La crise économique guette le Maroc

Le Chef du gouvernement Abdelilah Benkirane, aurait mal évalué l'ampleur de la crise économique dans laquelle se dépêtre le Maroc, car Abbas El Fassi et son gouvernement en auraient caché les signes annonciateurs.
L'indécision de Benkirane à ce jour, n'aurait d'égal que les déclarations contradictoires de ses ministres. Nizar Baraka, ministre de l'Economie et des Finances, a récemment brossé un tableau extrêmement pessimiste de l'économie nationale, mettant en garde contre la crise qui guette le Royaume. (...)

-Economie /Idriss Azami Al Idrissi,Nizar Baraka,Abdelilah Benkirane,Crise économique,Caisse de compensation,PIB,Politique économique

La crise économique guette le Maroc...
 
Elle ne le guette pas, le Maroc est deja touché par la crise suffit de lire les indicateurs macro, le probleme, c'est que cette politique de l'autruche risque d'aggraver encore plus le probleme, alors que le gouvernement doit demontrer sa capacité à rectifier le tir, corriger les betises commse durant des années et surtout etablir une fiscalité equitable de facon à ce que l'ensemble des marocains et surtout les plus aisés contribuent au fonctionnement du pays.

En depit des blocage structurels que connait le pays, le gouvernement devra mettre en oeuvre un plan sur plusieurs années à de sorte à industrialiser le pays, consolider et moderniser le secteur agricole, d'une part pour assurer une autosuffisance, mais egalement assurer une capacité d'exportation etc... Dans tous les cas, le staff doit montrer qu'il a les epaules pour gerer le pays.
 

plotsk

Salam
Nous sommes déjà en situation virtuelle de crise.

Avec un déficit budgétaire de 6-7% (équivalent au déficit du portugal), et une croissance qui s'affaiblit, nos partenaires commerciaux européens qui s'affaiblissent, on peut difficilement y échapper (pour ne pas dire qu'elle est déjà là).
La seule chose qui virtuellement nous sauve pour le moment, c'est notre retard qui fait qu'on pourrait difficilement avoir une croissance négative...
 
Le Chef du gouvernement Abdelilah Benkirane, aurait mal évalué l'ampleur de la crise économique dans laquelle se dépêtre le Maroc, car Abbas El Fassi et son gouvernement en auraient caché les signes annonciateurs.
L'indécision de Benkirane à ce jour, n'aurait d'égal que les déclarations contradictoires de ses ministres. Nizar Baraka, ministre de l'Economie et des Finances, a récemment brossé un tableau extrêmement pessimiste de l'économie nationale, mettant en garde contre la crise qui guette le Royaume. (...)

-Economie /Idriss Azami Al Idrissi,Nizar Baraka,Abdelilah Benkirane,Crise économique,Caisse de compensation,PIB,Politique économique

La crise économique guette le Maroc...


Comme quoi le Maroc est toujours une colonie française, les mêmes expressions, les mêmes sujets etc....

Le Maroc a toujours été en crise, c'est un pays sous developpé...faut pas l'oublier...et le Maroc s'en sortira mieu que les pays européens, car la main d'oeuve y est toujours moins cher...
 
J'ai lu un article dans les échos il y a deux jours, (indisponible sur le net malheureusement), Apparemment ce qui vient selon Nizar Baraka , c'est réforme plus en profondeur de la caisse de compensation et des mesures douanières, le modèle de la consommation commence à atteindre ses limites et une partie non-négligeable de la consommation marocaine se concentre sur des produits importés.

Apparemment le gouvernement étudie la mise en place de normes douanières discrètes pour ne pas avoir à répondre d'accusations de protectionnisme et de restrictions d’accès au marché marocain de la part de ses partenaires économiques.
 
Un pays du tiers-monde où le taux d'analphabétisation est élevé, où la sécu sociale et le chômage sont quasi inexistants est guettée par la crise?
Qu'est-ce que ça va être? Pauvres citoyens marocains... :(
 
Après cette armada d'interventions aussi pertinentes qu’intelligentes j'ai du mal à ajouter quelque chose.

Ce qui est sûr, c'est que seule la bêtise ne peut pas provoquer autant de dégâts, il y a trop d'identités non marocaines aigries qui répliquent et elles sentent grave.
 
J'ai lu un article dans les échos il y a deux jours, (indisponible sur le net malheureusement), Apparemment ce qui vient selon Nizar Baraka , c'est réforme plus en profondeur de la caisse de compensation et des mesures douanières, le modèle de la consommation commence à atteindre ses limites et une partie non-négligeable de la consommation marocaine se concentre sur des produits importés.

Apparemment le gouvernement étudie la mise en place de normes douanières discrètes pour ne pas avoir à répondre d'accusations de protectionnisme et de restrictions d’accès au marché marocain de la part de ses partenaires économiques.

L’absence d'un réseau d'intermédiaires structuré, générant et optimisant une valeur ajoutée interne, le contrabando qui a fait la renommée de souk dakhel à Tétouan, de Castillejos, la concurrence déloyale tirant les prix vers le bas, l'absence d'uniformisation de la formation des prix, secteur par secteur, desservent notre économie.
Nul besoin d'un protectionnisme douanier, mais nécessité de canaliser les importations par un réseau de distribution "tampon" générant une valeur ajoutée interne et une taxation adéquate distinguant les importations nécessaires de celles superflues, faisant office de levier et de mise à niveau pour le reste de l'économie.
Le chemin qui semble s'annoncer :
Optimisation des revenus fiscaux, de la taxe à la mise à la consommation en passant par les taxes locatives (révision du droit au bail), ou encore la campagne publicitaire de la Conservation foncière, en répartissant la charge sur tous les acteurs y compris ceux du secteur informel des petits commerces connu pour la non déclaration des temporaires, des manutentionnaires, des aides, des employés des petites entreprises personnelles ou familiales.
Révision des assiettes et des taxes professionnelles, patentes, cotisations salariales sur la base des chiffres d'affaires réels semble être le chemin qui s'annonce ...
En Europe les centrales d'achat des grandes surfaces, ne sont pas habilitées à traiter directement avec les entreprises et des fournisseurs étrangers, elle doivent passer nécessairement par des grossistes, des représentants, des importateurs, des acteurs qui sont ainsi insérés dans la chaîne d’inter-médiation et de la valeur ajoutée.
 

firar

VIB
familiales.

En Europe les centrales d'achat des grandes surfaces, ne sont pas habilitées à traiter directement avec les entreprises et des fournisseurs étrangers, elle doivent passer nécessairement par des grossistes, des représentants, des importateurs, des acteurs qui sont ainsi insérés dans la chaîne d’inter-médiation et de la valeur ajoutée.


Ou tu as vu ça.

Tu importes d’où tu veux comme tu veux.

Bon par contre tu peux avoir des intermédiaires en zone dite franche pour avaler une partie de la marge et baisser ses impôts sur les B I.

Mais devines à qui appartiennent ces intermédiaires.
 
Ou tu as vu ça.

Tu importes d’où tu veux comme tu veux.

Bon par contre tu peux avoir des intermédiaires en zone dite franche pour avaler une partie de la marge et baisser ses impôts sur les B I.

Mais devines à qui appartiennent ces intermédiaires.

Entre la théorie et la pratique ...
En tentant de récupérer un marché existant, suite au décès de notre représentant français sans succession, représentant qui couvrait BHV, Printemps, Carrefour, Auchan, France et Belgique etc ...
J'ai discuté personnellement avec l'encadrement des centrales d'achat, ils achètent français, pas de transit et opérations sous douanes, ni de dégroupage, ni de magasinage ...
 
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