Pas d'arabophone dans les services de renseignements!

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PLD (Peace, Love and Diversity)
http://www.demorgen.be/binnenland/niemand-begreep-wat-er-in-molenbeek-gaande-was-ba398a0e/


Article sur le lien est en néerlandais, si j'ai bien compris, il dit que les services de renseignements ne comprenaient pas ce qui se passait a molenbeek car les fonctionnaires ne comprenaient ni l'arabe ni le bèrbère....


hallucinant non? si j ai bien compris cet article c 'est inquiétant car si il y aurait eu des arabophones ou berberophones a la sureté on aurait évité les attentats?


il est quand même évident que l'approche de personnes avec des cultures et langues différentes peut être d'un grand soutien pour comprendre certains faits et donc de neutraliser certaines menaces.




Niemand begreep wat er in Molenbeek gaande was
Staatsveiligheid heeft amper medewerkers die Arabisch spreken

Personne ne comprenait ce qui se passait à Molenbeek
Sûreté de l'Etat a à peine employés qui parlent l'arabe


Alors qu'en France il y a une diversité dans les services de renseignement depuis déjà une bonne dizaine d'année http://www.bladi.info/threads/maghrebins-rg.92736/ en Belgique, la discrimination aveugle (ce n'est pas la seule cause) tellement qu'on en engage pas là ou c'est essentiel..... super inquiétant ce qui s apparente a un manque de professionnalisme flagrant....

Je suis convaincu que c'est grâce aux fonctionnaire d'origine maghrébines dans les services de renseignements français que des attentats ont été déjoués ces dernières années....

J'ai envie de dire que si Molenbeek était situé en France, il est plus que probable que ces horribles attentats n auraient pas eu lieu.... j'ai lu cette remarque dans un journal français....
 

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voila un article qui date déjo de 2006


De plus en plus de Maghrebins dans les RG

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L'Express du 23/03/2006
Exclusif
Avec les flics de l'ombre

par Eric Pelletier, Romain Rosso

Ils font partie des Renseignements généraux. 120 policiers qui ont pour mission de combattre le terrorisme. Avec des moyens exceptionnels et les matériels les plus sophistiqués, la Section nationale de recherches opérationnelles est chargée de repérer les activistes. Un service très spécial que L'Express a pu suivre pendant six mois dans la surveillance des réseaux islamistes

Reporatge photo


Cliquez sur l'image pour voir le reportage

Derrière une lourde porte blindée, au détour d'un dédale de couloirs biscornus, s'ouvre l'un des univers les plus confidentiels du ministère de l'Intérieur. Un monde fermé, soumis à la règle du secret-défense. Les hommes et les femmes qui composent la Section nationale de recherches opérationnelles (SNRO) sont les yeux et les oreilles de la Direction centrale des renseignements généraux dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, basque, corse et islamiste.


Pendant près de six mois, L'Express a pu suivre - y compris dans les missions les plus sensibles - le travail de ces 120 fonctionnaires chargés de détecter et de surveiller les filières du djihad. Les attentats aveugles de Madrid, en mars 2004 (191 morts), et de Londres, en juillet 2005 (56 morts, dont les kamikazes), ont montré l'impérieuse nécessité de déceler les réseaux dormants avant qu'ils ne passent à l'action.


Les surveillances de la SNRO peuvent durer des semaines, voire des années, comme lors de l'enquête menée sur Safé Bourada. Cet islamiste, condamné dans le cadre des attentats de 1995, était suivi depuis sa sortie de prison, en 2003. Pendant deux ans, à Evreux (Eure), ces policiers de l'ombre ont vécu à son rythme, épousant ses habitudes, apprenant à reconnaître les intonations de sa voix au téléphone, lors de ses déplacements en Egypte. Ils ont filmé et photographié le groupe qu'il était soupçonné de constituer au pied d'une cité de Trappes (Yvelines). Les informations alarmistes recueillies au cours des mois ont conduit la police à lancer un coup de filet spectaculaire, le 26 septembre 2005. D'autres individus ont été depuis identifiés par la section «étrangers et minorités» des RG, qui surveille les lieux de culte et qui a transmis ses informations à la SNRO.


Ce matin-là, à l'aéroport militaire de Villacoublay (Yvelines), une petite équipe se retrouve sur le tarmac. Du matériel sensible doit être transféré par avion spécial pour une mission en province: une caméra miniaturisée, de la taille d'un pouce, doit être posée, la nuit suivante, devant un appartement. Dans les bagages, on trouve également des optiques capables de saisir l'image d'un visage à plus de 1 kilomètre de distance! Le dispositif se met en place, entre chien et loup. Pas question d'être surpris par une voisine, un gardien d'immeuble, encore moins par une patrouille de gendarmerie ou de policiers en tenue. Mieux vaut parfois inventer un mensonge crédible que d'être obligé d'exhiber sa carte professionnelle... Pour l'équipe de planque, tout se passe sans incident, excepté la visite inopportune d'une colonie de rats... Les images, numériques et cryptées, sont transmises par satellite directement au ministère de l'Intérieur. L'angle de prise de vue de la caméra peut même être modifié à distance. Ces clichés sont ensuite disséqués par la mémoire du service: l'unité d'analyse opérationnelle.


Ailleurs, à Paris, dans les sous-sols d'un ancien commissariat, ceux que l'on surnomme «les bidouilleurs» préparent une autre mission. Ce groupe technique fournit le matériel pour les quatre équipes qui se relaient sur le terrain. Sous des mètres de béton, les anciennes geôles de garde à vue servent d'entrepôt à un étonnant bric-à-brac, qui relève à la fois de l'atelier d'un bricoleur du dimanche et du laboratoire de Mister Q, le savant de James Bond. Il contient toutes sortes d'objets hétéroclites (accessoires de bureau, mobilier urbain, etc.) susceptibles d'accueillir une caméra high-tech. Une technologie coûteuse. Le budget de la SNRO, mystère bien gardé, fait des envieux dans les services plus traditionnels. La direction des RG assume: le recentrage des missions vers des activités opérationnelles, et en particulier dans la lutte contre l'islamisme radical, est une priorité du ministre de l'Intérieur.


«La technologie a beau devenir de plus en plus perfectionnée, elle ne remplacera jamais l'œil humain», souligne le commissaire divisionnaire Jean-Marc Luca, le patron de la section. Issus de tous les services de police, ses fonctionnaires ne ressemblent pas aux agents secrets du cinéma. Il n'y a d'ailleurs pas de profil type pour entrer à la SNRO. «Plus on sera divers, mieux on s'adaptera aux situations nouvelles et inattendues», poursuit Luca. Le service recrute aussi bien des femmes que des hommes, des Français de souche que, de plus en plus, des jeunes d'origine maghrébine.


L'agent doit se fondre dans le paysage, quel qu'il soit: village basque, montagne corse, banlieue de la Seine-Saint-Denis. L'une des ficelles des filatures: regarder les mains du suspect plutôt que croiser son regard et risquer de trahir une émotion. Faux touristes, pseudo-turfistes ou couple imaginaire: la panoplie des policiers est plutôt éclectique. Dans les bureaux du ministère, une armoire renferme toutes ces précieuses «tenues de camouflage urbain». Lors d'une filature, le «suiveur» doit disposer au minimum de chaussures silencieuses, d'un plan de ville, d'un stylo, d'un Dictaphone, d'une carte de téléphone, de petite monnaie, d'un ticket de métro et d'un émetteur vocal, baptisé «discret», caché dans la manche. «Quand on donne une information à la radio, ça doit être aussi sec qu'un clic-clac de culasse», insiste Pierre, formateur à la SNRO. Toutes les nouvelles recrues intègrent ces astuces au cours de stages organisés dans une ville qui n'existe nulle part. Du moins officiellement. Inutile, en effet, de rechercher «X ville» sur une carte: elle a été entièrement reconstituée pour les besoins d'entraînement de la Direction générale de la Police nationale.


Des exercices de tir et de combat sont également au programme, mais ils visent plutôt à sortir d'une mauvaise passe, en cas d'extrême urgence. Car l'objectif du service est non pas d'interpeller les individus potentiellement dangereux - sauf, bien sûr, s'ils s'apprêtent à passer à l'action - mais de les surveiller. Les enquêteurs apprennent aussi à se méfier des islamistes qui, comme eux, sont devenus des spécialistes de la dissimulation. Tel cet activiste revenu aminci et rasé d'un séjour en Afghanistan, alors qu'il avait été photographié en France barbu et bien en chair.


Au nom de la lutte contre le terrorisme, les policiers disposent de pouvoirs élargis: sonorisation, images enregistrées à l'insu de leurs objectifs. Les avocats dénoncent régulièrement l' «opacité» de ces dossiers de renseignement. «Ce que l'on fait est entièrement légal, même si nos informations ne sont pas toutes exploitables sur le plan judiciaire, assure un enquêteur. Notre boulot? Transmettre un rapport bien ficelé aux services de police judiciaire, comme la Division nationale antiterroriste. On les conduit jusqu'à la porte du suspect. Notre travail s'arrête lorsqu'elle vole en éclats. Ensuite, on disparaît.» Dans l'ombre.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Si c'est vrai que la Belgique n'a pas d'Arabophones dans ses services secret (Car ca me surprend), c'est que c'est vraiiiiment des amateurs !!!! Et c'est assez grave pour un pays comme la Belgique.
 

compteblad

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Si c'est vrai que la Belgique n'a pas d'Arabophones dans ses services secret (Car ca me surprend), c'est que c'est vraiiiiment des amateurs !!!! Et c'est assez grave pour un pays comme la Belgique.
un


je ne comprend pas très bien le flamand, mais c'est ce que j'ai pu comprendre de l'article que j'ai mis en lien...un néérlandophone pourrait confirmer?

si c'est vrai, cet amateurisme est extrêmement grave et c'est alors probablement une des causes/explications au fait que ces crapules ont pu passer à l'action sans se faire repérer...c'estce que j'ai lu dans une intervention sur le figaro.

Au délà de cet aspect d'absence de diversité ethnique dans les services de renseignements belges, il y a apparemment un manque de moyens....c 'est ce que j'ai lu dans une intervention d'un chercheur dans un article sur le figaro..... il disait que si les RG français aurait pu avoir accès à Bruxelles ou si Bruxelles était en France, et bien ces attentats n'auraient probablement pas eu lieu....

je pense que la diversité permet une éfficacité, si par exemple il y a une menace de la mafia chinoise en Suisse par exemple, je suis convaincu que les différents service compétents suisses engageraient des agents qui comprennent le chinois et surtout de culture chinoise pour mieux faire face à cette mafia.... ce raisonnement rationnel et raisonnable même un enfant peut l'adopter!
 
http://www.demorgen.be/binnenland/niemand-begreep-wat-er-in-molenbeek-gaande-was-ba398a0e/


Article sur le lien est en néerlandais, si j'ai bien compris, il dit que les services de renseignements ne comprenaient pas ce qui se passait a molenbeek car les fonctionnaires ne comprenaient ni l'arabe ni le bèrbère....


hallucinant non? si j ai bien compris cet article c 'est inquiétant car si il y aurait eu des arabophones ou berberophones a la sureté on aurait évité les attentats?


il est quand même évident que l'approche de personnes avec des cultures et langues différentes peut être d'un grand soutien pour comprendre certains faits et donc de neutraliser certaines menaces.




Niemand begreep wat er in Molenbeek gaande was
Staatsveiligheid heeft amper medewerkers die Arabisch spreken

Personne ne comprenait ce qui se passait à Molenbeek
Sûreté de l'Etat a à peine employés qui parlent l'arabe


Alors qu'en France il y a une diversité dans les services de renseignement depuis déjà une bonne dizaine d'année http://www.bladi.info/threads/maghrebins-rg.92736/ en Belgique, la discrimination aveugle (ce n'est pas la seule cause) tellement qu'on en engage pas là ou c'est essentiel..... super inquiétant ce qui s apparente a un manque de professionnalisme flagrant....

Je suis convaincu que c'est grâce aux fonctionnaire d'origine maghrébines dans les services de renseignements français que des attentats ont été déjoués ces dernières années....

J'ai envie de dire que si Molenbeek était situé en France, il est plus que probable que ces horribles attentats n auraient pas eu lieu.... j'ai lu cette remarque dans un journal français....

Je pense pas qu'ils s'expriment en arabe/darija/tamzight.
Je pense que la langue maternelle de tous ces jeunes ******** est le français/néerlandais!
Qd tu vois les gens de S4B; ils s'expriment dans la langue que les jeunes comprennent.


Mais ca reste étonnant, ils ont besoin de ces compétences ne fut-ce que pour comprendre/analyser la propagande sur internet, forums,... des sites étrangers. Si c'est le pas le cas c'est... une autre histoire belge!
 
Dernière édition:

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voilà un article qui va dans le même sens de ce qui a été dit plus haut....



http://www.lacapitale.be/1425121/ar...la-plus-grosse-proportion-de-departs-en-syrie


Attentats à Paris: "Alors qu'ils ont la plus grosse proportion de départs en Syrie des pays occidentaux, les Belges ne sont pas au niveau"
Belga

Comme après chaque attentat islamiste réussi, le massacre du 13 novembre provoque des interrogations sur d’éventuelles «failles» dans les systèmes antiterroristes français et européens. Pour les pires attaques commises sur le sol français, des dysfonctionnements semblent s’être accumulés.

En l’état actuel de l’enquête, le plus grave semble être le cas de Samy Amimour: ce Français de 28 ans, soupçonné de vouloir partir au Yémen, est inculpé en octobre 2012 pour «association de malfaiteurs terroristes», placé sous contrôle judiciaire. Ce qui ne l’empêche pas de rejoindre, un an plus tard, la «terre de djihad» syrienne.

Cela provoque l’émission d’un mandat d’arrêt international. Malgré ça, il parvient à rentrer en France incognito pour participer, vendredi soir à Paris, aux attentats.

«On a un souci de contrôle aux frontières Schengen, et un gros», assure à l’AFP Alain Chouet, ancien chef du service de renseignement de sécurité à la DGSE (services de renseignement extérieurs). «Son arrivée aurait dû provoquer la levée d’un drapeau rouge. Mais ces gars maîtrisent bien les techniques d’entrée et de sortie de Schengen, pour l’avoir beaucoup pratiqué».

«S’il a pris soin de ne pas rentrer par une frontière française, personne ne l’a vu. S’il rentre par la Belgique, par exemple par un vol low-cost à Charleroi... Allez-y à Charleroi, vous verrez les contrôles», ajoute-t-il.



Les Belges ne sont pas au niveau

D’autres membres du commando, installés en Belgique, étaient connus par ailleurs de la police belge. « Vous comprendrez bien que si les Belges ne nous préviennent pas, ici on ne peut rien faire », confiait lundi à l’AFP une source policière.

Ces faisceaux d’indices, ces signalements, ce mandat d’arrêt international auraient dû constituer les points d’un schéma qui, en les reliant, auraient pu conduire les enquêteurs, en France ou en Belgique, à passer à l’action contre cette cellule avant qu’elle n’ensanglante Paris.

«Il y a trois hypothèses», explique à l’AFP un ancien spécialiste du contre-terrorisme à la DGSE, sous couvert d’anonymat. «Soit personne n’a rien vu, et c’est un gros souci; soit on a vu des trucs et on ne les a pas compris, ce qui est aussi un problème; soit on a vu des trucs et malgré tout l’équipe a pu passer à l’action».

«Pour le renseignement anti-jihadiste, la Belgique est sous bouclier français. Et il faut bien le dire, alors qu’ils ont la plus grosse proportion de départs en Syrie des pays occidentaux, les Belges ne sont pas au niveau», poursuit-il. «Dans cette équipe beaucoup de mecs sont connus à Bruxelles, quelqu’un s’est manifestement planté».
 

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@cYISn,

tu ne peux pas généraliser en disant, qu'ils ne parlent que telle langue, ce qui est certain est que vu leurs origines, il y a forcément de l'arabe ou du tamazight qui est parlé....
 

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voilà un article qui va dans le même sens de ce qui a été dit plus haut....



http://www.lacapitale.be/1425121/ar...la-plus-grosse-proportion-de-departs-en-syrie


«Il y a trois hypothèses», explique un ancien spécialiste du contre-terrorisme à la DGSE, sous couvert d’anonymat. «Soit personne n’a rien vu, et c’est un gros souci; soit on a vu des trucs et on ne les a pas compris, ce qui est aussi un problème; soit on a vu des trucs et malgré tout l’équipe a pu passer à l’action».

«Pour le renseignement anti-jihadiste, la Belgique est sous bouclier français. Et il faut bien le dire, alors qu’ils ont la plus grosse proportion de départs en Syrie des pays occidentaux, les Belges ne sont pas au niveau», poursuit-il. «Dans cette équipe beaucoup de mecs sont connus à Bruxelles, quelqu’un s’est manifestement planté».



Dans une intervention d'un spécialiste je ne sais dans quel lien (j essaie de retrouver le lien), l absence d'agents de renseignement de culture du "Sud" serait mis en avant pour expliquer les différents échecs ces dernières années et la difficulté de compréhension de menaces de certaines nature....

je ne crains que le racisme/discriminations soit à un point tel élevé en Belgique qu'on a refusé d'engager du personnel aux origines du Sud dans les services de renseignements pour ce motif alors que dans tous les services de renseignements du monde il y a des agents...de toutes origines, la raison essentielle étant l'efficience....
 
@cYISn,

tu ne peux pas généraliser en disant, qu'ils ne parlent que telle langue, ce qui est certain est que vu leurs origines, il y a forcément de l'arabe ou du tamazight qui est parlé....

Entre belgo marocains nés ici en Belgique, on est très peu à parler en darija ou dans une langue berbère, voire inexistant à le faire!

Pt être je généralise mais c'est très rare!
 
L'article ne dit pas qu'il n'y en a pas, évidemment qu'il y en a, mais pas assez d'agents arabophone.
Les services de police en usent déjà tous les jours dans leurs écoutes téléphoniques.

Et Qu'on peut difficilement faire comme la France et ses milliers d'agents des divers services de sécurité.

Mais bon, vu le profil des personnes qui ont commis ses actes, leur connaissance de l'arabe doit être médiocre, c'est plutôt le français et le néerlandais qui est utilisé teinté d'expressions arabes.

Pour le tamazight.... Pas très utile pour l'instant du moins.
 

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@Ben,

je crois que le benaoud et les abseslam salah sont originaire du rif non?

comment tu sais qu'il y en a? su je te disais qu'il y en a pas?

et même si les salam et banaoud ou je sais quoi ne parlaient que français, il estcertains que plusieurs de leurs collabos parlent arabe ou amazigh....tu n' es peut etre pas au courant qu'un passeport eggyptien et syrien ont été retrouvé et que l'un des kamikaze serait un daéchien syrien qui se faisait passer pour un réfugié...


Quoiqu'il en soit, au delà de cette affaire, un service de sécurité se doit d'avoir des collaborateurs de toutes origines non seulement pour des raisons évidentes de sécurité mais aussi pour des raisons d'équiité puisque dans ce qu'on appelle une démocratie les services devraient être à l'image de la société.....marginaliser des individus uniquement en raison de leur origine ethnique est non seulement contraire au principes démocratques mais est surtout source d echec.....
 

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http://www.bladi.info/threads/maghrebins-rg.92736/

Article qui date de 10 ans déjà,....il y a un REEL problèmes en Belgique.... Pour neutraliser la menace il faut connaître la langues parlées par ceux qui sont recherchées....non? pas capable de comprendre ça? Est ce que on (la population dans toute son ensemble) somme protégé???





De plus en plus de Maghrebins dans les RG

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L'Express du 23/03/2006
Exclusif
Avec les flics de l'ombre

par Eric Pelletier, Romain Rosso

Ils font partie des Renseignements généraux. 120 policiers qui ont pour mission de combattre le terrorisme. Avec des moyens exceptionnels et les matériels les plus sophistiqués, la Section nationale de recherches opérationnelles est chargée de repérer les activistes. Un service très spécial que L'Express a pu suivre pendant six mois dans la surveillance des réseaux islamistes

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Cliquez sur l'image pour voir le reportage

Derrière une lourde porte blindée, au détour d'un dédale de couloirs biscornus, s'ouvre l'un des univers les plus confidentiels du ministère de l'Intérieur. Un monde fermé, soumis à la règle du secret-défense. Les hommes et les femmes qui composent la Section nationale de recherches opérationnelles (SNRO) sont les yeux et les oreilles de la Direction centrale des renseignements généraux dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, basque, corse et islamiste.


Pendant près de six mois, L'Express a pu suivre - y compris dans les missions les plus sensibles - le travail de ces 120 fonctionnaires chargés de détecter et de surveiller les filières du djihad. Les attentats aveugles de Madrid, en mars 2004 (191 morts), et de Londres, en juillet 2005 (56 morts, dont les kamikazes), ont montré l'impérieuse nécessité de déceler les réseaux dormants avant qu'ils ne passent à l'action.


Les surveillances de la SNRO peuvent durer des semaines, voire des années, comme lors de l'enquête menée sur Safé Bourada. Cet islamiste, condamné dans le cadre des attentats de 1995, était suivi depuis sa sortie de prison, en 2003. Pendant deux ans, à Evreux (Eure), ces policiers de l'ombre ont vécu à son rythme, épousant ses habitudes, apprenant à reconnaître les intonations de sa voix au téléphone, lors de ses déplacements en Egypte. Ils ont filmé et photographié le groupe qu'il était soupçonné de constituer au pied d'une cité de Trappes (Yvelines). Les informations alarmistes recueillies au cours des mois ont conduit la police à lancer un coup de filet spectaculaire, le 26 septembre 2005. D'autres individus ont été depuis identifiés par la section «étrangers et minorités» des RG, qui surveille les lieux de culte et qui a transmis ses informations à la SNRO.
 

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Ce matin-là, à l'aéroport militaire de Villacoublay (Yvelines), une petite équipe se retrouve sur le tarmac. Du matériel sensible doit être transféré par avion spécial pour une mission en province: une caméra miniaturisée, de la taille d'un pouce, doit être posée, la nuit suivante, devant un appartement. Dans les bagages, on trouve également des optiques capables de saisir l'image d'un visage à plus de 1 kilomètre de distance! Le dispositif se met en place, entre chien et loup. Pas question d'être surpris par une voisine, un gardien d'immeuble, encore moins par une patrouille de gendarmerie ou de policiers en tenue. Mieux vaut parfois inventer un mensonge crédible que d'être obligé d'exhiber sa carte professionnelle... Pour l'équipe de planque, tout se passe sans incident, excepté la visite inopportune d'une colonie de rats... Les images, numériques et cryptées, sont transmises par satellite directement au ministère de l'Intérieur. L'angle de prise de vue de la caméra peut même être modifié à distance. Ces clichés sont ensuite disséqués par la mémoire du service: l'unité d'analyse opérationnelle.




Ailleurs, à Paris, dans les sous-sols d'un ancien commissariat, ceux que l'on surnomme «les bidouilleurs» préparent une autre mission. Ce groupe technique fournit le matériel pour les quatre équipes qui se relaient sur le terrain. Sous des mètres de béton, les anciennes geôles de garde à vue servent d'entrepôt à un étonnant bric-à-brac, qui relève à la fois de l'atelier d'un bricoleur du dimanche et du laboratoire de Mister Q, le savant de James Bond. Il contient toutes sortes d'objets hétéroclites (accessoires de bureau, mobilier urbain, etc.) susceptibles d'accueillir une caméra high-tech. Une technologie coûteuse. Le budget de la SNRO, mystère bien gardé, fait des envieux dans les services plus traditionnels. La direction des RG assume: le recentrage des missions vers des activités opérationnelles, et en particulier dans la lutte contre l'islamisme radical, est une priorité du ministre de l'Intérieur.


«La technologie a beau devenir de plus en plus perfectionnée, elle ne remplacera jamais l'œil humain», souligne le commissaire divisionnaire Jean-Marc Luca, le patron de la section. Issus de tous les services de police, ses fonctionnaires ne ressemblent pas aux agents secrets du cinéma. Il n'y a d'ailleurs pas de profil type pour entrer à la SNRO. «Plus on sera divers, mieux on s'adaptera aux situations nouvelles et inattendues», poursuit Luca. Le service recrute aussi bien des femmes que des hommes, des Français de souche que, de plus en plus, des jeunes d'origine maghrébine.
 

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L'agent doit se fondre dans le paysage, quel qu'il soit: village basque, montagne corse, banlieue de la Seine-Saint-Denis. L'une des ficelles des filatures: regarder les mains du suspect plutôt que croiser son regard et risquer de trahir une émotion. Faux touristes, pseudo-turfistes ou couple imaginaire: la panoplie des policiers est plutôt éclectique. Dans les bureaux du ministère, une armoire renferme toutes ces précieuses «tenues de camouflage urbain». Lors d'une filature, le «suiveur» doit disposer au minimum de chaussures silencieuses, d'un plan de ville, d'un stylo, d'un Dictaphone, d'une carte de téléphone, de petite monnaie, d'un ticket de métro et d'un émetteur vocal, baptisé «discret», caché dans la manche. «Quand on donne une information à la radio, ça doit être aussi sec qu'un clic-clac de culasse», insiste Pierre, formateur à la SNRO. Toutes les nouvelles recrues intègrent ces astuces au cours de stages organisés dans une ville qui n'existe nulle part. Du moins officiellement. Inutile, en effet, de rechercher «X ville» sur une carte: elle a été entièrement reconstituée pour les besoins d'entraînement de la Direction générale de la Police nationale.


Des exercices de tir et de combat sont également au programme, mais ils visent plutôt à sortir d'une mauvaise passe, en cas d'extrême urgence. Car l'objectif du service est non pas d'interpeller les individus potentiellement dangereux - sauf, bien sûr, s'ils s'apprêtent à passer à l'action - mais de les surveiller. Les enquêteurs apprennent aussi à se méfier des islamistes qui, comme eux, sont devenus des spécialistes de la dissimulation. Tel cet activiste revenu aminci et rasé d'un séjour en Afghanistan, alors qu'il avait été photographié en France barbu et bien en chair.


Au nom de la lutte contre le terrorisme, les policiers disposent de pouvoirs élargis: sonorisation, images enregistrées à l'insu de leurs objectifs. Les avocats dénoncent régulièrement l' «opacité» de ces dossiers de renseignement. «Ce que l'on fait est entièrement légal, même si nos informations ne sont pas toutes exploitables sur le plan judiciaire, assure un enquêteur. Notre boulot? Transmettre un rapport bien ficelé aux services de police judiciaire, comme la Division nationale antiterroriste. On les conduit jusqu'à la porte du suspect. Notre travail s'arrête lorsqu'elle vole en éclats. Ensuite, on disparaît.» Dans l'ombre.
 

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Je ne sais pas si c'est du racisme, des discriminations ou de l'incompétence qui explique que dans les services de renseignements en BE il n'y a pas de maghrébins.....si c'est cela, on peut clairement donc en déduire que le racisme est un frein à l'efficience du fonctionnement des services de sécurités en Belgique...
 

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A tous les services de renseignements qui viendraient à lire ceci : je suis disponible.


Tu devras mettre une Burqa et aller espionner dans les rue de Molenbeek.:eek:.... y compris en montant avec des barbus dans leur chambre pour les faire chanter...mais bon quand ils vont découvrir que t'es un homme, t'appelle la centrale! :D

Il faut donc les faire parler au lit ou ailleurs avant qu'il ne découvrir que t'es un mec! :bizarre:
 
Tu devras mettre une Burqa et aller espionner dans les rue de Molenbeek.... y compris en montant avec des barbus dans leur chambre pour les faire chanter...mais bon quand ils vont découvrir que t'es un homme, t'appelle la centrale!

Il faut donc les faire parler au lit ou ailleurs avant qu'il ne découvrir que t'es un mec!

Je parlais pour les écoutes :p Mais oui je pourrais infiltrer même en tant que mec, je mets une robe "islamiste", une fo9iya :bizarre:
Mais seulement si c'est très très très très très très très très très très très très très très très très très bien payé ^^
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
Je parlais pour les écoutes Mais oui je pourrais infiltrer même en tant que mec, je mets une robe "islamiste", une fo9iya
Mais seulement si c'est très très très très très très très très très très très très très très très très très bien payé ^^


ok mais si le suspect"barbus" te demande de te coucher avant d'avoir obtenu les infos?:D que fais tu? :eek: bon, lui ne voit que ta burqua et tes beaux yeux bleus...il croit que t'es une jolie franco maghrébine.... et vu qu'ils sont pervers.....

sachant les risques la DST te paie disons 100000 euros par mission..... ça te va? :p
 
ok mais si le suspect"barbus" te demande de te coucher avant d'avoir obtenu les infos? que fais tu? bon, lui ne voit que ta burqua et tes beaux yeux bleus...il croit que t'es une jolie franco maghrébine.... et vu qu'ils sont pervers.....

sachant les risques la DST te paie disons 100000 euros par mission..... ça te va?

Mais pourquoi tu voudrais que j'y aille en femme, j'ai déjà la barbe je m'infiltre comme ca je te dis :p
Si il fait ca ou toute autre déviance, je lui retourne le cerveau, je lui dis que c'est HARAM et je le dénonce au N+2, et je deviens N+1 à sa place, ou 8ekak ghadia ^^

500 mille euros, la3b 8ada ? :D
 

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Mais pourquoi tu voudrais que j'y aille en femme, j'ai déjà la barbe je m'infiltre comme ca je te dis
Si il fait ca ou toute autre déviance, je lui retourne le cerveau, je lui dis que c'est HARAM et je le dénonce au N+2, et je deviens N+1 à sa place, ou 8ekak ghadia ^^

500 mille euros, la3b 8ada ?


non il parait que les barbus ne font de confidences qu'aux femmes en burqua!!!!:D alors? :p
 
Tu manques d'honnetete intellectuelle @compteblad

Dans l'article original que tu t'es charge de nous traduire, a aucun moment il n'est mentionne le mot "berbere", mais bien uniquement d'arabe.
Alors meme si dans les faits les 2 langues sont representees a bxl, tu devrais eviter de transformer les articles a ta guise qui me semble bien teintee de berberophobie d'apres ce que je lis de tes interventions
 

compteblad

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Tu manques d'honnetete intellectuelle @compteblad

Dans l'article original que tu t'es charge de nous traduire, a aucun moment il n'est mentionne le mot "berbere", mais bien uniquement d'arabe.
Alors meme si dans les faits les 2 langues sont representees a bxl, tu devrais eviter de transformer les articles a ta guise qui me semble bien teintee de berberophobie d'apres ce que je lis de tes interventions

Diogène, la prochaine fois avant de dire des inepties tu devrais t'abstenir. Apparemment ici, on peut parler de toutes les communautés sauf des rifains....Dès qu'on parle de rifains, deux bladinautes se sentent attaqués...franchement je ne comprend pas... je viens de lire la déclaration de BDW, j'étais en colère, mais quand on te lit toi et deux autres ici sur ce forum, je me demande si finalement BDW n'a pas raison???

Je m'explique, en effet, l'article ne parle pas formellementde langue berbere, mais tout le monde sait que lorsque un journaliste évoque ce type de sujet, on part tjs du principe que les maghrébins de Belgique ou même d'Europe sont Arabes. Je dirai même que lorsque tu lis les interventions dans les forums européens et même chez bcp de journalistes on considère les pays du Maghreb comme étant des pays arabes.... La plupart des réactions racistes que j'ai vu aujourd'hui sur le net, on parle de "sales arabes"... Or, les personnes un peu plus averties savent que la majorité des communautés marocaines en Belgique et aux Pays Bas son berbères/rifains.... cela ne fait aucun doute.

Dès lors, si sur la forme, c'est peut être pas correcte d'avoir parlé d'arabe ET berbère, dans le fond, c'est tout a fait juste pour des raisons évoqués ci avant (démographiquement il y a plus de berbères/rifains en Belgique que d'Arabes) et pour des raisons tout a fait objectives puisque la plupart des terroristes sont originaires de ces régions..... Dès lors, la maitrise du berbère est fondamentale.... j'ai même envie de dire, qu'il faudrait des enquêteurs à la Surete de l'Etat parlant plus le berbère, le rif que l'arabe vu l'origine de ces terroristes...


Tu veux des sources? en voici en voilà...:D


case suivante
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
http://www.lefigaro.fr/vox/politiqu...st-elle-devenue-le-sanctuaire-du-desastre.php



Les Abdeslam sont des rifs de l'Oranie française : "Des dizaines de milliers de Rifains s'embauchent chaque année en Oranie française pour travailler la vigne ou dans les mines de la région"


Comme ses trois frères (Yazid, 33 ans, Brahim, 31 ans, Mohamed, 29 ans) et sa sœur (Myriam, 22 ans) Salah Abdeslam est né à Bruxelles mais il n’a qu’une carte de résident permanent. Il n’a jamais vécu en France.

Chaque été, les vacances se passent en famille, au Maroc, dans cette petite ville de Bouyafar, 15 000 habitants, tout près de l’enclave espagnole de Melilla. Un de ces coins du Rif qu’ont vidé les vagues de départs vers la France, les Pays-Bas, la Belgique… « Mais vous savez, moi maître, je suis Français ! », répétait souvent Brahim, le frère de Salah, à son avocat, Me Olivier Martins, lors des quelques déboires qu’il a eus avec la justice.





Le Benelux et le Nord Pas de Calais comptent en 2015 près d'1,5 millions de «Marocains», en majorité Rifains.


Apparement, les Bakraoui ou je ne sais quoi sont aussi des berbères de Tanger....l'un des deux kamikazes a étudié dans l'école Saint Ursule à Laeken d'après ce que j'ai pu lire...



Désolé, mais quand on parle d'autres communautés ça pose pas question, mais quand on parle des rifs sur base d'informations objectives, on ne peut pas....et bien NON, il n'y aura PAS d'omerta..... c'est une forme de racisme que de refuser qu'on parle de sa communauté....

Il faut comprendre que parler des problèmes de discriminations qui frappe la communauté rifaine et ou marocaine, c'est pas dans le but de lls accabler mais de mes aider..... Combien de fois n'ai je pas dénoncé les propos de BDW sur les rifs? je suis un anti raciste, je dénoncerai également le racisme qui existe dans toutes les communautés y compris chez nous! c'est une question de CREDIBILITE
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
@Diogene,

http://www.rifonline.net/Medias-Bel...lah-Abdeslam-N1-recherche-en-Europe_a415.html

tu vas m'accuser de trafiquer les infos? ou d'être un journaliste dans ce journal?


Voilà une source qui j'espère pour toi est crédible...


Je suis anti raciste, anti islamophobe, anti homophobe, anti berberophobe, mais cela n'empêche pas que l'on puisse évoquer des sujets qui touche cette thématique....



Ici, dans les médias rif, les rifs font eux même du communautarisme : la distinction arabe/rif.... http://www.rifonline.net/Urgent--Un...arocaine-des-attentats-de-Bruxelles_a419.html

pourquoi ils ne parlent pas de victime marocains?

Tu vas dénoncer ce communautarisme rifain? ou pas?
 
Tu temballes @compteblad
Je tai dit, si tu avais lu ma reponse avec attention ma reponse, que si tu pretends dans ta toute premiere intervention nous traduire du neerlandais au français ta source initiale (le premier article), tu nas pas le droit de traduire une chose qui n'a PAS ete ecrite.

L'erreur vient de ce premier article et du journaliste qui si il avait voulu etre "accurate", aurait logiquement du mentionner les 2 langues car effectivement, dans les petites frappes de terros bruxelloises certains sont vraisemblablement d'origine rifaine.
Je ne l'ai jamais réfute et je suis pas assee *** que pour les defendre juste sous pretexte que je le suis aussi, ce serait la chose la plus debile a faire.

Donc pas la peine de me sortir ton armada detudes et darticles et de discours de BDW pour me prouver une chose que je SAIS DEJA, ma communaute n'est pas glorieuse et je le sais.
MAIS si tu pretends eclairer nos bladinautes non neerlandophones d'une traduction improvisee du PREMIER article tu ne peux intellectuellement pas te permettre de rajouter des mots a ta guise mais de le mentionner en conclusion et en complement a la fin de ta pseudo traduction. C'est pour la rethorique. Tu saisis la nuance de ma remarque?
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
@Diogene, je suis déçus par ta première intervention, c'est toi qui t'es emballé pour un petit mot extrapolé (berbère) et c'est justement cela qui posé problème surtout quand tu m'accuse en même temps de berbérophobe (ce qui est pour moi est très grave) alors que je suis éxactement le contraire , j'ai des origines berbère (et donc berbère même si je ne l'affiche pas) comme la majorité des marocains... Je suis déçu parce que je sais très bien qu'en écrivant ton premier message tu savais que dans un article de presse généraliste on ne vas pas spécifier toutes les caractéristiques d'une offre d'emploi et quand et que on recherche clairement des gens qui parlent arabe et berbère (je crois que dans l'annonce du Selor il était clairement mentionné arabe et berbère....).... Je trouve dommage d'accuser une personne de XXXphobe alors que toi même tu trouvais que j'en faisais un peu trop en évoquant les discriminations (qui frappent donc les marocains berbères) dans les écoles à Anvers ou Bruxelles..... je trouve cela dommage...je suis anti raciste (tous les racismes).
J'ai été traité d'être chiite car j'ai dénoncé les exactions de l'armée libre (je ne suis pas chiite), d'être sioniste car j'ai parlé d'un cas d'antrisémtisme, d'homosexuel (car j'ai dénoncé l'homophobie,....) et maintenant de berberophobe par toi....tu comprends qu'un moment donné ça fatigue.....
 
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