Le démon du midi

Pirouettete

杜妮娅
Autrefois, l'enfance était l'antichambre de la vie, la vieillesse était le couloir de la mort: entre les deux la mâturité incarnait l'existence véritable.

Aujourd'hui, tout paraît avoir changé: concurrencé en amont par une adolescence interminable, et en aval par la figure dynamique et fougueuse des nouveaux retraités, l'adulte peine à se faire une place et à définir son identité. Sa période s'est réduite comme une peau de chagrin aloes que l'existence est de plus en plus longue.

Durant ce bref laps de temps, en effet, tous les poids de l'existence s'accumulent: Carrière, enfants, s'occuper des vieux parents, être performant dans tous les domaines, y compris les loisirs... et surtout: être heureux, ou tout du moins le paraitre.

Une définition de l'adulte? C'est quelqu'un qui n'a pas le temps, et qui s'aperçoit qur'il en a de moins en moins...

L'âge adulte est en bref, loin d'être un accomplissement, mais est devenu une véritable crise.

Au milieu de la vie, le démon du midi (décrit dans l'Ancien testament, Psaume 91,6), encore appelé, crise de la quarantaine, frappe sous les traits de l'ennui, de la révolte ou de la destruction. Quelle issue alors? Voyager? Changer de boulot? Divorcer? Tomber malade? Déprimer? Mourir?

Toujours est il que la recette la mieux encore est d'accepter de vieillir. Il y'a d'autres horizons dans une vie que ceux de la jeunesse...
 
Au milieu de la vie, le démon du midi (décrit dans l'Ancien testament, Psaume 91,6), encore appelé, crise de la quarantaine, frappe sous les traits de l'ennui, de la révolte ou de la destruction. Quelle issue alors? Voyager? Changer de boulot? Divorcer? Tomber malade? Déprimer? Mourir?

Suivre le cours de la vie et en fait nous n'avons pas le choix. Pris en otage entre les enfants, l'âge de la retraite qui recule, les maladies, la hausse des prix et la société de consommation. Tenter de survivre et s'aggriper au train de la vie qui continue.
 

LuneSoleil

Ombres et fumée...
Autrefois, l'enfance était l'antichambre de la vie, la vieillesse était le couloir de la mort: entre les deux la mâturité incarnait l'existence véritable.

Aujourd'hui, tout paraît avoir changé: concurrencé en amont par une adolescence interminable, et en aval par la figure dynamique et fougueuse des nouveaux retraités, l'adulte peine à se faire une place et à définir son identité. Sa période s'est réduite comme une peau de chagrin aloes que l'existence est de plus en plus longue.

Durant ce bref laps de temps, en effet, tous les poids de l'existence s'accumulent: Carrière, enfants, s'occuper des vieux parents, être performant dans tous les domaines, y compris les loisirs... et surtout: être heureux, ou tout du moins le paraitre.

Une définition de l'adulte? C'est quelqu'un qui n'a pas le temps, et qui s'aperçoit qur'il en a de moins en moins...

L'âge adulte est en bref, loin d'être un accomplissement, mais est devenu une véritable crise.

Au milieu de la vie, le démon du midi (décrit dans l'Ancien testament, Psaume 91,6), encore appelé, crise de la quarantaine, frappe sous les traits de l'ennui, de la révolte ou de la destruction. Quelle issue alors? Voyager? Changer de boulot? Divorcer? Tomber malade? Déprimer? Mourir?

Toujours est il que la recette la mieux encore est d'accepter de vieillir. Il y'a d'autres horizons dans une vie que ceux de la jeunesse...

Juste pour dire que tes posts demeureront encore les plus interessants, ici... tu donne envie de te lire ;)
 

Pirouettete

杜妮娅
Suivre le cours de la vie et en fait nous n'avons pas le choix. Pris en otage entre les enfants, l'âge de la retraite qui recule, les maladies, la hausse des prix et la société de consommation. Tenter de survivre et s'aggriper au train de la vie qui continue.

Et pourquoi donc survivre? Quel est donc cet instinct qui nous pousse à marcher stoïquement sur les épines de nos désillusions? et qui nous pousse à tourner aussi vite que le sens des aiguilles, vers la fin que nous savons inéluctable?
 

LuneSoleil

Ombres et fumée...
Et pourquoi donc survivre? Quel est donc cet instinct qui nous pousse à marcher stoïquement sur les épines de nos désillusions? et qui nous pousse à tourner aussi vite que le sens des aiguilles, vers la fin que nous savons inéluctable?

C'est un but.

Un dessein se poursuit même au prix de la souffrance. Et puis comme l'on dit bon nombre de personne, dont un poète, aurions-nous le même gout de vivre si nous ne connaissions pas le côté négatif des choses ?

Pour savoir apprecier le beau, il faut avoir connu le laid, ou presque...

Les épines sont moins nombreuses au final qu'on croit, mais c'est juste qu'elle se font sentir plus vivement.
 
Et pourquoi donc survivre? Quel est donc cet instinct qui nous pousse à marcher stoïquement sur les épines de nos désillusions? et qui nous pousse à tourner aussi vite que le sens des aiguilles, vers la fin que nous savons inéluctable?

Parce que nous sommes quelque part comme des moutons, nous suivons et surtout subissons.
 

Pirouettete

杜妮娅
C'est un but.

Un dessein se poursuit même au prix de la souffrance. Et puis comme l'on dit bon nombre de personne, dont un poète, aurions-nous le même gout de vivre si nous ne connaissions pas le côté négatif des choses ?

Pour savoir apprecier le beau, il faut avoir connu le laid, ou presque...

Les épines sont moins nombreuses au final qu'on croit, mais c'est juste qu'elle se font sentir plus vivement.

Si je comprends bien, le but ultime est donc de vivre. Et c'est la carotte du beau qui permet de supporter le bâton du laid.

Pour ma part, j'appellerai cela l'instinct de survie. Une bête prise dans un piège est prête à se ronger la patte piégée pour se dégager. Pourquoi donc cette bête est prête à se ronger une patte? Elle ne serait plus rapide par la suite, et serait une proie facile. Elle ne pourrait pas non plus se nourrir aisément. Elle sera inéluctablement happée par le même destin qu'elle essaie de fuir...
Ce n'est pas réfléchi. Je pense que réfléchir conduirait à la mort. ça me rappelle un livre où un des personnages, vendeur de thé édenté, a pour but dans la vie de s'acheter un dentier pour pouvoir séduire une femme, n'importe quelle femme.
Depuis qu'il s'est mis à économiser, le prix du dentier avait doublé. Et ce sera ainsi, il courra toute sa vie derrière un rêve inaccessible. Un soir d'insomnie, il se mit à réfléchir à l'impossibilité de son rêve, et essaya de se pendre. Le lendemain, après cette tentative de pendaison avortée, il se retrouva sur les rues à vendre son thé, et s'est trouvé un rêve encore plus inaccessible: sortir avec une actrice dont la photo découpée dans un magazine est accroché à côté de son coeur. Voilà le triomphe de la vie: c'est le rêve, l'irréel, l'abstrait, la course effrénée, et ne surtout pas s'arrêter.
 

LuneSoleil

Ombres et fumée...
Si je comprends bien, le but ultime est donc de vivre. Et c'est la carotte du beau qui permet de supporter le bâton du laid.

Pour ma part, j'appellerai cela l'instinct de survie. Une bête prise dans un piège est prête à se ronger la patte piégée pour se dégager. Pourquoi donc cette bête est prête à se ronger une patte? Elle ne serait plus rapide par la suite, et serait une proie facile. Elle ne pourrait pas non plus se nourrir aisément. Elle sera inéluctablement happée par le même destin qu'elle essaie de fuir...
Ce n'est pas réfléchi. Je pense que réfléchir conduirait à la mort. ça me rappelle un livre où un des personnages, vendeur de thé édenté, a pour but dans la vie de s'acheter un dentier pour pouvoir séduire une femme, n'importe quelle femme.
Depuis qu'il s'est mis à économiser, le prix du dentier avait doublé. Et ce sera ainsi, il courra toute sa vie derrière un rêve inaccessible. Un soir d'insomnie, il se mit à réfléchir à l'impossibilité de son rêve, et essaya de se pendre. Le lendemain, après cette tentative de pendaison avortée, il se retrouva sur les rues à vendre son thé, et s'est trouvé un rêve encore plus inaccessible: sortir avec une actrice dont la photo découpée dans un magazine est accroché à côté de son coeur. Voilà le triomphe de la vie: c'est le rêve, l'irréel, l'abstrait, la course effrénée, et ne surtout pas s'arrêter.

Il y a autant buts qu'il y a d'êtres humains. Certains ont le même but, d'autres pas. Et chaque but ne vaut pas un autre, je pense, je veux dire certains ont un but qu'ils croient être un but, alors que si on creuse, il n'est pas une fin en soi.

Le but doit être ce pour quoi on vie. Vivre pour vivre n'est pas un but, c'est marcher sur un sentier sans savoir pourquoi on marche là et pas ailleurs.

L'instinct de survie ne servirait à rien ici, puisqu'on sait pertinemment qu'on mourra tous un jour. L'instinct de survie nous sert à nous battre jour après jour pour vivre. Mais lorsqu'on poursuit un dessein précis, l'instinct de survie ne serait plutôt qu'un élément qui servirait à y arriver, selon les embûches que l'on pourrait rencontrer.

Le rêve aussi, n'est qu'un élément. Un élément qi nous sert à relativiser, à oublier parfois. A nous donner laforce de continuer. Mais il n'est pas la Vie. La Vie, c'est un tout de plusieurs choses, qui doivent nous faire déboucher sur un but, une vérité.

Enfin, c'est juste un avis...
 
Autrefois, l'enfance était l'antichambre de la vie, la vieillesse était le couloir de la mort: entre les deux la mâturité incarnait l'existence véritable.

Aujourd'hui, tout paraît avoir changé: concurrencé en amont par une adolescence interminable, et en aval par la figure dynamique et fougueuse des nouveaux retraités, l'adulte peine à se faire une place et à définir son identité. Sa période s'est réduite comme une peau de chagrin aloes que l'existence est de plus en plus longue.

Durant ce bref laps de temps, en effet, tous les poids de l'existence s'accumulent: Carrière, enfants, s'occuper des vieux parents, être performant dans tous les domaines, y compris les loisirs... et surtout: être heureux, ou tout du moins le paraitre.

Une définition de l'adulte? C'est quelqu'un qui n'a pas le temps, et qui s'aperçoit qur'il en a de moins en moins...

L'âge adulte est en bref, loin d'être un accomplissement, mais est devenu une véritable crise.

Au milieu de la vie, le démon du midi (décrit dans l'Ancien testament, Psaume 91,6), encore appelé, crise de la quarantaine, frappe sous les traits de l'ennui, de la révolte ou de la destruction. Quelle issue alors? Voyager? Changer de boulot? Divorcer? Tomber malade? Déprimer? Mourir?

Toujours est il que la recette la mieux encore est d'accepter de vieillir. Il y'a d'autres horizons dans une vie que ceux de la jeunesse...



le monde a énormément changé depuis "autrefois "

l'homme pourvoit a la plupart de ses besoins fondamentaux , alors qu'autrefois la quasi totalité de sa vie consistait a tenter de subvenir a ses besoins
il est donc normal que l'homme est de nos jours une vision différente du temps qui passe parce que justement il a plus de temps
 

LuneSoleil

Ombres et fumée...
le monde a énormément changé depuis "autrefois "

l'homme pourvoit a la plupart de ses besoins fondamentaux , alors qu'autrefois la quasi totalité de sa vie consistait a tenter de subvenir a ses besoins
il est donc normal que l'homme est de nos jours une vision différente du temps qui passe parce que justement il a plus de temps

En fait il pourvoit à ses besoins, et même à ces "non-besoins"... avant au moins on savait le prix d'une chose quand on l'avait sous le nez.
 

Pirouettete

杜妮娅
Parce que nous sommes quelque part comme des moutons, nous suivons et surtout subissons.

le monde a énormément changé depuis "autrefois "

l'homme pourvoit a la plupart de ses besoins fondamentaux , alors qu'autrefois la quasi totalité de sa vie consistait a tenter de subvenir a ses besoins
il est donc normal que l'homme est de nos jours une vision différente du temps qui passe parce que justement il a plus de temps

Nous avons le luxe de nous rendre compte de l'étroitesse de notre existence en gros.C'est l'histoire du vendeur de thé édenté.
 

Pirouettete

杜妮娅
Il y a autant buts qu'il y a d'êtres humains. Certains ont le même but, d'autres pas. Et chaque but ne vaut pas un autre, je pense, je veux dire certains ont un but qu'ils croient être un but, alors que si on creuse, il n'est pas une fin en soi.

Le but doit être ce pour quoi on vie. Vivre pour vivre n'est pas un but, c'est marcher sur un sentier sans savoir pourquoi on marche là et pas ailleurs.

L'instinct de survie ne servirait à rien ici, puisqu'on sait pertinemment qu'on mourra tous un jour. L'instinct de survie nous sert à nous battre jour après jour pour vivre. Mais lorsqu'on poursuit un dessein précis, l'instinct de survie ne serait plutôt qu'un élément qui servirait à y arriver, selon les embûches que l'on pourrait rencontrer.

Le rêve aussi, n'est qu'un élément. Un élément qi nous sert à relativiser, à oublier parfois. A nous donner laforce de continuer. Mais il n'est pas la Vie. La Vie, c'est un tout de plusieurs choses, qui doivent nous faire déboucher sur un but, une vérité.

Enfin, c'est juste un avis...

Chacun construit son propre but ou sa propre vérité, et passe sa vie à courir après. Une fois ce but réalisé, la personne se laisse t elle donc mourir?
 

LuneSoleil

Ombres et fumée...
Chacun construit son propre but ou sa propre vérité, et passe sa vie à courir après. Une fois ce but réalisé, la personne se laisse t elle donc mourir?

Ca dépend du but... chacun poursuit sa vérité, mais surtout parce que c'en est une qui lui plait.

Il y a des gens qui ontun but qui ne se termine jamais, jusqu'à la mort. C'est un chemin sans fin, pour un but ultime et sublime.

Et toi, qu'en penses-tu ?

Je dois y aller, salam ;)
 

LuneSoleil

Ombres et fumée...
Ca dépend du but... chacun poursuit sa vérité, mais surtout parce que c'en est une qui lui plait.

A ta question, faudra-t-elle qu'elle se laisse mouir, si c'est un but qui est terminé avant même sa vie, ce n'est pas un but.

Je crois qu'on devrait delaisser la vision des choses d'ici-bas, un but n'est pas seulement et toujours terrestre.

Mais ça encore, ça dépend des gens...
 

Pirouettete

杜妮娅
A ta question, faudra-t-elle qu'elle se laisse mouir, si c'est un but qui est terminé avant même sa vie, ce n'est pas un but.

Je crois qu'on devrait delaisser la vision des choses d'ici-bas, un but n'est pas seulement et toujours terrestre.

Mais ça encore, ça dépend des gens...

Il n'y a donc pas, comme tu l'avais dit avant, autant de buts que d'êtres humains. Il y'a selon ce que je comprends, une vérité transcendante auxquels les êtres humains aspirent. Un Dieu en l'occurence. Et ceci voudrait dire que les athées se laisseraient mourir?
 

LuneSoleil

Ombres et fumée...
Il n'y a donc pas, comme tu l'avais dit avant, autant de buts que d'êtres humains. Il y'a selon ce que je comprends, une vérité transcendante auxquels les êtres humains aspirent. Un Dieu en l'occurence. Et ceci voudrait dire que les athées se laisseraient mourir?

Si, si, il y a bien autant de buts que d'êtres humains, seulement ces buts ne sont pas forcément valables.

Enfait plus un but est valable, plus il te donne la force e continuer à cheminer, c'est lui, derrière les malheurs et les tristesses, que tu vois quand rien ne va plus.

Quand rien ne va plus pour celui qui à un but qu'il croit ultime mais qui ne l'est pas en vérité, ce dessein miroitera-t-il autant que pour toi (pas toi : toi, c'est juste une façon de parler) au-delà de ses afflications ?

Les athées ne se laissent pas mourir non ? Il n'y a pas qu'un seul comportement à adopter, ici, on a le choix entre croire en la vérité qu'on a inventé et qui nous plait bien, ou arriver au plus ou moins but qu'on croit être et se laisser mourir après (ce qui est dénué de toute logique), ou continuer à chercher encore et encore.
 
Si je comprends bien, le but ultime est donc de vivre. Et c'est la carotte du beau qui permet de supporter le bâton du laid.

Pour ma part, j'appellerai cela l'instinct de survie. Une bête prise dans un piège est prête à se ronger la patte piégée pour se dégager. Pourquoi donc cette bête est prête à se ronger une patte? Elle ne serait plus rapide par la suite, et serait une proie facile. Elle ne pourrait pas non plus se nourrir aisément. Elle sera inéluctablement happée par le même destin qu'elle essaie de fuir...
Ce n'est pas réfléchi. Je pense que réfléchir conduirait à la mort. ça me rappelle un livre où un des personnages, vendeur de thé édenté, a pour but dans la vie de s'acheter un dentier pour pouvoir séduire une femme, n'importe quelle femme.
Depuis qu'il s'est mis à économiser, le prix du dentier avait doublé. Et ce sera ainsi, il courra toute sa vie derrière un rêve inaccessible. Un soir d'insomnie, il se mit à réfléchir à l'impossibilité de son rêve, et essaya de se pendre. Le lendemain, après cette tentative de pendaison avortée, il se retrouva sur les rues à vendre son thé, et s'est trouvé un rêve encore plus inaccessible: sortir avec une actrice dont la photo découpée dans un magazine est accroché à côté de son coeur. Voilà le triomphe de la vie: c'est le rêve, l'irréel, l'abstrait, la course effrénée, et ne surtout pas s'arrêter.


c'est exactement l'histoire de la vie d'un homme ou d'une femme
se reproduire
et comme au premier abord c'est pas intéressant alors le corps nous récompense par des hormones du plaisir lors de relations sexuelles
mais avant cela il faut le ou la partenaire , alors on se met a étudier des matières barbares a l'école pour avoir un métier et donc de l'argent qu'on va afficher par des signes extérieurs ( voiture , vetements)
on va se cultiver parce que le savoir est un pouvoir comme un autre
on va entretenir son corps par du sport des régimes des crèmes parce que l'aspect physique est primordial dans la reproduction
une fois donc que on a enfin transmit ses gênes et que on s est assuré que l'oiseau peut voler de ses propres ailes ( 20 ans de boulot minimum ) il nous reste plus qu'a attendre la mort en jouant aux chiffres et des lettres et en espérant que a travers ces enfants c'est un peu de nous qui vis et par cela on prolonge notre vie après la mort
 

Pirouettete

杜妮娅
c'est exactement l'histoire de la vie d'un homme ou d'une femme
se reproduire
et comme au premier abord c'est pas intéressant alors le corps nous récompense par des hormones du plaisir lors de relations sexuelles
mais avant cela il faut le ou la partenaire , alors on se met a étudier des matières barbares a l'école pour avoir un métier et donc de l'argent qu'on va afficher par des signes extérieurs ( voiture , vetements)
on va se cultiver parce que le savoir est un pouvoir comme un autre
on va entretenir son corps par du sport des régimes des crèmes parce que l'aspect physique est primordial dans la reproduction
une fois donc que on a enfin transmit ses gênes et que on s est assuré que l'oiseau peut voler de ses propres ailes ( 20 ans de boulot minimum ) il nous reste plus qu'a attendre la mort en jouant aux chiffres et des lettres et en espérant que a travers ces enfants c'est un peu de nous qui vis et par cela on prolonge notre vie après la mort

Tel semblait être le destin de ces pauvres bêtes : pomper, pomper, pomper... :D
 
Autrefois, l'enfance était l'antichambre de la vie, la vieillesse était le couloir de la mort: entre les deux la mâturité incarnait l'existence véritable.

Aujourd'hui, tout paraît avoir changé: concurrencé en amont par une adolescence interminable, et en aval par la figure dynamique et fougueuse des nouveaux retraités, l'adulte peine à se faire une place et à définir son identité. Sa période s'est réduite comme une peau de chagrin aloes que l'existence est de plus en plus longue.

Durant ce bref laps de temps, en effet, tous les poids de l'existence s'accumulent: Carrière, enfants, s'occuper des vieux parents, être performant dans tous les domaines, y compris les loisirs... et surtout: être heureux, ou tout du moins le paraitre.

Une définition de l'adulte? C'est quelqu'un qui n'a pas le temps, et qui s'aperçoit qur'il en a de moins en moins...

L'âge adulte est en bref, loin d'être un accomplissement, mais est devenu une véritable crise.

Au milieu de la vie, le démon du midi (décrit dans l'Ancien testament, Psaume 91,6), encore appelé, crise de la quarantaine, frappe sous les traits de l'ennui, de la révolte ou de la destruction. Quelle issue alors? Voyager? Changer de boulot? Divorcer? Tomber malade? Déprimer? Mourir?

Toujours est il que la recette la mieux encore est d'accepter de vieillir. Il y'a d'autres horizons dans une vie que ceux de la jeunesse...

Pirouette tu fais mal a la tete :D

sérieusement arrete de réfléchir et de te poser autant de question tu vas finir par flinguer ton cerveau :D
 

Pirouettete

杜妮娅
C'est comme le verre à moitié vide VS le verre à moitié plein, je suis plus pessimiste en voyant parfois une façon lâche de continuer à vivre en subissant.

Nous cherchons tous des excuses pour vivre. Plus ou moins valables. Est ce de la faiblesse ou de la force: l'essentiel c'est que nous sommes là.

Pouvons nous détourner ce post? je crois que nous avons fait le tour de la question :D
 

Pirouettete

杜妮娅
Moi qui cherchais une excuse pour détourner ce post:D


Sors les joints, mets du Bob Marley allez!

http://www.youtube.com/watch?v=nlk9Sj4Ns2k

Stir it up baby!:D

Stir it up; little darlin, stir it up. come on, baby.
Come on and stir it up: little darlin, stir it up. o-oh!

Its been a long, long time, yeah!
(stir it, stir it, stir it together)
Since I got you on my mind. (ooh-ooh-ooh-ooh) oh-oh!
Now you are here (stir it, stir it, stir it together), I said,
Its so clear
Theres so much we could do, baby, (ooh-ooh-ooh-ooh)
Just me and you.

Come on and stir it up; ..., little darlin!
Stir it up; come on, baby!
Come on and stir it up, yeah!
Little darlin, stir it up! o-oh!

Ill push the wood (stir it, stir it, stir it together),
Then I blaze ya fire;
Then Ill satisfy your hearts desire. (ooh-ooh-ooh-ooh)
Said, I stir it every (stir it, stir it, stir it together),
Every minute:
All you got to do, baby, (ooh-ooh-ooh-ooh)
Is keep it in, eh!

(stir it up) oh, little darlin,
Stir it up; ..., baby!
Come on and stir it up, oh-oh-oh!
Little darlin, stir it up! wo-oh! mm, now, now.

Quench me when Im thirsty;
Come on and cool me down, baby, when Im hot. (ooh-ooh-ooh-ooh)
Your recipe is, - darlin - is so tasty,
When you show and stir your pot. (ooh-ooh-ooh-ooh)

So: stir it up, oh!
Little darlin, stir it up; wo, now!
Come on and stir it up, oh-ah!
Little darlin, stir it up!
---
/guitar solo/
---
Oh, little darlin, stir it up. come on, babe!
Come on and stir it up, wo-o-a!
Little darlin, stir it up! stick with me, baby!
Come on, come on and stir it up, oh-oh!
Little darlin, stir it up. /fadeout/
 

Pirouettete

杜妮娅
Mdr, c'est une religion très répandue de nos jours :)


Heu... E7em... Excusez moi de vous déranger, mais vous êtes assis sur mon fauteuil là, vous fumez mon joint, et vous avez amené des gens que je ne connais pas... Ce n'est pas pour vous importuner, mais serait-il possible que j'utilise la chaise qu'est juste là, et que je prenne de temps en temps une petite taff avec vous? :rouge:
 

LuneSoleil

Ombres et fumée...
Heu... E7em... Excusez moi de vous déranger, mais vous êtes assis sur mon fauteuil là, vous fumez mon joint, et vous avez amené des gens que je ne connais pas... Ce n'est pas pour vous importuner, mais serait-il possible que j'utilise la chaise qu'est juste là, et que je prenne de temps en temps une petite taff avec vous? :rouge:

Mdrrrr :D
 
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