Les dérives de la gouvernance de la haca

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
La présidente de la haca a viré Mme Zakia haddouche le premier jour de Ramadan … et Mme Amina Mrini, avec M. Jamaleddine Naji, ont coupé les vivres d’une citoyenne honorable et droite, par représailles et vengeance aveugle qui rappelle les années de l’arbitraire de l’ignorance et de plomb.Mme Zakia Haddouche a protesté en portant l’emblème et la casquette « Nous sommes tous les enfants de ce pays » contre une anormalité, et le chaos dans l’administration et la mise à mort de la gouvernance dans la Haute Autorité de Communication Audiovisuelle et elle a gouté à toutes les nuances de l’arbitraire et la vengeance, en terme d’abaissement d’échelon administratif et salarial équivalant à celui de l’année 2006 en passant par la mise à la poubelle de son bureau, ses documents, ses affaires personnelles, et son expulsion le 3 Juin 2016.

Ce scandale a été provoqué par la création (en violation de la loi, le règlement interne, Dahir Charif (Décret royal) Fondateur de l’instance) d’un poste à haute responsabilité et sa remise au fils d’un conseiller royal, dans le secret et la dissimulation bien ficelés et suspects (En total violation du principe de la publicité, l’évaluation, l’opportunité, les décrets et les lois).
En concomitance avec ces violations liées à l’expulsion de Mme Zakia Haddouche et la création sur mesure d’un poste pour le fils de M. Omar Aziman, dégage une ambiance le gaspillage dans la gestion des derniers publics et des transactions illégales ou intimes … les 6 voitures de la présidente .. l’organisation des voyages de luxe à caractère personnel, souvent inutiles (Indemnisation de la présidente à hauteur de 5000 Dhs/ Jour, du Directeur Général à hauteur de 4500 DHS ) … Un directeur dont le salaire dépasse les 5 millions Cts … le comptable et l’avocat et les procèsintentés contre la HACA par la banque et d’autres partenaires …? Anada et autres
 

amsawad

Tayri nem tuder g-ul inu
Il parait clairement, depuis le départ, que l’expulsion de Mme Zakia Haddouche, avait pour but l’intimidation et le terrorisme des employé(e)s, museler leurs voix, couvrir le dysfonctionnement, les privilèges et les erreurs … et cela dans la plupart des cas une preuve d’ignorance de la présidence en matière de la conception de la culture et la communication, et la communication est l’identité de l’instance, c’en est le cas de la codification et de l’aménagement qui sont la mère des fonctions, des missions et les objectifs de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle.

Et maintenant que le cas de Mme Zakia Haddouche a pris fin sur la table de la justice administrative en parallèle avec la mobilisation des organisations des droits humains, les organisations syndicales, les médias et l’opinion publique, que reste-t-il à faire ?

En fait il reste beaucoup à faire, à savoir sauver la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle de la subjectivité, de la dérive, avant que ce ne soit trop tard … Sauvegarder son image et sa dignité empêtrée profondément dans mauvaise gestion, le népotisme, la féodalité et la non-gouvernance … Lancer une nouvelle dynamique, en matière de gouvernance, l’innovation créative et l’efficacité positive et palpable, avec une nouvelle équipe, compétente, droite, créatrice et sage.
Et avant cela, ou en parallèle avec cette dynamique l’évaluation du bilan de gestion durant l’expérience actuelle en respect des lois et la « Constitution », une lueur d’espoir pour être à la hauteur des enjeux et le changement … Afin de donner l’exemple, affirmer le principe de comptabilité et en tirer les leçons … (à suivre)
Source : annass.com
 
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