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[QUOTE="Amine, post: 5558008, member: 8072"] Tabac, alcool, cocaïne, héroïne,… on sait aujourd’hui que toutes les drogues agissent dans notre cerveau, selon un même principe. Elles détournent à leur profit des cibles destinées à accroitre la libération de dopamine. ..la molécule du plaisir.Qu’elles soient licites comme l’alcool et le tabac ou illicites comme l’héroïne, la cocaïne, les psychostimulants et le cannabis, toutes les substances a risque d’abus ont en commun d’agir au niveau des neurones a dopamine dans l’aire tegmentale ventrale ou au niveau des terminaisons en particulier du noyau accumbens. Que ce soit chez l’animal ou chez l’homme, toutes provoquent une modification comportementale plus ou moins importante selon la drogue, la dose ingérée, l’individu, son environnement, ect. C’est pour cette raison que l’on considère les drogues comme des substances psychotropes capables de changer les états de conscience. Pour l’alcool, J’ai lu dans the journal of the Americain Medical Association une étude fracassante. Apres avoir étudie le cerveau de 70 personnes décédées parmi lesquelles figuraient une trentaine d’alcooliques, ils constataient qu’un gène connu pour intervenir dans le mode d’action de l’alcool était présent sous une forme bien particulière chez 69 % des sujets alcooliques contre seulement 20 % des sujets non alcooliques. Il s’agissait d’une variante du gène codant le récepteur D2 à la dopamine, un neurotransmetteur intervenant notamment dans la sensation de plaisir et dans le mécanisme de dépendance. Malheureusement des contres études sont venus démentir car cette distribution du récepteur D2 à la dopamine se retrouvait chez des personnes présentant d’autres désordres comme le syndrome de Tourette, l’hyperactivité, l’autisme. D’autres études se sont focalisées sur le paramètre de l’hérédité familiale à l’alcool. La population alcoolodependante est malheureusement importante et les alcooliques se recrutent facilement que les héroïnomanes. De recrutement en recrutement, les travaux d’épidémiologie firent donc l’objet de multiple publication, leurs résultats militent clairement en faveur d’une influence génétique. [/QUOTE]
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