Bonsoir,
Voici un extrait d'un livre que j'ai beaucoup aimé, qui s'appelle "Du doute à la foi" de Moustafa Mahmoud.
"Chaque jour m’apporte un supplément de preuves que l’univers est réellement le théâtre d’une grandiose harmonie universelle. Chaque créature y tient la place précise qui a été décrétée pour elle.
Si le globe terrestre avait une masse inférieure à celle qu’il a, la pesanteur y diminuerait. L’air se raréfierait et se perdrait dans le vide. L’eau se volatiliserait et la terre deviendrait semblable à la lune, une surface désolée, sans eau, ni air, ni atmosphère. La vie n’y serait plus possible.
S’il avait par contre une masse supérieure à celle de maintenant, la pesanteur augmenterait. Il nous serait beaucoup plus pénible de nous mouvoir et notre poids croîtrait considérablement. Notre corps deviendrait un fardeau impossible à soulever.
Si la terre tournait sur elle-même à une vitesse moindre, égale à celle de la lune par exemple, la longueur des jours et des nuits deviendrait quatorze fois plus grande. Toutes les deux semaines par conséquent, la température passerait d’une chaleur torride à un froid mortel, rendant impossible toute forme de vie.
Si l’orbite de la rotation terrestre passait plus près du soleil, comme c’est le cas pour Vénus, nous ne pourrions résister à la chaleur. Si elle s’en éloignait, comme c’est le cas pour Saturne et Jupiter, nous péririons de froid.
Nous savons par ailleurs que la terre effectue sa rotation en formant un angle de déclinaison de 33 degrés. De là naissent les saisons et c’est ce qui rend cultivables et habitables la plupart des régions terrestres.
Si l’écorce terrestre était plus épaisse, elle absorberait l’oxygène et nous n’aurions plus la quantité suffisante de ce gaz précieux pour respirer.
Si les mers étaient plus profondes, les eaux en surplus absorberaient le CO² nécessaire à la vie et à la respiration des plantes.
Si la couche atmosphérique était moins épaisse, les météores et les étoiles filantes fondraient sur nous au lieu de se désintégrer, comme c’est le cas, en traversant l’atmosphère.
Si la proportion d’oxygène dans l’atmosphère était plus importante qu’elle n’est, les risques d’incendie seraient accrus. L’incendie le plus bénin se transformerait en une terrible déflagration. Et si cette proportion diminuait, nous serions apathiques.
Si la glace n’avait pas une densité inférieure à celle de l’eau, elle ne flotterait pas en surface. Elle ne pourrait donc retenir la chaleur des fonds marins sans laquelle la vie, celle des poissons notamment, ne serait pas possible.
Sans la protection de l’ozone qui est épars dans l’atmosphère et qui ne laisse filtrer qu’une faible proportion de rayons ultraviolets, ces rayons seraient mortels pour nous.
Si nous en venons maintenant à l’anatomie du corps humain, nous y constatons une harmonie minutieuse qui n’a pas fini de nous émerveiller et de nous étonner.
Dans le sang, par exemple, chaque élément a une proportion et une quantité bien déterminées : sodium, potassium, calcium, sucre, cholestérol, urée..."
Voici un extrait d'un livre que j'ai beaucoup aimé, qui s'appelle "Du doute à la foi" de Moustafa Mahmoud.
"Chaque jour m’apporte un supplément de preuves que l’univers est réellement le théâtre d’une grandiose harmonie universelle. Chaque créature y tient la place précise qui a été décrétée pour elle.
Si le globe terrestre avait une masse inférieure à celle qu’il a, la pesanteur y diminuerait. L’air se raréfierait et se perdrait dans le vide. L’eau se volatiliserait et la terre deviendrait semblable à la lune, une surface désolée, sans eau, ni air, ni atmosphère. La vie n’y serait plus possible.
S’il avait par contre une masse supérieure à celle de maintenant, la pesanteur augmenterait. Il nous serait beaucoup plus pénible de nous mouvoir et notre poids croîtrait considérablement. Notre corps deviendrait un fardeau impossible à soulever.
Si la terre tournait sur elle-même à une vitesse moindre, égale à celle de la lune par exemple, la longueur des jours et des nuits deviendrait quatorze fois plus grande. Toutes les deux semaines par conséquent, la température passerait d’une chaleur torride à un froid mortel, rendant impossible toute forme de vie.
Si l’orbite de la rotation terrestre passait plus près du soleil, comme c’est le cas pour Vénus, nous ne pourrions résister à la chaleur. Si elle s’en éloignait, comme c’est le cas pour Saturne et Jupiter, nous péririons de froid.
Nous savons par ailleurs que la terre effectue sa rotation en formant un angle de déclinaison de 33 degrés. De là naissent les saisons et c’est ce qui rend cultivables et habitables la plupart des régions terrestres.
Si l’écorce terrestre était plus épaisse, elle absorberait l’oxygène et nous n’aurions plus la quantité suffisante de ce gaz précieux pour respirer.
Si les mers étaient plus profondes, les eaux en surplus absorberaient le CO² nécessaire à la vie et à la respiration des plantes.
Si la couche atmosphérique était moins épaisse, les météores et les étoiles filantes fondraient sur nous au lieu de se désintégrer, comme c’est le cas, en traversant l’atmosphère.
Si la proportion d’oxygène dans l’atmosphère était plus importante qu’elle n’est, les risques d’incendie seraient accrus. L’incendie le plus bénin se transformerait en une terrible déflagration. Et si cette proportion diminuait, nous serions apathiques.
Si la glace n’avait pas une densité inférieure à celle de l’eau, elle ne flotterait pas en surface. Elle ne pourrait donc retenir la chaleur des fonds marins sans laquelle la vie, celle des poissons notamment, ne serait pas possible.
Sans la protection de l’ozone qui est épars dans l’atmosphère et qui ne laisse filtrer qu’une faible proportion de rayons ultraviolets, ces rayons seraient mortels pour nous.
Si nous en venons maintenant à l’anatomie du corps humain, nous y constatons une harmonie minutieuse qui n’a pas fini de nous émerveiller et de nous étonner.
Dans le sang, par exemple, chaque élément a une proportion et une quantité bien déterminées : sodium, potassium, calcium, sucre, cholestérol, urée..."