Dissolution de la ldj

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Le ministère de l'Intérieur étudie la possibilité d'une dissolution de la Ligue de défense juive (LDJ), un groupe de jeunes radicaux qui se sont affrontés notamment avec des manifestants propalestiniens, a-t-on appris mercredi de sources policières, confirmant des informations de Libération.

Dans son édition à paraître jeudi, le quotidien, qui cite "une source policière haut placée", affirme que "la DLPAJ (Direction des libertés publiques et des affaires juridiques du ministère de l'Intérieur) travaille à temps plein pour étudier la possibilité d'une interdiction de la LDJ".

"Nous procédons à l'analyse juridique la plus fine possible dans le respect du droit", a confirmé à l'AFP une source proche du dossier. La dissolution serait possible quand bien même la LDJ n'est pas une association légalement constituée mais un groupement de fait, assure Libération.

La semaine dernière, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait jugé cette organisation "dans l'excès", "dans des actes qui peuvent être répréhensibles et qui doivent être condamnés".

La LDJ est sous le feu des critiques depuis que certains de ses membres se sont violemment affrontés avec des militants propalestiniens le 13 juillet, près de la synagogue de la rue de la Roquette à Paris. Le groupe, qui a l'habitude de s'inviter aux abords des synagogues pour en renforcer la protection, était présent le 20 juillet devant celle de Sarcelles (Val-d'Oise), au moment d'une manifestation propalestinienne qui a tourné à l'émeute.

La LDJ se défend de tout acte illégal en France bien qu'elle s'inspire de la Jewish Defense League, qualifiée de "groupe terroriste" par le FBI en 2001 et qu'elle arbore l'emblème (un poing brandi dans une étoile de David noire sur fond jaune) d'un parti nationaliste religieux interdit en Israël, le Kach.

Certains de ses membres, comme ceux du Betar, mouvement de jeunes proche de la droite israélienne également présent en France, sont formés au krav maga, une méthode d'autodéfense d'origine israélienne.

Les agissements de la LDJ provoquent un certain embarras parmi les responsables de la première communauté juive d'Europe (5 à 600.000 membres), qui assurent ne pas réclamer sa présence devant les synagogues.

Des voix s'étaient élevées ces derniers jours pour demander sa dissolution, notamment le député communiste du Nord Jean-Jacques Candelier mais aussi l'Observatoire national contre l'islamophobie, une composante du Conseil français du culte musulman (CFCM) vent debout contre "une association extrémiste, raciste et qui pratique la violence".

Le Parti de gauche a pour sa part demandé une commission d'enquête sur les heurts de la rue de la Roquette en s'interrogeant sur une éventuelle "provocation de la LDJ".
 
Hollande et Valls ne doivent plus bénéficier du vote arabe africain musulman. Qu'ils se contentent du vote des sionistes français et franco israéliens qui leur doivent bien cet attachement, quand même! ***** quand même!
Vote-t-on pour la politique intérieure ou étrangère?
Comme s'il existait un vote ethnique...
Il y a des arabes qui voteraient à droite sans soucis voire même extrême droite...
 

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Vote-t-on pour la politique intérieure ou étrangère?
Comme s'il existait un vote ethnique...
Il y a des arabes qui voteraient à droite sans soucis voire même extrême droite...
En tant que français tu es considéré comme ethnie si tu n'est pas blanc de souche;donc ton vote est considéré comme étranger.
 
je me demande même si cette dissolution ce n'est pas pour leur sauver leur peau, car ça chauffe tellement en ce moment que ces raclures rasent les murs et se cachent, une dissolution viendrait à point nommé pour leur permettre de se faire oublier

Depuis que leurs tronches, leurs noms et adresses circulent sur facebook, ils se sont vites refroidis.
 
Hollande et Valls ne doivent plus bénéficier du vote arabe africain musulman. Qu'ils se contentent du vote des sionistes français et franco israéliens qui leur doivent bien cet attachement, quand même! ***** quand même!
sauf que les sionistes ont déjà placé des candidats dans tous les camps, ils n'ont même pas besoin de voté.
gauche comme droite, ils défilent tous au diner du CRIF.

il reste Marine :D
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Enfin du concret.................il ne serait pas trop tôt de virer cette saloperie.

Aucune plainte n'a été déposer contre les provocateurs de la rue de la Roquette ?
Il faut identifier ces petits merdeux et les poursuivre.
 
l'extreme droite de Marine Le Pen c'est l'islamophobie et se rapprocher (par pur intérêt) du sionisme qu'elle redoute plus qu'elle n'aime. cette position provoque des tiraillements internes (la position de son père en premier lieu), d'où ce silence qui est un signe évident de malaise surtout lorqu'on sait que Marine Le Pen est une grande gueule.

La politique et la société françaises sont très hypocrites sur ces sujets... et ne cherchez pas tout est dicté par le CRIF et par la position des Etats Unis elle même dictée par les sionistes.
 
A

AncienMembre

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Le ministère de l'Intérieur étudie la possibilité d'une dissolution de la Ligue de défense juive (LDJ), un groupe de jeunes radicaux qui se sont affrontés notamment avec des manifestants propalestiniens, a-t-on appris mercredi de sources policières, confirmant des informations de Libération.

Dans son édition à paraître jeudi, le quotidien, qui cite "une source policière haut placée", affirme que "la DLPAJ (Direction des libertés publiques et des affaires juridiques du ministère de l'Intérieur) travaille à temps plein pour étudier la possibilité d'une interdiction de la LDJ".

"Nous procédons à l'analyse juridique la plus fine possible dans le respect du droit", a confirmé à l'AFP une source proche du dossier. La dissolution serait possible quand bien même la LDJ n'est pas une association légalement constituée mais un groupement de fait, assure Libération.

La semaine dernière, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait jugé cette organisation "dans l'excès", "dans des actes qui peuvent être répréhensibles et qui doivent être condamnés".

La LDJ est sous le feu des critiques depuis que certains de ses membres se sont violemment affrontés avec des militants propalestiniens le 13 juillet, près de la synagogue de la rue de la Roquette à Paris. Le groupe, qui a l'habitude de s'inviter aux abords des synagogues pour en renforcer la protection, était présent le 20 juillet devant celle de Sarcelles (Val-d'Oise), au moment d'une manifestation propalestinienne qui a tourné à l'émeute.

La LDJ se défend de tout acte illégal en France bien qu'elle s'inspire de la Jewish Defense League, qualifiée de "groupe terroriste" par le FBI en 2001 et qu'elle arbore l'emblème (un poing brandi dans une étoile de David noire sur fond jaune) d'un parti nationaliste religieux interdit en Israël, le Kach.

Certains de ses membres, comme ceux du Betar, mouvement de jeunes proche de la droite israélienne également présent en France, sont formés au krav maga, une méthode d'autodéfense d'origine israélienne.

Les agissements de la LDJ provoquent un certain embarras parmi les responsables de la première communauté juive d'Europe (5 à 600.000 membres), qui assurent ne pas réclamer sa présence devant les synagogues.

Des voix s'étaient élevées ces derniers jours pour demander sa dissolution, notamment le député communiste du Nord Jean-Jacques Candelier mais aussi l'Observatoire national contre l'islamophobie, une composante du Conseil français du culte musulman (CFCM) vent debout contre "une association extrémiste, raciste et qui pratique la violence".

Le Parti de gauche a pour sa part demandé une commission d'enquête sur les heurts de la rue de la Roquette en s'interrogeant sur une éventuelle "provocation de la LDJ".

Voilà une bonne nouvelle ! :cool:

Merci au gouvernement d'étudier cette possibilité. J'espère qu'il ira jusqu'au bout de cette mesure d'hygiène publique, qui aurait dû être prise il y a déjà fort longtemps.
 

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http://www.lefigaro.fr/medias/2014/07/31/PHO3580cc76-1890-11e4-9841-ba2c72ec8efb-805x453.jpg
Un décret pris en Conseil des ministres met fin à l'existence de mouvements jugés dangereux pour la République. Les militants qui seraient tentés de passer outre encourent jusqu'à 7 ans de prison et 100.000 € d'amende.
Le ministère de l'Intérieur, en l'occurrence sa direction des affaires juridiques, étudie la dissolution de la Ligue de défense juive (LDJ). Cette procédure est régie par l'article 212-1 du Code de la sécurité intérieure, qui prévoit 7 motifs (un seul suffit) pouvant viser les organisations:

«Qui provoquent à des manifestations armées dans la rue ;

Qui présentent, par leur forme et leur organisation militaire, le caractère de groupes de combat ou de milices privées ;

Qui ont pour but de porter atteinte à l'intégrité du territoire national ou d'attenter par la force à la forme républicaine du gouvernement ;

Dont l'activité tend à faire échec aux mesures concernant le rétablissement de la légalité républicaine ;

Qui ont pour but soit de rassembler des individus ayant fait l'objet de condamnation du chef de collaboration avec l'ennemi, soit d'exalter cette collaboration ;

Qui, soit provoquent à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, soit propagent des idées ou théories tendant à justifier ou encourager cette discrimination, cette haine ou cette violence ;

Qui se livrent, sur le territoire français ou à partir de ce territoire, à des agissements en vue de provoquer des actes de terrorisme en France ou à l'étranger.»

La LDJ n'a pas d'existence légale officielle
La dissolution d'une organisation prend la forme d'un décret pris en Conseil des ministres. S'ensuit une procédure contradictoire: l'organisation visée se voit expliquer les motifs de la mesure, qu'elle peut contester devant la justice administrative (tribunal administratif, éventuellement en référé, le Conseil d'État statuant, le cas échéant, en dernier ressort).

Pour ce qui est de la LDJ, la difficulté provient de sa nature particulière d'organisation de fait, sans existence légale officielle. «Elle a été créée en 2001, s'est autodissoute en 2003, reconstituée dans la foulée et à nouveau autodissoute en 2007, explique-t-on Place Beauvau. Mais elle a un logo, un site Web, un site Facebook qui seraient interdits en cas de dissolution». Le ministère instruit actuellement le dossier, afin d'assurer à 100 % l'efficacité et la légalité d'une éventuelle dissolution.

Toute organisation dissoute qui poursuivrait ses activités ou se reconstituerait sous un autre nom s'expose à la justice (articles 431-13 et suivants du Code pénal). En l'espèce, «le fait de participer au maintien ou à la reconstitution, ouverte ou déguisée, d'une association ou d'un groupement dissous en application de la loi du 10 janvier 1936 sur les groupes de combat et les milices privées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45.000€ d'amende. Lorsque l'association ou le groupement maintenu ou reconstitué est un groupe de combat au sens de l'article 431-14, la peine est portée à cinq ans d'emprisonnement et à 75.000 € d'amende.

De nombreux précédents
Le fait d'organiser un groupe de combat est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75.000€ d'amende.

Le fait d'organiser le maintien ou la reconstitution, ouverte ou déguisée, d'un groupe de combat dissous en application de la loi du 10 janvier 1936 précitée est puni de sept ans d'emprisonnement et de 100.000 € d'amende.

Les personnes physiques encourent des peines complémentaires telles que l'interdiction des droits civiques, civils et de famille, l'interdiction du territoire français à titre définitif (pour les personnes de nationalité étrangère).

Ces dernières années, parmi les organisations dissoutes, on peut citer Tribu Ka, Jeunesse Kémi Séba, Forsane Alizza, Jeunesses nationalistes révolutionnaires ou encore Troisième Voie. En leur temps, le SAC, Action directe ou Iparretarrak (mouvement autonomiste du Pays basque français) avaient été dissous.
Source le Figaro
 

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Le député socialiste Olivier Faure a écrit mercredi une lettre au ministre de l'Intérieur pour «obtenir des éclaircissements» sur les agissements de la Ligue de Défense Juive (LDJ).
Le député a écrit mercredi 30 juillet une lettre au ministre de l’Intérieur, publiée par le Lab, dans laquelle il dit vouloir comprendre pourquoi «la Ligue de Défense Juive est autorisée en France». Alors que, d’après nos informations, le gouvernement veut dissoudre la LDJ, le député de Seine-et-Marne rappelle que les groupes violents n’ont pas leur place dans la République française.
  • Dans votre lettre, vous écrivez avoir été interpellé par vos administrés sur les agissements de la LDJ...
    Les gens ont l’impression qu’il y a un poids deux mesures. D’un côté, certaines manifestations pro-palestiniennes sont interdites car des éléments violents y prennent part. De l’autre, un groupe interdit dans d’autres pays est autorisé. Il faut trouver une position équilibrée sur la question.

    Faut-il dissoudre la LDJ ?
    Je me pose des questions simples. Nous vivons dans un Etat de droit, et nous avons une organisation qui revendique des liens avec une organisation interdite en Israël, où elle est considérée comme raciste, ainsi qu’aux Etats-Unis. Je souhaite avoir des éclaircissements sur ses ramifications. Si l’organisation française se rattache à l’organisation interdite ailleurs, la dissolution est la seule voie possible.

    La LDJ française semble agir de manière autonome...
    Même si elle n’a pas de lien direct avec l’organisation interdite en Israël et aux Etats-Unis, elle n’est pas plus tolérable. Surtout si elle revendique les mêmes modes d’action et partage les mêmes valeurs et les mêmes références.

    Certains estiment qu’un tel groupe permet de concentrer les militants et qu’une dissolution les livrerait à eux-mêmes...
    Cela ne veut pas dire que les faits de violences disparaîtront. Le risque sera toujours là. Mais l’interdiction est un acte symbolique. Il faut rappeler que dans notre République, il n’y a aucune place pour des milices ou des groupes d’actions violents. Le schéma qui laisse penser que les chrétiens défendent les chrétiens, les juifs défendent les juifs et les musulmans défendent les Palestiniens découle d’une vision communautaire qui n’a pas sa place dans notre République. La République assure elle-même la paix civile pour tous.
    Rémy DODET LIBERATION
 
Depuis que leurs tronches, leurs noms et adresses circulent sur facebook, ils se sont vites refroidis.

Exact d'ailleurs il y a gars de chez eux qui a pris une raclée du côté de Bobigny il me semble.
Si les maghrébins et les noirs faisaient des milices je donnarais pas cher de leur peau .
Mais personne ne pleurera sur ces ordures soutenues par le gouv de collabos infesté de faux
hébreux avec leurs larbin(es) qui dépouille le pays .
 

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Il s’appelle Jean-Claude Nataf, use de plusieurs pseudonymes, et se présente, dans un dossier que consacre ce jeudi 31 juillet Libération à la LDJ (Ligue de défense juive), comme le porte-parole de l’organisation d’autodéfense communautaire qu’il a contribué à créer en 2001. Une organisation que le ministère de l’Intérieur envisage sérieusement de dissoudre, comme l’ont déjà réclamé plusieurs politiques tel le député Jean-Jacques Candelier.

Impliquée dans les heurts qui ont émaillé certaines manifestations pro-Gaza ces dernières semaines selon certains témoignages, la LDJ se défend, via ce porte-parole revendiqué, d’avoir attisé les tensions. Jean-Claude Nataf explique même à Libération une certaine proximité entre la police et les membres de la LDJ, souvent formés aux techniques de combat.

Ainsi lâche-t-il, dans un sourire selon Libération :

Nous n’avons rien contre la police, au contraire. Lors de la manifestation du 13 juillet, on a même travaillé avec elle : les policiers voyaient bien qui était l’agresseur et qui se défendait.

Mais surtout, au niveau politique, il revendique, sans que l’on sache si cela relève d’une simple provocation ou de ce qu’il considère être une réalité, une forme de soutien implicite du Premier ministre.

Il balance, lapidaire :

De toute façon, avec Valls, on a ce qu’on veut.
 
A

AncienMembre

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Dans le viseur de Beauvau, la LDJ en sursis : http://www.liberation.fr/societe/2014/07/30/dans-le-viseur-de-beauvau-la-ldj-en-sursis_1073086

L'accusation qui devrait permettre la condamnation de cette faction sectaire et brutale est la provocation à "la discrimination, à la haine ou à la violence pour motifs ethniques ou religieux". Le groupuscule sera donc reconnu, au delà de son usage illégal de la violence, comme une organisation xénophobe ! :cool:

Qu'il s'agisse d'un groupement de fait et non-pas d'une association constituée ne devrait pas empêcher sa dissolution, notamment grâce à l’article 212-1, qui avait déjà permis la dissolution de la Tribu Ka en 2006.
 
La LDJ bientôt dissoute? Le décisionnaire est un proche de la mouvance sioniste
INFO PANAMZA. Qui est le haut-fonctionnaire du ministère de l'Intérieur en charge de la réflexion relative à la dissolution de la Ligue de défense juive? Le membre d'une famille engagée en faveur d'Israël. Révélations.

la suite : http://www.panamza.com/310714-ldj-valls-andrieu
Ça va finir par être dissous ils savent les risques pour eux .

L'homme en charge de la Direction des libertés publiques et des affaires juridiques du ministère de l'Intérieur se nomme Thomas Andrieu.

Il occupe ce poste depuis l'arrivée de Manuel Valls à Matignon. Auparavant, il était son directeur de cabinet adjoint durant les deux années de Valls à l'Intérieur.

Issu d'une famille de haut-fonctionnaires (fils et petit-fils de préfet), Thomas Andrieu est également «lié, par sa femme, à la communauté juive et à Israël» pour paraphraser une célèbre phrase (révélée par l'auteur de ces lignes) de Manuel Valls. Il est l'époux de Marguerite Bérard-Andrieu, une ex-conseillère technique de Nicolas Sarkozy qui provient également d'une famille de haut-fonctionnaires.
***
Vieille tactique pour l'infiltration de l'appareil et pourrir la société comme ils le font dans d'autres pays comme
avait dit Jean Jaurès .

***
Jean Jaurès
En France, l’influence politique des "Juifs" (talmudistes non hébreu) est énorme mais elle est, si je puis dire, indirecte. Elle ne s’exerce pas par la puissance du nombre, mais par la puissance de l’argent. Ils tiennent une grande partie de la presse, les grandes institutions financières, et, quand ils n’ont pu agir sur les électeurs, ils agissent sur les élus. Ici, ils ont, en plus d’un point, la double force de l’argent( sale et crapuleux) et du nombre ».

Mais les temps ont changé . Il a décrété un Jour pour punir durement .
 

Kroos

كلّ تأخيرة فيها خيرة
VIB
Qu'il s'agisse d'un groupement de fait et non-pas d'une association constituée ne devrait pas empêcher sa dissolution, notamment grâce à l’article 212-1, qui avait déjà permis la dissolution de la Tribu Ka en 2006.

La même Tribu Ka qui avait dissoute pour s'être deplacée dans leur secteur, rue des rosiers, pour foutre une raclée à ces lâches...

Non seulement en voyant un groupe de jeune black determinés ils se sont planqués et n'ont pas osés sortir, mais en plus ils ont fait pression auprès de leurs protecteurs hauts placés, pour obtenir la dissolution de la Tribu Ka ...
 
A

AncienMembre

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La même Tribu Ka qui avait dissoute pour s'être deplacée dans leur secteur, rue des rosiers, pour foutre une raclée à ces lâches...

Non seulement en voyant un groupe de jeune black determinés ils se sont planqués et n'ont pas osés sortir, mais en plus ils ont fait pression auprès de leurs protecteurs hauts placés, pour obtenir la dissolution de la Tribu Ka ...

Hum... pour moi, tous ces groupuscules sectaires et violents que sont la LDJ, la Tribu Ka, les JNR (etc.) se valent et méritent tous d'être anéantis.
 

Pareil

Just like me :D
VIB
J'espère que ça aboutira rapidement, et qu'ils feront la connerie de se reconstituer, histoire qu'ils puissent repasser devant le tribunal. :sournois:

La bonne chose, c'est que dès qu'ils se sentiront pas assez à l'aise en France, une bonne partie ira en israël et la france sera débarrassée d'une partie de ces merdeux.
 
S

Soomy

Non connecté
je me demande même si cette dissolution ce n'est pas pour leur sauver leur peau, car ça chauffe tellement en ce moment que ces raclures rasent les murs et se cachent, une dissolution viendrait à point nommé pour leur permettre de se faire oublier
perso je pense que c'est juste de la poudre aux yeux
Ils vont rien dissoudre au final, peut être éventuellement juste changer le nom histoire d'endormir les gens
 
perso je pense que c'est juste de la poudre aux yeux
Ils vont rien dissoudre au final, peut être éventuellement juste changer le nom histoire d'endormir les gens

Il faut donc créer des ligues de défenses pour les autres religions et exiger la mise a disposition des locaux administratifs policiers pour l'entraînement? Ça ferai encore du foin?
 
Il faut donc créer des ligues de défenses pour les autres religions et exiger la mise a disposition des locaux administratifs policiers pour l'entraînement? Ça ferai encore du foin?

Surtout pas ! c'est exactement ce qu'ils cherchent...

La société Française a peur des religions et l'histoire de l'inquisition, des croisades etc...est encore perçus dans l'inconscient collectif comme renaissant via l'islam car toute la propagande a été fait pour diabolisé les musulmans + les histoires de "communautarisme" + les histoires de nationalisme sauce FN (la France n'est plus aux Français, l'islam nous gangrène, j'ai vue un saucisson halal au supermarché on est plus chez soi blablabla...) si on crée un conflit LDJ vs LDM sa va finir en conflit communautaire religieux = la société Française excédé risque de chasser tous le monde à coup de fusil pour ne plus être emmerdé avec "c'est histoire de religion" (surtout la religion musulmane vue que c'est elle qui ce tape le plus de diabolisation depuis les attentats du WTC)...

Et deviné qui va gagner ce combat ?
 
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