Il a fallu changer tous les meubles, la literie et héberger les résidents le temps que l'établissement soit traité", rapporte Azzédine Taïbi, maire de Stains (PCF). Dans une lettre publiée fin janvier, l'édile de cette commune a interpellé la ministre de la Santé et l'Agence régionale de santé (ARS) sur la présence de punaises de lit: "L'infestation se propage sur toute la ville et devient très inquiétante".Elles font à peine quelques millimètres mais font vivre un enfer à ceux qu'elles mordent. Elles ont établi leurs quartiers à Stains, commune de 38 000 habitants de Seine-Saint-Denis. Les établissements publics ne sont pas épargnés: trois écoles primaires et une résidence pour personnes âgées ont été contaminées... "Il a fallu changer tous les meubles, la literie et héberger les résidents le temps que l'établissement soit traité", rapporte Azzédine Taïbi, maire de Stains (PCF). Dans une lettre publiée fin janvier, l'édile de cette commune a interpellé la ministre de la Santé et l'Agence régionale de santé (ARS) sur la présence de punaises de lit: "L'infestation se propage sur toute la ville et devient très inquiétante".
"Au bord de la crise de nerfs"
Depuis la parution de sa lettre, le service municipal d'hygiène reçoit deux à quatre coups de fil quotidiens. Les Stanois qui n'osaient pas se manifester franchissent le pas et certains demandent même à être relogés. "Ils sont démunis, au bord de la crise de nerfs. Beaucoup mettent du temps à réagir, ne comprennent pas que ce sont des insectes qui leur rendent la vie impossible", explique-t-on au service.
Face aux punaises de lit, certains développent une véritable phobie. Ils jettent tout, veulent tout refaire et ne demandent qu'une chose: tout quitter. Ils ne voient pas d'autre solution. Et c'est loin d'être rare", développe Arezki Izri, chef du service parasitologie-mycologie à l'hôpital Avicennes de Bobigny qui voit passer nombre de familles touchéesFace aux punaises de lit, certains développent une véritable phobie. Ils jettent tout, veulent tout refaire et ne demandent qu'une chose: tout quitter. Ils ne voient pas d'autre solution. Et c'est loin d'être rare", développe Arezki Izri, chef du service parasitologie-mycologie à l'hôpital Avicennes de Bobigny qui voit passer nombre de familles touchées.
"Au bord de la crise de nerfs"
Depuis la parution de sa lettre, le service municipal d'hygiène reçoit deux à quatre coups de fil quotidiens. Les Stanois qui n'osaient pas se manifester franchissent le pas et certains demandent même à être relogés. "Ils sont démunis, au bord de la crise de nerfs. Beaucoup mettent du temps à réagir, ne comprennent pas que ce sont des insectes qui leur rendent la vie impossible", explique-t-on au service.
Face aux punaises de lit, certains développent une véritable phobie. Ils jettent tout, veulent tout refaire et ne demandent qu'une chose: tout quitter. Ils ne voient pas d'autre solution. Et c'est loin d'être rare", développe Arezki Izri, chef du service parasitologie-mycologie à l'hôpital Avicennes de Bobigny qui voit passer nombre de familles touchéesFace aux punaises de lit, certains développent une véritable phobie. Ils jettent tout, veulent tout refaire et ne demandent qu'une chose: tout quitter. Ils ne voient pas d'autre solution. Et c'est loin d'être rare", développe Arezki Izri, chef du service parasitologie-mycologie à l'hôpital Avicennes de Bobigny qui voit passer nombre de familles touchées.