salam
Une centaine de diplômés chômeurs ont organisé une rupture collective de jeûne, mardi dernier, devant la maison du chef du gouvernement au quartier les Orangers à Rabat pour réclamer de lemploi et appeler au retour à la table de dialogue.
Ils sont revenus donc à la charge. A travers cette manifestation, organisée par la coordination des diplômés chômeurs composée de quatre groupes, ils entendent saisir le chef du gouvernement de leur situation, tout en lappelant à rouvrir le dialogue.
Dans le même sens, le secrétaire général du Groupement national des diplômés chômeurs Rachid Al Hamdaoui, lun des groupes de la coordination organisatrice de cette manifestation, a considéré que «cette protestation sinscrit dans le cadre des messages quon veut adresser aux responsables et que nous nallons pas renoncer à notre bataille avant datteindre nos objectifs».
Ces centaines de diplômés chômeurs, venus des quatre coins du Maroc, ont dénoncé «lindécision du gouvernement quant à leur insertion dans la vie professionnelle ».
Les manifestants se sont donné dautres rendez-vous de protestation après lAïd.
Libération
Une centaine de diplômés chômeurs ont organisé une rupture collective de jeûne, mardi dernier, devant la maison du chef du gouvernement au quartier les Orangers à Rabat pour réclamer de lemploi et appeler au retour à la table de dialogue.
Ils sont revenus donc à la charge. A travers cette manifestation, organisée par la coordination des diplômés chômeurs composée de quatre groupes, ils entendent saisir le chef du gouvernement de leur situation, tout en lappelant à rouvrir le dialogue.
Dans le même sens, le secrétaire général du Groupement national des diplômés chômeurs Rachid Al Hamdaoui, lun des groupes de la coordination organisatrice de cette manifestation, a considéré que «cette protestation sinscrit dans le cadre des messages quon veut adresser aux responsables et que nous nallons pas renoncer à notre bataille avant datteindre nos objectifs».
Ces centaines de diplômés chômeurs, venus des quatre coins du Maroc, ont dénoncé «lindécision du gouvernement quant à leur insertion dans la vie professionnelle ».
Les manifestants se sont donné dautres rendez-vous de protestation après lAïd.
Libération