Convergence entre la France et le Maroc sur la question du Sahara

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Casablanca d'antan
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La grande majorité des membres de la Commission des affaires étrangères à l’Assemblée nationale française soutiennent la proposition marocaine d’autonomie et déplorent la position de l’Algérie.


Le député socialiste et membre de la Commission des affaires étrangères à l'Assemblée nationale française, Jean-Michel Boucheron, a mis l'accent, mercredi 8 juillet, sur la convergence entre l'immense majorité des députés français et le Maroc sur la question du Sahara. M. Boucheron s'exprimait à l'issue d'une réunion tenue, mercredi 8 juillet, entre le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taïeb Fassi Fihri, et les membres de la Commission des affaires étrangères à l'Assemblée nationale. Le député français, qui a mis en exergue le rôle fondamental que joue le Maroc en matière de sécurité et de développement dans la région, a souligné que ce sont les problèmes internes de l'Algérie qui créent des problèmes au Sahara. «Tant que l'Algérie n'aura pas résolu ses propres problèmes internes, il y aura évidemment des tensions dans cette zone», a expliqué M. Boucheron. Un autre député français, Dominique Souchet, du Mouvement pour la France (MPF), a rejoint les propos de M. Boucheron en affirmant que la majorité des membres de la Commission des affaires étrangères à l'Assemblée nationale sont très attentifs à la position marocaine.
«Nous sommes très nombreux à la Commission à accorder beaucoup d'intérêt à cette position marocaine d'ouverture», a-t-il noté. M. Souchet qui a qualifié la proposition marocaine d'autonomie de «très constructive» a déploré l'attitude de l'Algérie de maintenir fermées ses frontières avec le Maroc d'une manière unilatérale. Dans ce même cadre d'idées, le ministre marocain des Affaires étrangères a mis l'accent, lors de sa réunion avec les membres de la Commission des affaires étrangères, sur la nécessité pour les différentes parties de travailler dans le cadre des Nations unies pour parvenir à une solution politique négociée et de compromis à la question du Sahara. «Les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU sont claires. L'ensemble des parties doivent travailler, dans le contexte des Nations unies, pour parvenir à une solution politique négociée sur la base d'un esprit de compromis», a expliqué M. Fassi Fihri. Et d'ajouter que «le Maroc est prêt à s'investir dans cet exercice comme il l'a déjà fait lors des différents rounds de négociations». M. Fassi Fihri a rappelé que l'initiative marocaine est à l'origine de la dynamique créée au sein des Nations unies et que le Maroc a informé l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara, Christopher Ross, de son accord «sur la possibilité de préparer un 5ème round de négociations». Le diplomate marocain a souligné, par ailleurs, le cadre exceptionnel des relations franco-marocaines. «Ces relations trouvent aujourd'hui des possibilités de partenariat à renforcer grâce à la politique initiée par SM le Roi Mohammed VI aux plans politique, économique et socioculturel», a-t-il noté.



Par : Mohamed Aswab (avec Agences)
 

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Casablanca d'antan
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Bernard Kouchner : «Entre le Maroc et la France, il n’y a que de l’amitié et des projets»

Le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a affirmé, mercredi 8 juillet , à Paris, à l’issue de sa réunion avec son homologue marocain, Taïeb Fassi Fihri, que le Maroc et la France ont une attitude commune sur toutes les questions d’ordre international.


«Entre le Maroc et la France, il n'y a que de l'amitié et des projets». C'est en ces termes que le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a qualifié les relations entre les deux Etats. Le responsable français intervenait à l'issue d'une réunion avec le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taïeb Fassi Fihri, tenue, mercredi 8 juillet, dans la capitale française. Cette réunion, organisée en présence de l'ambassadeur du Maroc en France, El Mostapha Sahel, a été consacrée à l'examen de plusieurs questions se rapportant aux relations bilatérales entre les deux Etats ainsi que la situation au Moyen-Orient et la zone Atlantique sud. La rencontre entre les deux responsables a été ainsi l'occasion de mettre l'accent sur les bonnes relations qui lient le Royaume à la République française.

http://www.aujourdhui.ma/couverture-details70015.html
 
C'est entre l'Algérie et la france qu'il y a une divergence, qui se fait ressentir sur tous les plans. D'un autre côté, que ce soit l'Algérie ou le Maroc, la France nous perçoit comme des pays bougnouls, à manipuler.
 
La France n'est pas la bienvenue pour venir donner des leçons à qui que ce soit ; qu'elle regarde son passé comme il se doit et après elle pourra dire que c'est chez elle qu'on été crées les Droits de l'Homme. Pour l'instant ce n'est qu'un bout de papier, qu'on expose comme un outil de propagande dans les musées.
 
tant que membre principal avec droit au veto dans l,majliss al amn... la France a tout les atouts pour dire son mot dans le conflit cree par l,Algerie contre le Maroc...
et tant que ex-occupateur dans la region... la France sait tres bien qui a droit et qui joue cache cache derriere un groupe de traitre.
 
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L'étau se resserre sur les erreurs monumentales et mal calculées du gouvernement algérien.

Le manque de professionnalisme (les in chaa allah) ont réussi qu'à séparer deux peuples avec un facture lourde de cnséquences.

Dans les camps du Polisario c'est Hara kiri

Le bouton rouge OF s' éclaire sur le tableau de bord de Bouteflika.


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et ce que ce Ben l,Khadem a annonce ces derniers jours en disant que le Maroc ne sait pas ce qu,il veut j,espere que ce HAINEUX disparait une fois pour toute de nos regards car il n,est ni beau a voir ni beau a entendre...
esperant que cette gueule mechante nous montre et dit ce que son pays veut cacher derriere 30ans de conflit maitriser orienter et financer par lui et co
 
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