Luisachour
Le suicide mène en Enfer
Etude: Le terrorisme n'est pas la résistance
Conflit politique et résistance
Durant un conflit politique (guerre ou occupation), la résistance est l’action de résister à une agression, une contrainte, une oppression physique ou/et morale.
La résistance désigne aussi le combat contre un envahisseur, un occupant ou un régime indésirable.
Le terrorisme est une revendication d'un groupe (comme pour obtenir plus de pouvoir) en utilisant les armes sans avoir été agresser au nom d'une population. C'est une réponse qui se veut violente, qui blesse ou tue des civils en échange simplement de plus de pouvoir pour dominer tel région. Ce sont donc des groupes qui veulent prendre le pouvoir.
Il y a aussi d'un autre coté le terrorisme d'état qui consiste à lutter contre les violences de l'état.
Terrorisme d'état
Le terrorisme d'État consiste en l'exercice illégitime par l'Etat de son monopole de la violence à partir du moment où cette violence est d'une part en contradiction avec le contrat décrit par Thomas Hobbes selon lequel l'individu accepte d'abdiquer une partie de sa liberté en échange de la protection de l'Etat et qu'elle ne vise pas au maintien, menacé, de l'Etat mais à un accroissement de ses prérogatives. Le terrorisme d'Etat est donc un enjeu taxinomique puisqu'il met en cause non seulement l'image protectrice de l'Etat mais aussi la nature des rapports que l'Etat entretient avec la violence.
Mais le terrorisme n'est pas la résistance car la resistance depend forcément d'une défaite de guerre (guerre ou occupation), .
Histoire de la Résistance intérieure française
La résistance intérieure française, appelée en France La Résistance, désigne l'ensemble des mouvements et réseaux clandestins qui durant la Seconde Guerre mondiale ont poursuivi la lutte contre l'Axe et ses relais collaborationnistes sur le territoire français depuis l'Armistice du 22 juin 1940 jusqu’à la Libération en 1944.
Cette lutte a consisté en des actions de renseignement, de sabotage ou des opérations militaires contre les troupes d'occupation (essentiellement allemandes) et aussi les forces du régime de Vichy. Mais elle englobe aussi des aspects plus civils et non-violents, ainsi l'existence d'une vaste presse clandestine, la diffusion de tracts, la production de faux papiers, l'organisation de grèves et de manifestations, la mise sur pied de multiples filières pour sauver les prisonniers de guerre évadés, les réfractaires au STO et les Juifs persécutés.
La Résistance a pu se manifester en ville comme à la campagne, surtout après la naissance des maquis au printemps 1943. L'armée des ombres a rassemblé des hommes de tous horizons, exposés tous à une terrifiante répression de la part du RSHA (dont fait partie la Gestapo), de l'Abwehr, de la Wehrmacht, ainsi que de la Milice française, ou encore de la police de l’État français.
Si la Résistance active et organisée n'a jamais rassemblé plus de 2 ou 3 % de la population française, elle n'aurait pu survivre ni se développer sans de multiples complicités populaires, en particulier à l'époque des maquis.
A côté des combattants en armes, il y eut d'autres formes d'actions hostiles à l'ennemi. Il faut citer les nombreux imprimeurs qui ont fabriqué ces faux papiers nécessaires aux pilotes tombés en territoire occupé pour tenter de les faire passer à travers les contrôles lors de leur exfiltration vers l'Angleterre. A titre d'exemple, on cite Pierre Virol, mort en déportation à Mauthausen après avoir été trahi et durement torturé ainsi que sa fille et son épouse.
L'histoire de la Résistance intérieure, toute différente qu'elle soit de celle de la France libre, n'est pas dissociable de cette dernière. Le général de Gaulle, chef des Français libres, a ses agents en métropole occupée par le biais des réseaux du BCRA ou d'envoyés tels que Jean Moulin, Pierre Brossolette et Jacques Bingen. Ces derniers reçoivent la charge d'unifier la Résistance intérieure, sous l'égide de Londres puis d'Alger. La création du Conseil National de la Résistance par Jean Moulin, le 27 mai 1943, puis celle des Forces Françaises de l'Intérieur (FFI) par Jacques Bingen, le 1er février 1944, marquent les jalons essentiels d'un processus d'unification parfois difficile, mais sans équivalent dans le reste de l'Europe occupée.
Des formes de résistance ont également existé en Afrique du Nord ou dans le reste de l'Empire français, ainsi que dans les trois départements annexés.
Lire la suite 'Résistance':
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ré...française
Lire la suite 'Terrorisme d'état':
http://fr.wikipedia.org/wiki/Terrorisme_d'État
Pour étudier ce sujet en images, rendez vous sur mon blog dailymotion.
Au programme, le film 'la bataille d'Alger' + d'autres documentaires sur l'Algérie.
http://www.dailymotion.com/playlist/x12cm_cemoilouisa1_algerie
L'avis de HARUN YAHYA
Islam denonce terrorisme
http://video.google.fr/videoplay?docid=-5547510421109759250
Qu'en pensez-vous?
Conflit politique et résistance
Durant un conflit politique (guerre ou occupation), la résistance est l’action de résister à une agression, une contrainte, une oppression physique ou/et morale.
La résistance désigne aussi le combat contre un envahisseur, un occupant ou un régime indésirable.
Le terrorisme est une revendication d'un groupe (comme pour obtenir plus de pouvoir) en utilisant les armes sans avoir été agresser au nom d'une population. C'est une réponse qui se veut violente, qui blesse ou tue des civils en échange simplement de plus de pouvoir pour dominer tel région. Ce sont donc des groupes qui veulent prendre le pouvoir.
Il y a aussi d'un autre coté le terrorisme d'état qui consiste à lutter contre les violences de l'état.
Terrorisme d'état
Le terrorisme d'État consiste en l'exercice illégitime par l'Etat de son monopole de la violence à partir du moment où cette violence est d'une part en contradiction avec le contrat décrit par Thomas Hobbes selon lequel l'individu accepte d'abdiquer une partie de sa liberté en échange de la protection de l'Etat et qu'elle ne vise pas au maintien, menacé, de l'Etat mais à un accroissement de ses prérogatives. Le terrorisme d'Etat est donc un enjeu taxinomique puisqu'il met en cause non seulement l'image protectrice de l'Etat mais aussi la nature des rapports que l'Etat entretient avec la violence.
Mais le terrorisme n'est pas la résistance car la resistance depend forcément d'une défaite de guerre (guerre ou occupation), .
Histoire de la Résistance intérieure française
La résistance intérieure française, appelée en France La Résistance, désigne l'ensemble des mouvements et réseaux clandestins qui durant la Seconde Guerre mondiale ont poursuivi la lutte contre l'Axe et ses relais collaborationnistes sur le territoire français depuis l'Armistice du 22 juin 1940 jusqu’à la Libération en 1944.
Cette lutte a consisté en des actions de renseignement, de sabotage ou des opérations militaires contre les troupes d'occupation (essentiellement allemandes) et aussi les forces du régime de Vichy. Mais elle englobe aussi des aspects plus civils et non-violents, ainsi l'existence d'une vaste presse clandestine, la diffusion de tracts, la production de faux papiers, l'organisation de grèves et de manifestations, la mise sur pied de multiples filières pour sauver les prisonniers de guerre évadés, les réfractaires au STO et les Juifs persécutés.
La Résistance a pu se manifester en ville comme à la campagne, surtout après la naissance des maquis au printemps 1943. L'armée des ombres a rassemblé des hommes de tous horizons, exposés tous à une terrifiante répression de la part du RSHA (dont fait partie la Gestapo), de l'Abwehr, de la Wehrmacht, ainsi que de la Milice française, ou encore de la police de l’État français.
Si la Résistance active et organisée n'a jamais rassemblé plus de 2 ou 3 % de la population française, elle n'aurait pu survivre ni se développer sans de multiples complicités populaires, en particulier à l'époque des maquis.
A côté des combattants en armes, il y eut d'autres formes d'actions hostiles à l'ennemi. Il faut citer les nombreux imprimeurs qui ont fabriqué ces faux papiers nécessaires aux pilotes tombés en territoire occupé pour tenter de les faire passer à travers les contrôles lors de leur exfiltration vers l'Angleterre. A titre d'exemple, on cite Pierre Virol, mort en déportation à Mauthausen après avoir été trahi et durement torturé ainsi que sa fille et son épouse.
L'histoire de la Résistance intérieure, toute différente qu'elle soit de celle de la France libre, n'est pas dissociable de cette dernière. Le général de Gaulle, chef des Français libres, a ses agents en métropole occupée par le biais des réseaux du BCRA ou d'envoyés tels que Jean Moulin, Pierre Brossolette et Jacques Bingen. Ces derniers reçoivent la charge d'unifier la Résistance intérieure, sous l'égide de Londres puis d'Alger. La création du Conseil National de la Résistance par Jean Moulin, le 27 mai 1943, puis celle des Forces Françaises de l'Intérieur (FFI) par Jacques Bingen, le 1er février 1944, marquent les jalons essentiels d'un processus d'unification parfois difficile, mais sans équivalent dans le reste de l'Europe occupée.
Des formes de résistance ont également existé en Afrique du Nord ou dans le reste de l'Empire français, ainsi que dans les trois départements annexés.
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Ré...française
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Pour étudier ce sujet en images, rendez vous sur mon blog dailymotion.
Au programme, le film 'la bataille d'Alger' + d'autres documentaires sur l'Algérie.
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L'avis de HARUN YAHYA
Islam denonce terrorisme
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