LaMajorelle
Innawn 3ari t7awal ayanjdha
Certaines internautes étaient loin, très loin, de l'émerveillement pendant leur neuf mois de grossesse...
Avant de pouvoir poser toutes vos questions à Mademoiselle Navie, en chat à la rédaction pour son livreJ’aime pas être enceinte, à 12h30 ce mercredi, voici un aperçu des désagréments de la grossesse dont ces internautes de 20 Minutes se seraient bien passées.
D’après l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES), le premier trimestre correspond à une réaction de «défense contre les changements» que le corps subit et le troisième à une phase où la grossesse devient tout simplement «gênante». Seul le deuxième trimestre matérialiserait «l’harmonie». C’est déjà ça...
«J’adore ma fille et pourtant j’ai détesté être enceinte.» D’un message posté sur notre page Facebook,Steffy écarte les critiques qui arrivent doucement parmi les commentaires. On peut souhaiter plus que tout au monde avoir un enfant, être ravie de tomber enceinte, aimer à tout rompre sa progéniture mais associer la grossesse à un état de décomposition avancée. Le «monstroplante» de Nessa a bientôt trois ans et elle ne s’est «toujours pas remise de cette épreuve».
«Les kilos, l’impossibilité de bouger les derniers mois»
«Les sciatiques, les vergetures, les coulées de lait, la constipation, les pieds gonflés», «les brûlures d’estomac, les crampes qui te réveillent la nuit, les seins qui font mal, les pauses pipi toutes les cinq minutes», «les kilos, l’impossibilité de bouger les derniers mois», «les nausées, les bouffées de chaleur».Jeanne, Morgane, Sophie et Stéphanie égrainent les contraintes. Que Gaëlle, qui n’a pas encore d’enfant, écoute comme un «contraceptif». «La grossesse est un risque, une angoisse dans la vie d’une femme depuis la nuit des temps», juge l’internaute.
Pire, Jessica a tellement accumulé les ennuis, petits maux et angoisses, qu’elle a eu le sentiment de perdre la maîtrise de son propre corps. Œdèmes, urticaires et contractions à répétition lui ont définitivement fait détester «l’état de grossesse». «Je n’ai pas supporté de n’avoir le contrôle sur rien du tout, écrit cette internaute. J’avais l’impression d’être plus à même de protéger mon enfant à l’extérieur qu’à l’intérieur de leur propre corps.»
Avant de pouvoir poser toutes vos questions à Mademoiselle Navie, en chat à la rédaction pour son livreJ’aime pas être enceinte, à 12h30 ce mercredi, voici un aperçu des désagréments de la grossesse dont ces internautes de 20 Minutes se seraient bien passées.
D’après l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES), le premier trimestre correspond à une réaction de «défense contre les changements» que le corps subit et le troisième à une phase où la grossesse devient tout simplement «gênante». Seul le deuxième trimestre matérialiserait «l’harmonie». C’est déjà ça...
«J’adore ma fille et pourtant j’ai détesté être enceinte.» D’un message posté sur notre page Facebook,Steffy écarte les critiques qui arrivent doucement parmi les commentaires. On peut souhaiter plus que tout au monde avoir un enfant, être ravie de tomber enceinte, aimer à tout rompre sa progéniture mais associer la grossesse à un état de décomposition avancée. Le «monstroplante» de Nessa a bientôt trois ans et elle ne s’est «toujours pas remise de cette épreuve».
«Les kilos, l’impossibilité de bouger les derniers mois»
«Les sciatiques, les vergetures, les coulées de lait, la constipation, les pieds gonflés», «les brûlures d’estomac, les crampes qui te réveillent la nuit, les seins qui font mal, les pauses pipi toutes les cinq minutes», «les kilos, l’impossibilité de bouger les derniers mois», «les nausées, les bouffées de chaleur».Jeanne, Morgane, Sophie et Stéphanie égrainent les contraintes. Que Gaëlle, qui n’a pas encore d’enfant, écoute comme un «contraceptif». «La grossesse est un risque, une angoisse dans la vie d’une femme depuis la nuit des temps», juge l’internaute.
Pire, Jessica a tellement accumulé les ennuis, petits maux et angoisses, qu’elle a eu le sentiment de perdre la maîtrise de son propre corps. Œdèmes, urticaires et contractions à répétition lui ont définitivement fait détester «l’état de grossesse». «Je n’ai pas supporté de n’avoir le contrôle sur rien du tout, écrit cette internaute. J’avais l’impression d’être plus à même de protéger mon enfant à l’extérieur qu’à l’intérieur de leur propre corps.»