Dans une déclaration au « Soir d’Algérie » le Ministre de l’Intérieur algérien vante la coopération « sécuritaire » de son département avec les Français, la formation reçue par ses agents de la part des anciens tortionnaires d’algériens et celle qu’il compte encore solliciter.
Dans l’aide apportée par les Français, la plus engagée, depuis le putsch des janvieristes est pour ceux qui en doutent encore celle du musellement des citoyens au grand profit du maintien de l’ordre favorable au développement es affaires de la Francafrique.
A « titre personnel » ce ministre pense que demander la repentance est de l’ordre du « dépassé » et que ressasser l’exigence n’avance à rien. Une pierre dans le jardin de ses « frères » au combat, Chérif ABBAS, Ministre des Anciens Moujahidines et Saïd ABADOU secrétaire général de l’Organisation Nationale des Moujahidines.
En portant le débat dans la rue le DRS lance un de ses ballons classiques qui témoigne de la zizanie qui règne au sein des décideurs algériens et la préparation de l’opinion à la signature par BOUTEFLIKA des accords prévus par la France qui, à la grande satisfaction de DOK verra sa police continuer à aller se former à Bariz.
Dans l’aide apportée par les Français, la plus engagée, depuis le putsch des janvieristes est pour ceux qui en doutent encore celle du musellement des citoyens au grand profit du maintien de l’ordre favorable au développement es affaires de la Francafrique.
A « titre personnel » ce ministre pense que demander la repentance est de l’ordre du « dépassé » et que ressasser l’exigence n’avance à rien. Une pierre dans le jardin de ses « frères » au combat, Chérif ABBAS, Ministre des Anciens Moujahidines et Saïd ABADOU secrétaire général de l’Organisation Nationale des Moujahidines.
En portant le débat dans la rue le DRS lance un de ses ballons classiques qui témoigne de la zizanie qui règne au sein des décideurs algériens et la préparation de l’opinion à la signature par BOUTEFLIKA des accords prévus par la France qui, à la grande satisfaction de DOK verra sa police continuer à aller se former à Bariz.