Depression drogue et alcool

Amine

En mode pause
C’est l’histoire de l’œuf et de la poule!
Drogue, alcool, cause ou conséquence de la depression?
Avez vous des temoignages ou des questions

Certaines familles sont plus sujettes que d'autres à l'alcoolisme et si l'environnement reste le facteur premier dans le développement de la maladie, des études montrent que la vulnérabilité génétique a l'alcool existe ...je développe dés que j'ai peu de temps
 
Certaines familles sont plus sujettes que d'autres à l'alcoolisme et si l'environnement reste le facteur premier dans le développement de la maladie, des études montrent que la vulnérabilité génétique a l'alcool existe ...je développe dés que j'ai peu de temps

Ok merci
Je suis persuadé qu'il y'a une vulerabilité indivuduelle à l'alcool en revanche souvent alcool drogue ou toxicomanie peuvent être soit cause de la depression ou conséquence de celle ci.
Comment faire la difference chez un sujet toxico et depressif
 
Le Cannabis ( c'est mon sujet et mon point de vue )

Le cannabis devient un produit de plus en plus banalisé , les jeunes ne trouvent pas de difficulté pour le consommer

Dans notre société actuelle , les jeunes ne se sentent pas exister , le monde déborde pour eux et leur parait abstrait :

vie de famille difficile ,divorce des parent...,difficulté ou échec scolaire , pression de l'environnement , refus de la société
pour se sentir exister , pour prendre la fuite , ces jeunes vulnérables cherchent A transgresser l'interdit pour renaitre dans un monde fait de sensations pures

ces substances nocives ne sont pas sans danger sur la santé et sur la société , elles entrainent une dépendance psychique et physique ce qui induit aux violences ,maltraitances, délinquances , dégradation de mode de vie , accidents de la route qui peuvent mettre leur vie et la vie d'autrui en danger

la prévention , l'information , la sensibilisation restent les meilleures solutions pour protéger les jeunes , les aider a surmonter leurs problèmes , les accompagner et les faire intégrer dans la vie sociale et professionnelle
 
Le Cannabis ( c'est mon sujet et mon point de vue )

Le cannabis devient un produit de plus en plus banalisé , les jeunes ne trouvent pas de difficulté pour le consommer

Dans notre société actuelle , les jeunes ne se sentent pas exister , le monde déborde pour eux et leur parait abstrait :

vie de famille difficile ,divorce des parent...,difficulté ou échec scolaire , pression de l'environnement , refus de la société
pour se sentir exister , pour prendre la fuite , ces jeunes vulnérables cherchent A transgresser l'interdit pour renaitre dans un monde fait de sensations pures

ces substances nocives ne sont pas sans danger sur la santé et sur la société , elles entrainent une dépendance psychique et physique ce qui induit aux violences ,maltraitances, délinquances , dégradation de mode de vie , accidents de la route qui peuvent mettre leur vie et la vie d'autrui en danger

la prévention , l'information , la sensibilisation restent les meilleures solutions pour protéger les jeunes , les aider a surmonter leurs problèmes , les accompagner et les faire intégrer dans la vie sociale et professionnelle
voila ton sujet est fait il faut juste developper chaque phrase en une page et bingo
 
j'ai bcp de sujet a traiter , et il me reste pas bcp de temps lol

Cannabis: Une plante stupéfiante

A l'heure actuelle, les qualités stupéfiantes du cannabis concernent de nombreux consommateurs réguliers ou occasionnels (entre 5 et 7 millions en France), dont le nombre ne cesse de croitre depuis une trentaine d'années. Porté par la vague hippie des années 60-70 avec en arrière plan un certain mode de vie contestataire, le cannabis ludique et spirituel (hérité des traditions orientales ou des rastafaris) est aujourd'hui devenu un phénomène de consommation de masse, et pour certain(e)s de mode, touchant ainsi toutes les classes sociales. Le cannabis et tout ce qui s'y rapporte appartiennent désormais à l'ère du code barre.
La suite: http://cftp.lautre.net/libcanna/stup.htm
 
Cannabis: Une plante stupéfiante

A l'heure actuelle, les qualités stupéfiantes du cannabis concernent de nombreux consommateurs réguliers ou occasionnels (entre 5 et 7 millions en France), dont le nombre ne cesse de croitre depuis une trentaine d'années. Porté par la vague hippie des années 60-70 avec en arrière plan un certain mode de vie contestataire, le cannabis ludique et spirituel (hérité des traditions orientales ou des rastafaris) est aujourd'hui devenu un phénomène de consommation de masse, et pour certain(e)s de mode, touchant ainsi toutes les classes sociales. Le cannabis et tout ce qui s'y rapporte appartiennent désormais à l'ère du code barre.
La suite: http://cftp.lautre.net/libcanna/stup.htm

merci
je traite un sujet sur la reforme de l'hopital :)
 
Le Cannabis ( c'est mon sujet et mon point de vue )

Le cannabis devient un produit de plus en plus banalisé , les jeunes ne trouvent pas de difficulté pour le consommer

Dans notre société actuelle , les jeunes ne se sentent pas exister , le monde déborde pour eux et leur parait abstrait :

vie de famille difficile ,divorce des parent...,difficulté ou échec scolaire , pression de l'environnement , refus de la société
pour se sentir exister , pour prendre la fuite , ces jeunes vulnérables cherchent A transgresser l'interdit pour renaitre dans un monde fait de sensations pures

ces substances nocives ne sont pas sans danger sur la santé et sur la société , elles entrainent une dépendance psychique et physique ce qui induit aux violences ,maltraitances, délinquances , dégradation de mode de vie , accidents de la route qui peuvent mettre leur vie et la vie d'autrui en danger

la prévention , l'information , la sensibilisation restent les meilleures solutions pour protéger les jeunes , les aider a surmonter leurs problèmes , les accompagner et les faire intégrer dans la vie sociale et professionnelle

Pèse avec précaution chacun de tes mots.
Le cannabis n'induit aucune dépendance biologique.
 
est ce que tu cherches a avoir toujour raison dans une discution avec tes amis?:eek:

peur être que oui peut être que non?

On sait qu'un servrage en canabis dans les premiers jours donne des reactions physiquesù
La dépendance physique
correspond à une exigence de l'organisme nécessitant, pour conserver son équilibre, l'apport régulier d'une substance chimique exogène (2).

Concernant la dépendance liée au cannabis, le manuel diagnostique et statistique (DSM IV) de l'Association Américaine de Psychiatrie la décrit comme n'étant pas, en général, de nature physique.

Dans la population de sujets ayant déjà consommé, ce risque concernerait 10 % des personnes. C'est dans la tranche des 15-24 ans que le risque semble plus élevé.

Toutefois, un phénomène de tolérance, qui est un des critères diagnostiques de la dépendance physique, est observé chez les consommateurs.

Il se caractérise par le besoin de quantités notablement plus fortes de substance pour obtenir l'effet recherché. Un syndrome de sevrage, de faible intensité, a également été décrit (nervosité, anxiété, signes de tension intérieure, insomnie, perte d'appétit ...).

Il concernerait 16 % des gros fumeurs réguliers. L'existence d'une rechute est fréquente puisqu'elle concerne 75 % des usagers demandeurs de soins (3).




Et si tu souhaites des preuves je te donnerai plus !!


Amicalement
 
des sources svp

d'apres mes recherches la dependance physique existe mais elle est minime

Pour caricaturer, il y a trois zones dans le cerveau. Tout d’abord le cerveau dit reptilien qui gère la vie végétative, ensuite la zone limbique qui gère, entre autres choses, les émotions, la mémoire, la motivation, etc., et enfin le cortex, sorte de superétage qui nous permet de réfléchir, de nous poser des questions, de douter ou de croire... On sait aujourd’hui que les drogues agissent sur le système limbique par l’intermédiaire d’un mécanisme particulier qui est le mécanisme de la récompense. Pour récompenser des fonctions vitales fondamentales et nécessaires à la survie de l’espèce comme boire, manger, se reproduire, le cerveau y a associé du plaisir et ce en sécrétant un neurotransmetteur qui s’appelle la dopamine. Or, toutes les drogues, cannabis compris, agissent sur le système du plaisir. Mais dans le cas du cannabis et de toute drogue, d’ailleurs, la sécrétion de dopamine est exagérée et beaucoup plus massive. C’est le flash. Le problème c’est qu’ensuite il faut augmenter toujours plus les doses pour retrouver le même plaisir.
http://www.lenouvelliste.ch/fr/news//index.php?idIndex=864&idContent=119887
 

Amine

En mode pause
Ok merci
Je suis persuadé qu'il y'a une vulerabilité indivuduelle à l'alcool en revanche souvent alcool drogue ou toxicomanie peuvent être soit cause de la depression ou conséquence de celle ci.

Tabac, alcool, cocaïne, héroïne,… on sait aujourd’hui que toutes les drogues agissent dans notre cerveau, selon un même principe. Elles détournent à leur profit des cibles destinées à accroitre la libération de dopamine. ..la molécule du plaisir.Qu’elles soient licites comme l’alcool et le tabac ou illicites comme l’héroïne, la cocaïne, les psychostimulants et le cannabis, toutes les substances a risque d’abus ont en commun d’agir au niveau des neurones a dopamine dans l’aire tegmentale ventrale ou au niveau des terminaisons en particulier du noyau accumbens. Que ce soit chez l’animal ou chez l’homme, toutes provoquent une modification comportementale plus ou moins importante selon la drogue, la dose ingérée, l’individu, son environnement, ect. C’est pour cette raison que l’on considère les drogues comme des substances psychotropes capables de changer les états de conscience.

Pour l’alcool, J’ai lu dans the journal of the Americain Medical Association une étude fracassante. Apres avoir étudie le cerveau de 70 personnes décédées parmi lesquelles figuraient une trentaine d’alcooliques, ils constataient qu’un gène connu pour intervenir dans le mode d’action de l’alcool était présent sous une forme bien particulière chez 69 % des sujets alcooliques contre seulement 20 % des sujets non alcooliques. Il s’agissait d’une variante du gène codant le récepteur D2 à la dopamine, un neurotransmetteur intervenant notamment dans la sensation de plaisir et dans le mécanisme de dépendance. Malheureusement des contres études sont venus démentir car cette distribution du récepteur D2 à la dopamine se retrouvait chez des personnes présentant d’autres désordres comme le syndrome de Tourette, l’hyperactivité, l’autisme.
D’autres études se sont focalisées sur le paramètre de l’hérédité familiale à l’alcool. La population alcoolodependante est malheureusement importante et les alcooliques se recrutent facilement que les héroïnomanes. De recrutement en recrutement, les travaux d’épidémiologie firent donc l’objet de multiple publication, leurs résultats militent clairement en faveur d’une influence génétique.
 
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