La création d'un jardin botanique .. ouvert au public ! (parc donabo-rmilet)

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Une véritable polémique a été créée de toutes pièces par un lugubre personnage qui, à force de bluff, de mensonges et de déformation de la réalité, est parvenu à induire en erreur une partie de la société civile tangéroise sensible à tout ce qui touche au patrimoine historique ou culturel de sa ville.

L’histoire a commencé lorsqu’une honnête citoyenne Tangéroise, Malika El Alaoui, qui habite depuis 38 ans au sein du Parc Donabo, dans la forêt de R’milet, a eu la lumineuse idée de partager ce merveilleux espace de verdure avec les familles tangéroises et les visiteurs de notre ville, en faisant transformer une parcelle de 7800 m² de cet espace forestier en un jardin botanique ouvert au public, en bordure de la route conduisant au CAP Spartel.

Cette idée qui a reçu l’aval des autorités communales et locales de notre ville, a fait l’objet d’une étude spécifique financée par l’initiatrice du projet, ayant démontré qu’une partie de la forêt était en voie de dégradation et qu’il devenait urgent d’y apporter les soins nécessaires.

C’est ce que nous explique Malika El Alaoui dans un communiqué que nous publions intégralement sous encadré, dans cette même page.

Cependant, aussitôt les travaux entrepris avec la précieuse contribution des Eaux et Forêts et de l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA) pour la réhabilitation de la zone morte des plantations forestières, cela a déplu à notre lugubre personnage précité, qui habite aussi dans la zone.

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https://www.lejournaldetanger.com/news.php?extend.2073.2
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Le projet du jardin botanique a reçu l’autorisation officielle

Malgré la véritable polémique créée de toutes pièces par un personnage demeurant au sein du Parc Donabo à Rmilet, dont l’objectif était de protéger sa propriété et de masquer les innombrables infractions qu’il a commises en élargissant sa demeure par la construction clandestine d’un étage et par l’extension illégale de son jardin, empiétant ainsi sur le domaine mitoyen ; en dépit donc du bluff et des mensonges débités par ce personnage, et en dépit de toutes ses gesticulations ridicules dans tous les sens pour induire en erreur une partie de la société civile tangéroise sensible, à juste titre, à tout ce qui touche au patrimoine historique, environnemental ou culturel de sa ville, nous apprenons avec un immense plaisir et une grande satisfaction que le projet écologique de création d’un jardin botanique dans la zone du Parc Donabo a reçu l’autorisation officielle pour sa réalisation.

Rappelons que l’histoire avait commencé lorsqu’une honnête citoyenne Tangéroise, qui habite depuis 38 ans au sein du Parc Donabo, dans la forêt de R’milet, a eu la lumineuse idée de partager ce merveilleux espace de verdure avec les familles tangéroises et les visiteurs de notre ville, en faisant transformer une parcelle de 7800 m² de cet espace forestier en un jardin botanique ouvert au public, en bordure de la route conduisant au Cap Spartel.

Cette idée qui avait d’abord reçu l’accord de principe des autorités communales et locales de notre ville, a fait l’objet d’une étude spécifique qui a donné lieu à des travaux préparatoires pour l’exécution de ce espace vert qui sera ouvert au public.

Cependant, aussitôt ces travaux entrepris avec la précieuse contribution des Eaux et Forêts et de l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA) pour la réhabilitation de la zone morte des plantations forestières, cela a déplu à notre personnage précité qui craint pour sa tranquillité, et tient à garder pour lui seul cet espace verdoyant tangérois, sans aucun désir de le partager avec les citoyens, leurs enfants, et nos touristes. Il est donc parti en guerre contre le projet de jardin botanique, faisant croire à qui voulait l’entendre que le Parc Donabo était convoité par une mafia de l’immobilier qui voulait le transformer en site bétonné.

Evidemment, il n’en est strictement rien, et finalement, la société civile tangéroise ne s’est pas avérée aussi dupe que l’escomptait le contestataire solitaire du projet écologique de jardin botanique.

Aujourd’hui, cet énergumène vient de recevoir le coup de grâce, cette fois avec l’autorisation officielle délivrée pour la réalisation du jardin botanique.
c’est dire que « Les chiens aboient et la caravane passe… ! ».!

Le Journal De Tanger
 
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