Créteil :une élève rackettée depuis des mois, torturée à la sortie de l'école

Une fillette, âgée de 12 ans, était rackettée depuis plusieurs mois par plusieurs adolescentes, âgées de 13 à 15 ans.
Mardi soir, les six assaillantes l'ont attendu à la sortie de son collège situé à Créteil, en région parisienne.
Elles ont sorti un long couteau et lui ont demandé de l'argent. Comme elle en avait pas, ils l'ont frappé, craché au visage et l'ont brûlé avec une cigarette.
Ils l'ont ensuite forcé à se déshabiller et ses bourreaux lui ont coupé les cheveux, avant de la contraindre à voler dans une boulangerie. La victime est couverte de bleus, brûlée au visage, et a la mâchoire déplacée.
Son calvaire n'aura pas duré plus d'une demi-heure, mais son père s'inquiète de ne pas la voir rentrer. C'est sa mère qui la retrouve, en sang, choquée, titubant près du cimetière de la ville
Les six adolescentes, dont la réputation, dans le quartier, est bien établie, ont été interpellées et placées en garde à vue mardi soir.
La victime a révélé à ses parents qu'elle était rackettée depuis le mois de décembre. Suite à ces confidences, la famille a décidé de déménager.
leparisien
 

etre2en1

intersex people are cool
VIB
Le Collège Plaisance à Côté de l'Hôpital Henri Mondor si je devine bien.

Mais quelle bande de malades complètements pourries ces gamines, faire ça à quelqu'un, une gamine plus jeune.
J'espère qu'elles vont payer cher.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Une fillette, âgée de 12 ans, était rackettée depuis plusieurs mois par plusieurs adolescentes, âgées de 13 à 15 ans.
Mardi soir, les six assaillantes l'ont attendu à la sortie de son collège situé à Créteil, en région parisienne.
Elles ont sorti un long couteau et lui ont demandé de l'argent. Comme elle en avait pas, ils l'ont frappé, craché au visage et l'ont brûlé avec une cigarette.
Ils l'ont ensuite forcé à se déshabiller et ses bourreaux lui ont coupé les cheveux, avant de la contraindre à voler dans une boulangerie. La victime est couverte de bleus, brûlée au visage, et a la mâchoire déplacée.
Son calvaire n'aura pas duré plus d'une demi-heure, mais son père s'inquiète de ne pas la voir rentrer. C'est sa mère qui la retrouve, en sang, choquée, titubant près du cimetière de la ville
Les six adolescentes, dont la réputation, dans le quartier, est bien établie, ont été interpellées et placées en garde à vue mardi soir.
La victime a révélé à ses parents qu'elle était rackettée depuis le mois de décembre. Suite à ces confidences, la famille a décidé de déménager.
leparisien

Et là encore, ce sont les victimes qui sont obligées de déménager et de laisser le terrain aux barbares... Mais déportez-les en Guyane, ces tarées ! :claque:
 

etre2en1

intersex people are cool
VIB
je confirme les cités de France sont vraiment violente.
c'est de la violence gratuite le plus souvent.
Ailleurs aussi, je suis dans une ville balnéaire et pas besoin d'une cité pour voir de la violence gratuite.
La semaine dernière, en transport en commun, on s'est fait insulter par des gens d'une voiture, ils ont failli provoquer un accident en voulant bloquer le bus pour juste nous insulter.
Soi disant le bus leur aurait coupé la priorité à un stop juste avant, sauf que tout du long du parcours les seuls stop donnent la priorité au bus, je ne sais pas ce que ces gens ont fumé, bu ou sniffé mais ça devait être du lourd.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Une fillette, âgée de 12 ans, était rackettée depuis plusieurs mois par plusieurs adolescentes, âgées de 13 à 15 ans.
Mardi soir, les six assaillantes l'ont attendu à la sortie de son collège situé à Créteil, en région parisienne.
Elles ont sorti un long couteau et lui ont demandé de l'argent. Comme elle en avait pas, ils l'ont frappé, craché au visage et l'ont brûlé avec une cigarette.
Ils l'ont ensuite forcé à se déshabiller et ses bourreaux lui ont coupé les cheveux, avant de la contraindre à voler dans une boulangerie. La victime est couverte de bleus, brûlée au visage, et a la mâchoire déplacée.
Son calvaire n'aura pas duré plus d'une demi-heure, mais son père s'inquiète de ne pas la voir rentrer. C'est sa mère qui la retrouve, en sang, choquée, titubant près du cimetière de la ville
Les six adolescentes, dont la réputation, dans le quartier, est bien établie, ont été interpellées et placées en garde à vue mardi soir.
La victime a révélé à ses parents qu'elle était rackettée depuis le mois de décembre. Suite à ces confidences, la famille a décidé de déménager.
leparisien

@UNIVERSAL , ne crois-tu pas qu'il faut euthanasier de tels déchets à forme humaine pour purifier la société? :fou:
 
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