Menu
Accueil
Forums
Liste des forums
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Liste des forums
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités internationales
Des francophones de Flandres déposent plainte à lONU!
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="compteblad, post: 11918154, member: 167672"] tiens cadeau pour toi : [url]http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130620_00326387[/url] Porter un nom à consonance arabe est toujours facteur dexclusion sur le marché locatif Un propriétaire sur huit éconduit immédiatement dans sa requête un candidat locataire dont le nom a une consonance arabe, tandis quun propriétaire sur six rejettera la demande dun locataire sexprimant avec un accent étranger. Tels sont les constats dune étude du département de Sociologie de luniversité de Gand (UGent) révélés jeudi. Lors de ce test, trois personnes ont appelé par téléphone 581 propriétaires dhabitations dAnvers et de Gand afin de convenir dun rendez-vous pour visiter le bien à louer. «Nous avons voulu savoir si, dune part, la personne test sexprimant avec un accent étranger et portant un nom étranger, et, dautre part, la personne test ne portant quun nom étranger, étaient traitées différemment que la personne test portant un nom à consonance flamande», expliquent les sociologues de lUGent. «Étant donné que nous avons étudié ce seul premier contact, et que, de plus, les candidats locataires disposaient dun profil intéressant pour les propriétaires, il est probable que cette étude donne une estimation minimale de lincidence de la discrimination», poursuivent les sociologues. Les propriétaires se sont souvent débarrassés des deux premiers types de candidats en prétextant que le bien était déjà loué ou en leur demandant de rappeler ultérieurement, alors quils proposaient des visites aux Belges de souche. «Les migrants étaient en outre traités différemment, même lors dun appel se déroulant positivement. On leur demandait ainsi deux fois plus souvent de présenter des documents attestant de leur situation professionnelle, de leurs revenus, de leur composition de famille et parfois même de leur nationalité», détaillent les sociologues. Si lon cumule ce traitement inégal et le rejet immédiat des requêtes de location, on constate quune personne sur quatre ayant un nom et un accent étrangers, et quune personne sur cinq ne portant quun nom étranger sont traitées différemment. Il ressort encore de cette étude que les agents immobiliers discriminent davantage que les particuliers, que ce phénomène se produit moins à Anvers quà Gand et quil concerne souvent des logements à loyer modéré. [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités internationales
Des francophones de Flandres déposent plainte à lONU!
Haut