessus des lois. Tout ce quil dépense dispendieusement ou « donne » au peuple lors de ses déplacements sort des poches de lEtat et tout ce que dépense Sa Majesté est payé par le peuple à travers limpôt. LEtat subventionne même les entreprises du roi. Chaque jour le peuple enrichit Sa Majesté. Un système gagnant-gagnant à sens unique. Autre exemple avec le « TGV marocain», marché remporté par la France, en compensation du fiasco sur le Rafale, considéré comme un caprice royal que lAgence Française pour le Développement a financé à 50%. Ainsi, le TGV marocain aura coûté 1 milliard aux contribuables français ! UNE PUISSANCE POLITIQUE QUI FAIT MAIN BASSE SUR LE DOMAINE ÉCONOMIQUE A mesure, que la génération Mohammed VI saffirme au pouvoir, écartant, les conseillers dHassan II, naît la « Monarchie des copains et coquins» où la compétence ne se révèle pas toujours un critère déterminant pour accéder aux entrailles du royaume. Quand la holding royale (ONA) bat de laile, plusieurs dirigeants se succèderont à sa tête. Les nouveaux conseillers du roi, le duo Mahidi-Bouhemou concocte la stratégie des « champions nationaux » : des entreprises en situation de monopole ou quasi-monopole dont le roi est actionnaire. Lépreuve de force est engagée avec les anciens partenaires, Axa, Danone et Auchan etc. Chacun revendra ses parts royales ou quittera le Maroc, laissant le Roi régner sur les marchés de lassurance, les télécoms, lagro-alimentaire, limmobilier, lénergie et la distribution. Ce dernier représente aujourdhui 25% du chiffre daffaires de lONA. Le Maroc devient la machine à cash du roi : « Une pieuvre royale » envisagée « comme le moyen dasseoir une puissance politique qui, absolutisme monarchique oblige, sexprimait jusque dans le domaine économique » écrivent les auteurs. [/QUOTE]
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