Le droit à l'avortement des hommes

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion bigleux
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Le débat est d'actualité, mais jamais l'homme n'est concerné dans la discussion. Alors quoi, on oublierait que pour faire un enfant on est deux, et que du coup pour avorter on devrait être deux aussi ? Je comprends qu'une femme puisse se décider d'elle même d'avorter et d'en assumer la responsabilité seule, ce n'est pas ce que je mets en doute, par contre je mets en doute la situation suivante: qu'en est il du cas où la femme ne souhaite pas avorter, alors que l'homme lui ne souhaite pas cet enfant ? pourquoi ne reconnaît on pas également un "droit à l'avortement" pour les hommes ? Dès qu'on dit ça, on infantilise les hommes, on répond qu'ils n'ont qu'à mieux faire attention avec ce qu'ils font de leur entrejambe, pourquoi admet on un discours aussi sexiste envers les hommes alors qu'il serait inaudible de dire la même chose d'une femme?

Alors donc, à quand le droit de l'homme à l'avortement. Et dans le cas où la femme refuserait, qu'elle signe une clause précisant qu'elle devra assumer seule exclusivement toute dépense future concernant cet enfant et que l'homme n'aura pas à assumer le moindre rôle paternel. Ne serait-ce pas là une décision qui promouvrait l'égalité des droits?
 
Le débat est d'actualité, mais jamais l'homme n'est concerné dans la discussion. Alors quoi, on oublierait que pour faire un enfant on est deux, et que du coup pour avorter on devrait être deux aussi ? Je comprends qu'une femme puisse se décider d'elle même d'avorter et d'en assumer la responsabilité seule, ce n'est pas ce que je mets en doute, par contre je mets en doute la situation suivante: qu'en est il du cas où la femme ne souhaite pas avorter, alors que l'homme lui ne souhaite pas cet enfant ? pourquoi ne reconnaît on pas également un "droit à l'avortement" pour les hommes ? Dès qu'on dit ça, on infantilise les hommes, on répond qu'ils n'ont qu'à mieux faire attention avec ce qu'ils font de leur entrejambe, pourquoi admet on un discours aussi sexiste envers les hommes alors qu'il serait inaudible de dire la même chose d'une femme?

Alors donc, à quand le droit de l'homme à l'avortement. Et dans le cas où la femme refuserait, qu'elle signe une clause précisant qu'elle devra assumer seule exclusivement toute dépense future concernant cet enfant et que l'homme n'aura pas à assumer le moindre rôle paternel. Ne serait-ce pas là une décision qui promouvrait l'égalité des droits?

les pro avortement mettent en avant le fait de disposer librement de son corps monsieur peut disposer librement de ses spermatozoides en commençant par ne pas les semer n'importe où
un pére n'est pas obligé de reconnaitre son enfant une femme le porte et le mets au monde
combien de pére qui n'assument pas de toute façon? combien de mère célibataire ?
c'est pas comparable
 
les pro avortement mettent en avant le fait de disposer librement de son corps monsieur peut disposer librement de ses spermatozoides en commençant par ne pas les semer n'importe où
un pére n'est pas obligé de reconnaitre son enfant une femme le porte et le mets au monde
combien de pére qui n'assument pas de toute façon? combien de mère célibataire ?
c'est pas comparable

c'est dommage que tu n'évites pas l'argument sexiste. si on reproche aux hommes de semer leurs spermatozoides n'importe où, qu'on reproche aussi aux femmes d'ouvrir leur entre jambe à n'importe qui.

Le seul argument n'est pas de "disposer de son corps librement", on parle aussi de manque de moyens pour assumer l'enfant, de volonté de ne pas sacrifier sa vie professionnelle pour un enfant arrivé trop tôt, etc etc. S'il n'était que question du corps, il suffirait d'attendre 9 mois. Et concernant les autres arguments, ils concernent également les hommes. Enfin, quand bien même les hommes n'auraient pas le droit de choisir quand est ce qu'ils ont un enfant, pourquoi leur faire assumer le choix d'une autre?

concernant la reconnaissance de l'enfant par le père, c'est un peu flou pour toi. On peut OBLIGER un père à reconnaître son enfant, il suffit de démontrer qu'il y a eu un rapport sexuel entre l'homme et la femme concerné à la période supposée de la conception, et si nécessaire faire un test ADN. C'est ce qu'on appel une action en reconnaissance de paternité, souvent suivie d'une action à fin de subside. Donc, si l'enfant est bien l'enfant biologique de l'homme, il est obligé de le reconnaître et d'assumer les droits afférent à cette reconnaissance (comme si le père l'avait reconnut volontairement, SANS la moindre différence).

Après, le sujet des mères célibataires, c'est peut être aussi la conséquence d'une justice inégale qui accorde presque exclusivement la garde de l'enfant aux mères, sans tenir compte de façon égale une demande de garde des pères. Mais ça c'est un autre sujet.

Donc, pour en revenir au sujet, il est clair que le droit à la paternité est reconnu de façon très inégale entre l'homme et la femme, et aujourd'hui que le sujet est de nouveau d'actualité, je pense qu'il est important d'en profiter pour tordre le coup au sexisme et avancer les droits des hommes à l'avortement, administratif j'entend bien. Je connais quelqu'un par exemple dont la copine lui a menti en lui disant qu'elle prenait ses pilules, il ne voulait pas du tout de l'enfant mais il s'est retrouvé finalement obligé à l'assumer. Est-ce normal ?
 
@bigleux,
une femme t'a fait un gosse dans le dos pour tant de hargne :sournois: c'est toi le gars dont tu parles non?
cette femme s'est effectivement mal comportée mais on va pas changer les lois de la nature c'est la femme qui porte l'enfant et de ce fait en découle l'évidence pour certains du pouvoir de décision
ça peut paraitre injuste en effet
j'ai pas dit qu'il n'y avait pas de façon de faire reconnaitre une paternité mais combien de femmes ne vont pas devant les tribunaux et ne se lancent pas dans des batailles juridiques
bref on va pas rentrer dans de grands débats

si les gens réfléchissaient plus avant de penser à prendre du plaisir ... le débat n'existerait pas
 
@bigleux,
une femme t'a fait un gosse dans le dos pour tant de hargne :sournois: c'est toi le gars dont tu parles non?
cette femme s'est effectivement mal comportée mais on va pas changer les lois de la nature c'est la femme qui porte l'enfant et de ce fait en découle l'évidence pour certains du pouvoir de décision
ça peut paraitre injuste en effet
j'ai pas dit qu'il n'y avait pas de façon de faire reconnaitre une paternité mais combien de femmes ne vont pas devant les tribunaux et ne se lancent pas dans des batailles juridiques
bref on va pas rentrer dans de grands débats

si les gens réfléchissaient plus avant de penser à prendre du plaisir ... le débat n'existerait pas

arrête un peu avec cette façon de discuter juvénile, non je n'ai pas eu d'enfants dans le dos, et quand bien même ce serait vrai ça ne rendrait mon argument que plus juste et plus fort.

en gros, tu me dis "c'est comme ça et puis c'est tout", heureusement que ce n'est pas de cette façon qu'ont pensé les hommes et les femmes qui comptent. eh ben non, "et puis c'est pas tout", s'il n'y a pas d'argument pertinent pour donner le droit à un homme de décider de sa paternité quand ça lui chante, comme l'ensemble du spectre médiatique et politique le défend en ce moment même pour la femme, alors non il faudrait revoir la façon dont les choses sont pensées et offrir la possibilité à l'homme de se soustraire de toute obligation paternelle dans le cas où la femme, en toute liberté, décide de garder un enfant qu'elle ne souhaite qu'elle seule.
 
arrête un peu avec cette façon de discuter juvénile, non je n'ai pas eu d'enfants dans le dos, et quand bien même ce serait vrai ça ne rendrait mon argument que plus juste et plus fort.

en gros, tu me dis "c'est comme ça et puis c'est tout", heureusement que ce n'est pas de cette façon qu'ont pensé les hommes et les femmes qui comptent. eh ben non, "et puis c'est pas tout", s'il n'y a pas d'argument pertinent pour donner le droit à un homme de décider de sa paternité quand ça lui chante, comme l'ensemble du spectre médiatique et politique le défend en ce moment même pour la femme, alors non il faudrait revoir la façon dont les choses sont pensées et offrir la possibilité à l'homme de se soustraire de toute obligation paternelle dans le cas où la femme, en toute liberté, décide de garder un enfant qu'elle ne souhaite qu'elle seule.

ben ouais c'est comme ça tu n'es qu'un homme et c'est la femme qui porte l'enfant j'y peux rien essaies d'en discuter avec le bon Dieu et si elle veut le garder personne ne l'en empéchera à part des tarés comme cheb mani qui a séquestré sa femme pour la faire avorter
désolé pour tous les pauvres péres qui participent à la création d'un être sans le vouloir et oui le plaisir à ses conséquences et l'avortement est péché dans ma religion la fornication première erreur pas la peine d'en commettre une autre en tuant
bonne soirée :claque:
 
ben ouais c'est comme ça tu n'es qu'un homme et c'est la femme qui porte l'enfant j'y peux rien essaies d'en discuter avec le bon Dieu et si elle veut le garder personne ne l'en empéchera à part des tarés comme cheb mani qui a séquestré sa femme pour la faire avorter
désolé pour tous les pauvres péres qui participent à la création d'un être sans le vouloir et oui le plaisir à ses conséquences et l'avortement est péché dans ma religion la fornication première erreur pas la peine d'en commettre une autre en tuant
bonne soirée :claque:

personne ne veut l'empêcher, par contre elle doit assumer son choix et ne pas le faire assumer à d'autres. et ne parlons même pas de cas un peu particulier du genre mlle qui fait un enfant avec un millionnaire pour s'assurer une retraite dorée;

je te rejoins du point de vue religieux, mais je ne suis pas adepte des demi mesures, surtout lorsqu'elles sont inégales. Soit on est contre l'avortement dans sa globalité, soit on l'admet de façon égal pour tous. Qu'on ne dise pas "c'est le droit de disposer de son corps et de choisir quand on veut avoir un enfant" lorsqu'il est question de femmes, mais lorsqu'il devient question d'homme on dit "on ne va pas encourager de tuer des petits enfants".

bonne soirée !
 
personne ne veut l'empêcher, par contre elle doit assumer son choix et ne pas le faire assumer à d'autres. et ne parlons même pas de cas un peu particulier du genre mlle qui fait un enfant avec un millionnaire pour s'assurer une retraite dorée;

je te rejoins du point de vue religieux, mais je ne suis pas adepte des demi mesures, surtout lorsqu'elles sont inégales. Soit on est contre l'avortement dans sa globalité, soit on l'admet de façon égal pour tous. Qu'on ne dise pas "c'est le droit de disposer de son corps et de choisir quand on veut avoir un enfant" lorsqu'il est question de femmes, mais lorsqu'il devient question d'homme on dit "on ne va pas encourager de tuer des petits enfants".

bonne soirée !
tu es adepte de discuter avec seulement des gens qui vont dans ton sens ..vu ta façon de répondre^^
 
Non mais de toute façon l'homme n'a rien à dire sur le corps de la femme et elle est la seule à décider en ce qui concerne. Après un enfant n'a pas demandé à naitre et les deux parents doivent prendre leur responsabilité face à cet enfant et c'est pour ça que la justice tranche toujours pour le bien être de l'enfant et pas en fonction des gueguerre des parents. Chacun doit prendre ses responsabilités la contraception n'est pas juste l'affaire des femmes. Quand on fait l'amour il y a toujours un risque, même sans le vouloir un accident peut toujours arriver.

Tiens on se croirais revenu il y a 40 ans au moment des débats sur l'avortement à l'assemblée nationale! C'est fou cette volonté de vouloir remettre en cause les droits des femmes
 
Non mais de toute façon l'homme n'a rien à dire sur le corps de la femme et elle est la seule à décider en ce qui concerne. Après un enfant n'a pas demandé à naitre et les deux parents doivent prendre leur responsabilité face à cet enfant et c'est pour ça que la justice tranche toujours pour le bien être de l'enfant et pas en fonction des gueguerre des parents. Chacun doit prendre ses responsabilités la contraception n'est pas juste l'affaire des femmes. Quand on fait l'amour il y a toujours un risque, même sans le vouloir un accident peut toujours arriver.

Tiens on se croirais revenu il y a 40 ans au moment des débats sur l'avortement à l'assemblée nationale! C'est fou cette volonté de vouloir remettre en cause les droits des femmes

pourquoi vous vous obstinez à faire semblant de ne pas comprendre ? il n'est pas question de les contraindre législativement à avorter si elles ne le veulent pas, il est question qu'elles assument leur responsabilité si elles font le choix de garder l'enfant. Parmi le droit des femmes il y a le droit d'imposer son choix à un autre homme ? si une femme veut avoir un enfant, grand bien lui en fasse, mais l'homme devrait avoir son mot à dire, comme la femme a son mot à dire. L'enfant se fait à deux, s'éduque à deux, et l'avortement devrait pouvoir se faire à deux. Si après on dit que les moyens de contraceptions ne sont pas sûr à 100%, c'est aussi vrai pour les hommes que pour les femmes, alors pourquoi un homme devrait assumer une éventuelle erreur, alors que si c'est le cas pour une femme elle n'a rien à assumer et peut décider en toute liberté si elle veut avoir un enfant ou non ? la liberté devrait pouvoir s'appliquer aux deux, c'est cela l'égalité.

Je ne pense pas qu'il y a 40 ans il y avait ce genre d'idées, alors laisse tomber tes phrases à tiroirs, je n'ai pas envie de lire dans tes prochains messages "ton discours me rappel les pages les plus sombre de notre histoire", ou bien "il y a un arrière goût nauséabond dans ce que tu dis", "la république laique promeut l'égalité entre les hommes et les femmes ! c'est pour ça que les hommes devraient la fermer! "
 
tu es adepte de discuter avec seulement des gens qui vont dans ton sens ..vu ta façon de répondre^^

je n'ai pas cette impression à priori. Je n'aime pas me répéter, c'est un fait. Je n'aime pas non plus qu'un débat sur une idée, une politique, ou autre, tourne en une discussion sur moi ou sur quelqu'un d'autre. alors arrêtons de parler de moi, de ce que j'aime ou n'aime pas, de combien d'enfants illégitime j'ai et de si j'ai une pensée des années 60 ou une pensée des années 3520.
 
pourquoi vous vous obstinez à faire semblant de ne pas comprendre ? il n'est pas question de les contraindre législativement à avorter si elles ne le veulent pas, il est question qu'elles assument leur responsabilité si elles font le choix de garder l'enfant. Parmi le droit des femmes il y a le droit d'imposer son choix à un autre homme ? si une femme veut avoir un enfant, grand bien lui en fasse, mais l'homme devrait avoir son mot à dire, comme la femme a son mot à dire. L'enfant se fait à deux, s'éduque à deux, et l'avortement devrait pouvoir se faire à deux. Si après on dit que les moyens de contraceptions ne sont pas sûr à 100%, c'est aussi vrai pour les hommes que pour les femmes, alors pourquoi un homme devrait assumer une éventuelle erreur, alors que si c'est le cas pour une femme elle n'a rien à assumer et peut décider en toute liberté si elle veut avoir un enfant ou non ? la liberté devrait pouvoir s'appliquer aux deux, c'est cela l'égalité.

Je ne pense pas qu'il y a 40 ans il y avait ce genre d'idées, alors laisse tomber tes phrases à tiroirs, je n'ai pas envie de lire dans tes prochains messages "ton discours me rappel les pages les plus sombre de notre histoire", ou bien "il y a un arrière goût nauséabond dans ce que tu dis", "la république laique promeut l'égalité entre les hommes et les femmes ! c'est pour ça que les hommes devraient la fermer! "

Si justement ton discours est en plein dans les discours des députes et sénateurs de l'époque. Regarde dans les archives de l'ina. Aprés ce que toi tu as pas l'air de comprendre c'est que là on parle de l'enfant c'est lui qui prime pour la justice et pas le fait que son géniteur en voulait pas. Maintenant il est là faut faire avec et assumer. Et le mec qui a pas confiance dans la nana avec qui il couche bein capote mon vieux, ca évitera qu'on lui fasse un enfant dans le dos qu'il devra assumer.
 
Si justement ton discours est en plein dans les discours des députes et sénateurs de l'époque. Regarde dans les archives de l'ina. Aprés ce que toi tu as pas l'air de comprendre c'est que là on parle de l'enfant c'est lui qui prime pour la justice et pas le fait que son géniteur en voulait pas. Maintenant il est là faut faire avec et assumer. Et le mec qui a pas confiance dans la nana avec qui il couche bein capote mon vieux, ca évitera qu'on lui fasse un enfant dans le dos qu'il devra assumer.

non, mon discours vise à appliquer aux femmes ce que tu dis sur les hommes pour en pointer le manque de logique, et donc réclamer pour les hommes ce que tu défends pour les femmes. Exemple, tu dis "le mec n'a qu'à mettre une capote, sinon il assume !", alors du coup j'imagine que tu va dire "la femme n'a qu'à prendre des contraceptifs, sinon elle assume !", alors là, en disant ça, c'est qui qui a un discours des années 60, moi ou toi ?

en matière d'avortement, on ne parle pas encore de l'enfant, donc c'est un autre sujet. Après, dans la société française d'aujourd'hui où avoir deux papas ou deux mamans ne pose plus de problème d'un point de vue juridique pour l'enfant, je suis sûr que tu ne trouvera pas moins sain pour l'enfant d'avoir qu'une seule maman ou qu'un seul papa. et la femme qui décide de garder le garçon devra en avoir conscience, ou se trouver un autre homme.
 
non, mon discours vise à appliquer aux femmes ce que tu dis sur les hommes pour en pointer le manque de logique, et donc réclamer pour les hommes ce que tu défends pour les femmes. Exemple, tu dis "le mec n'a qu'à mettre une capote, sinon il assume !", alors du coup j'imagine que tu va dire "la femme n'a qu'à prendre des contraceptifs, sinon elle assume !", alors là, en disant ça, c'est qui qui a un discours des années 60, moi ou toi ?

en matière d'avortement, on ne parle pas encore de l'enfant, donc c'est un autre sujet. Après, dans la société française d'aujourd'hui où avoir deux papas ou deux mamans ne pose plus de problème d'un point de vue juridique pour l'enfant, je suis sûr que tu ne trouvera pas moins sain pour l'enfant d'avoir qu'une seule maman ou qu'un seul papa. et la femme qui décide de garder le garçon devra en avoir conscience, ou se trouver un autre homme.

Oui c'est une façon de voir les choses, mais comme je te l'ai expliqué la justice ne s'occupe pas des histoires de couple. Quand un enfant est là quoi qu'il est pu se passer au préalable entre les parents c'est son bien être qui compte donc le papa se doit de verser une pension alimentaire. Mais bon en général quand une femme décide de faire un enfant toute seule elle l'assume et demande rien au père. Et puis n'oublions pas aussi tout les pères qui font des enfants de façon volontaire avec des femmes et se carapatent ensuite sans payer de pension alimentaire.
 
je n'ai pas cette impression à priori. Je n'aime pas me répéter, c'est un fait. Je n'aime pas non plus qu'un débat sur une idée, une politique, ou autre, tourne en une discussion sur moi ou sur quelqu'un d'autre. alors arrêtons de parler de moi, de ce que j'aime ou n'aime pas, de combien d'enfants illégitime j'ai et de si j'ai une pensée des années 60 ou une pensée des années 3520.

J'ai dit ça p c'est tout...tu avais l'air tendu...
 
Le débat est d'actualité, mais jamais l'homme n'est concerné dans la discussion. Alors quoi, on oublierait que pour faire un enfant on est deux, et que du coup pour avorter on devrait être deux aussi ? Je comprends qu'une femme puisse se décider d'elle même d'avorter et d'en assumer la responsabilité seule, ce n'est pas ce que je mets en doute, par contre je mets en doute la situation suivante: qu'en est il du cas où la femme ne souhaite pas avorter, alors que l'homme lui ne souhaite pas cet enfant ? pourquoi ne reconnaît on pas également un "droit à l'avortement" pour les hommes ? Dès qu'on dit ça, on infantilise les hommes, on répond qu'ils n'ont qu'à mieux faire attention avec ce qu'ils font de leur entrejambe, pourquoi admet on un discours aussi sexiste envers les hommes alors qu'il serait inaudible de dire la même chose d'une femme?

Alors donc, à quand le droit de l'homme à l'avortement. Et dans le cas où la femme refuserait, qu'elle signe une clause précisant qu'elle devra assumer seule exclusivement toute dépense future concernant cet enfant et que l'homme n'aura pas à assumer le moindre rôle paternel. Ne serait-ce pas là une décision qui promouvrait l'égalité des droits?
Le débat est intéressant mais constructif? Je ne pense pas... Tenter de donner un droit de décision sur la gestion du corps d'une femme à un homme, ce serait marcher sur un terrain miné...
Cela dit même si je doute de la possibilité d'un quelconque droit à l'avortement pour les hommes, je suis d'accord sur le fait que dans un cas comme dans l'autre, l'homme ne fait que subir la décision de la femme qui est censé les concerner eux deux...
 
Le débat est d'actualité, mais jamais l'homme n'est concerné dans la discussion. Alors quoi, on oublierait que pour faire un enfant on est deux, et que du coup pour avorter on devrait être deux aussi ? Je comprends qu'une femme puisse se décider d'elle même d'avorter et d'en assumer la responsabilité seule, ce n'est pas ce que je mets en doute, par contre je mets en doute la situation suivante: qu'en est il du cas où la femme ne souhaite pas avorter, alors que l'homme lui ne souhaite pas cet enfant ? pourquoi ne reconnaît on pas également un "droit à l'avortement" pour les hommes ? Dès qu'on dit ça, on infantilise les hommes, on répond qu'ils n'ont qu'à mieux faire attention avec ce qu'ils font de leur entrejambe, pourquoi admet on un discours aussi sexiste envers les hommes alors qu'il serait inaudible de dire la même chose d'une femme?

Alors donc, à quand le droit de l'homme à l'avortement. Et dans le cas où la femme refuserait, qu'elle signe une clause précisant qu'elle devra assumer seule exclusivement toute dépense future concernant cet enfant et que l'homme n'aura pas à assumer le moindre rôle paternel. Ne serait-ce pas là une décision qui promouvrait l'égalité des droits?

Parce que un homme n'a pas de droit de regard sur le corps d'une autre personne. une femme en l’occurrence. ET donc un homme n'a pas le droit de forcer une femme à un acte médical. D'ailleurs comment va-t-il s'y prendre ? il va aller dans les tribunaux, ensuite chez les flics qui viendront restreindra sa femme, et l'emmener de force à un hôpital pour l'enchainer ou la mettre en camisole voire la droguée et ensuite procéder à une IFG.
Interruption Forcée de Grossesse.

L'avortement est une question de femme, qui concerne en premier lieu les femmes, car ce sont elles qui enfantent. Après pour les mères porteuses qui portent la progéniture d'un couple, si le fœtus souffre de malformation de maladie extrêmement handicapante, et détectable dans les premières semaines de grossesse, les parents biologiques doivent avoir un droit de regard sur l'opportunité de laisser la grossesse aller à son terme ou pas.
 
les pro avortement mettent en avant le fait de disposer librement de son corps monsieur peut disposer librement de ses spermatozoides en commençant par ne pas les semer n'importe où
un pére n'est pas obligé de reconnaitre son enfant une femme le porte et le mets au monde
combien de pére qui n'assument pas de toute façon? combien de mère célibataire ?
c'est pas comparable

Un peu quand même non ?
 
Le débat est d'actualité, mais jamais l'homme n'est concerné dans la discussion. Alors quoi, on oublierait que pour faire un enfant on est deux, et que du coup pour avorter on devrait être deux aussi ? Je comprends qu'une femme puisse se décider d'elle même d'avorter et d'en assumer la responsabilité seule, ce n'est pas ce que je mets en doute, par contre je mets en doute la situation suivante: qu'en est il du cas où la femme ne souhaite pas avorter, alors que l'homme lui ne souhaite pas cet enfant ? pourquoi ne reconnaît on pas également un "droit à l'avortement" pour les hommes ? Dès qu'on dit ça, on infantilise les hommes, on répond qu'ils n'ont qu'à mieux faire attention avec ce qu'ils font de leur entrejambe, pourquoi admet on un discours aussi sexiste envers les hommes alors qu'il serait inaudible de dire la même chose d'une femme?

Alors donc, à quand le droit de l'homme à l'avortement. Et dans le cas où la femme refuserait, qu'elle signe une clause précisant qu'elle devra assumer seule exclusivement toute dépense future concernant cet enfant et que l'homme n'aura pas à assumer le moindre rôle paternel. Ne serait-ce pas là une décision qui promouvrait l'égalité des droits?
non pour moi la décision revient à la femme. on ne peut pas obliger une femme à garder un enfant qu'elle ne veut pas et on ne peut pas lui retirer du ventre si elle le veut.

et si elle le garde aucun papier qu'elle signera ne changera le fait que l'homme est père de cet enfant. bon après si vous voulez donner aux hommes le droit d'être un père indigne pourquoi pas mais je trouve ça nul perso.
 
Oui c'est une façon de voir les choses, mais comme je te l'ai expliqué la justice ne s'occupe pas des histoires de couple. Quand un enfant est là quoi qu'il est pu se passer au préalable entre les parents c'est son bien être qui compte donc le papa se doit de verser une pension alimentaire. Mais bon en général quand une femme décide de faire un enfant toute seule elle l'assume et demande rien au père. Et puis n'oublions pas aussi tout les pères qui font des enfants de façon volontaire avec des femmes et se carapatent ensuite sans payer de pension alimentaire.

la loi est là pour s'assurer que le en général, qui paraît logique, soit le légal qui puisse s'appliquer en tout état de droit, au lieu de laisser l'arbitraire d'une personne décider selon ce qu'elle veut. Le bien être de l'enfant ne passe pas par un chèque mensuel d'un père qui ne l'a jamais voulu et qui ne se priverai pas de le lui répéter, c'est d'ailleurs un argument utilisé pour défendre l'avortement pour les femmes: de nouveau un argument qu'on accepte pour les femmes est refusé pour les hommes.

Le débat est intéressant mais constructif? Je ne pense pas... Tenter de donner un droit de décision sur la gestion du corps d'une femme à un homme, ce serait marcher sur un terrain miné...
Cela dit même si je doute de la possibilité d'un quelconque droit à l'avortement pour les hommes, je suis d'accord sur le fait que dans un cas comme dans l'autre, l'homme ne fait que subir la décision de la femme qui est censé les concerner eux deux...

ce n'est pas du droit de gestion du corps d'une femme qu'on parle, mais de liberté de choisir quand est ce qu'un homme veut avoir un enfant. La femme peut choisir d'avoir l'enfant si elle le souhaite, mais elle saura qu'elle ne pourra pas réclamer de droit paternel pour l'enfant qu'elle attend à l'homme qui n'en voulait pas.
Parce que un homme n'a pas de droit de regard sur le corps d'une autre personne. une femme en l’occurrence. ET donc un homme n'a pas le droit de forcer une femme à un acte médical. D'ailleurs comment va-t-il s'y prendre ? il va aller dans les tribunaux, ensuite chez les flics qui viendront restreindra sa femme, et l'emmener de force à un hôpital pour l'enchainer ou la mettre en camisole voire la droguée et ensuite procéder à une IFG.
Interruption Forcée de Grossesse.

L'avortement est une question de femme, qui concerne en premier lieu les femmes, car ce sont elles qui enfantent. Après pour les mères porteuses qui portent la progéniture d'un couple, si le fœtus souffre de malformation de maladie extrêmement handicapante, et détectable dans les premières semaines de grossesse, les parents biologiques doivent avoir un droit de regard sur l'opportunité de laisser la grossesse aller à son terme ou pas.

je parlais d'avortement administratif, la femme peut avoir toute la liberté qu'elle veut d'avorter ou non, par contre l'homme lui aura toute la liberté de reconnaître l'enfant ou non : on peut imaginer que pendant la période où l'avortement est légal, l'homme pourrait administrativement acter qu'il ne souhaite pas de cet enfant, et que par conséquent si la femme décide de le garder eh bien il n'aura pas à assumer la moindre responsabilité sur cet enfant. Ce sera alors un enfant né du choix de la mère, consciente de la responsabilité qu'elle devra assumer, et en laissant la liberté au père (qui n'en est plus un légalement) de choisir quand il veut avoir un enfant. C'est donner le même choix aux hommes qu'aux femmes, sans porter atteinte aux corps des femmes, c'est cela l'égalité.

non pour moi la décision revient à la femme. on ne peut pas obliger une femme à garder un enfant qu'elle ne veut pas et on ne peut pas lui retirer du ventre si elle le veut.

et si elle le garde aucun papier qu'elle signera ne changera le fait que l'homme est père de cet enfant. bon après si vous voulez donner aux hommes le droit d'être un père indigne pourquoi pas mais je trouve ça nul perso.

pourquoi on admet un jugement moral lorsqu'on parle des hommes ? est ce qu'on dit qu'une femme qui avorte était une femme légère sans responsabilité ? il n'est pas question d'être un père indigne, mais d'être un homme libre de choisir lorsqu'il veut avoir un enfant et pouvant jouir de son corps, comme les femmes le peuvent aujourd'hui. Personne ne veut le lui retirer de son corps, c'est son choix comme tu dis, mais lorsque le choix est unilatéral, la responsabilité doit l'être aussi.
 
pourquoi on admet un jugement moral lorsqu'on parle des hommes ? est ce qu'on dit qu'une femme qui avorte était une femme légère sans responsabilité ? il n'est pas question d'être un père indigne, mais d'être un homme libre de choisir lorsqu'il veut avoir un enfant et pouvant jouir de son corps, comme les femmes le peuvent aujourd'hui. Personne ne veut le lui retirer de son corps, c'est son choix comme tu dis, mais lorsque le choix est unilatéral, la responsabilité doit l'être aussi.
oui on le dit :D
bien sur qu'un père qui ne veut rien savoir d'un enfant qui est le sien est un père indigne.
la nature est faite de sorte à ce qu'une fois l'enfant conçu, l'homme n'a plus le pouvoir de faire ctrl^z. et ça il le sait dès le début donc raison de plus pour faire plus attention que la femme qui a la possibilité de prendre la pilule du lendemain.
 
Le débat est d'actualité, mais jamais l'homme n'est concerné dans la discussion. Alors quoi, on oublierait que pour faire un enfant on est deux, et que du coup pour avorter on devrait être deux aussi ? Je comprends qu'une femme puisse se décider d'elle même d'avorter et d'en assumer la responsabilité seule, ce n'est pas ce que je mets en doute, par contre je mets en doute la situation suivante: qu'en est il du cas où la femme ne souhaite pas avorter, alors que l'homme lui ne souhaite pas cet enfant ? pourquoi ne reconnaît on pas également un "droit à l'avortement" pour les hommes ? Dès qu'on dit ça, on infantilise les hommes, on répond qu'ils n'ont qu'à mieux faire attention avec ce qu'ils font de leur entrejambe, pourquoi admet on un discours aussi sexiste envers les hommes alors qu'il serait inaudible de dire la même chose d'une femme?

Alors donc, à quand le droit de l'homme à l'avortement. Et dans le cas où la femme refuserait, qu'elle signe une clause précisant qu'elle devra assumer seule exclusivement toute dépense future concernant cet enfant et que l'homme n'aura pas à assumer le moindre rôle paternel. Ne serait-ce pas là une décision qui promouvrait l'égalité des droits?

Je ne suis pas d'accord du tout. Bon j'aime pas trop le "droit" à l'avortement mais si un homme peut demander à sa femme d'avorter sous peine de ne pas avoir à assumer l'enfant financiérement, ça lui donne un pouvoir sur la femme.
Je ne trouve pas qu'il y'a un parralèle avec le fait que la femme peut forcer l'homme à reconnaître l'enfant, parce que l'homme devra payer une pension etc., sauf que la femme doit s'occuper du gosse. S'occuper d'un enfant est bien plus prenant que donner de l'argent tous les mois.

En fait je trouve que l'homme s'en sort très bien si le pire qui peut lui arriver, c'est d'avoir à faire un virement tous les mois ...
 
oui on le dit :D
bien sur qu'un père qui ne veut rien savoir d'un enfant qui est le sien est un père indigne.
la nature est faite de sorte à ce qu'une fois l'enfant conçu, l'homme n'a plus le pouvoir de faire ctrl^z. et ça il le sait dès le début donc raison de plus pour faire plus attention que la femme qui a la possibilité de prendre la pilule du lendemain.

toi tu te le permets de le dire, tant pis pour toi, après va le dire dans un plateau télé pour justifier, comme tu le fais ici pour les hommes, que les femmes ne doivent pas avoir le droit à l'avortement, et on verra comment ça se passe.

si on devait à la nature de décider, l'enfant naîtrait, et le père ferait ce que bon lui semble. Mais on ne vit pas dans la jungle, et les lois sont là pour harmoniser les rapports entre êtres humains. Il faudrait du coup ne pas oublier les hommes dans ce processus de harmonisation en leur accordant le droit de dire que non, ils ne sont pas parti pris dans cette futur naissance décidée unilatéralement par la mère, et que par conséquent ils ne doivent pas servir de carte bancaire.
 
Je ne suis pas d'accord du tout. Bon j'aime pas trop le "droit" à l'avortement mais si un homme peut demander à sa femme d'avorter sous peine de ne pas avoir à assumer l'enfant financiérement, ça lui donne un pouvoir sur la femme.
Je ne trouve pas qu'il y'a un parralèle avec le fait que la femme peut forcer l'homme à reconnaître l'enfant, parce que l'homme devra payer une pension etc., sauf que la femme doit s'occuper du gosse. S'occuper d'un enfant est bien plus prenant que donner de l'argent tous les mois.

En fait je trouve que l'homme s'en sort très bien si le pire qui peut lui arriver, c'est d'avoir à faire un virement tous les mois ...

au 21ème siècle, c'est ridicule de dire que l'homme a un pouvoir financier sur la femme. La femme n'a qu'à s'assumer personnellement, étudier et briller professionnellement au lieu de compter sur un papa réticent pour boucler ses fins de mois. Et puis, qu'en est il des hommes ? qui est ce qu'ils peuvent faire chanter pour avoir des versements mensuels de quelqu'un qui n'a même pas eu son mot à dire dans l'histoire ? à notre époque, faut laisser les discours préhistorique et assumer l'égalité pleinement.

la femme fait le choix d'avoir cet enfant, elle fait le choix de le garder, de s'en occuper, c'est un choix qu'elle fait, et non pas quelque chose dont devrait être reconnaissant l'homme. Si la naissance de cet enfant est voulue par les deux partenaires, alors là évidemment la responsabilité financière incombe aux deux, personne n'en dira le contraire.

voilà maintenant que l'homme devrait se sentir heureux de se faire vider les poches sans avoir rien à dire. c'est vrai, ça aurait pu être pire, il aurait pu aller en prison pour pas avoir voulu avoir un enfant, n'est ce pas ?
 
Le débat est d'actualité, mais jamais l'homme n'est concerné dans la discussion. Alors quoi, on oublierait que pour faire un enfant on est deux, et que du coup pour avorter on devrait être deux aussi ? Je comprends qu'une femme puisse se décider d'elle même d'avorter et d'en assumer la responsabilité seule, ce n'est pas ce que je mets en doute, par contre je mets en doute la situation suivante: qu'en est il du cas où la femme ne souhaite pas avorter, alors que l'homme lui ne souhaite pas cet enfant ? pourquoi ne reconnaît on pas également un "droit à l'avortement" pour les hommes ? Dès qu'on dit ça, on infantilise les hommes, on répond qu'ils n'ont qu'à mieux faire attention avec ce qu'ils font de leur entrejambe, pourquoi admet on un discours aussi sexiste envers les hommes alors qu'il serait inaudible de dire la même chose d'une femme?

Alors donc, à quand le droit de l'homme à l'avortement. Et dans le cas où la femme refuserait, qu'elle signe une clause précisant qu'elle devra assumer seule exclusivement toute dépense future concernant cet enfant et que l'homme n'aura pas à assumer le moindre rôle paternel. Ne serait-ce pas là une décision qui promouvrait l'égalité des droits?

Parce que ce n'est pas l'homme qui doit supporter une grossesse non désirée ou à risque, il s'agit du corps de la femme et je ne vois pas en quoi les hommes auraient un quelconque droit décisionnel en ce qui concerne mon corps.
 
Parce que ce n'est pas l'homme qui doit supporter une grossesse non désirée ou à risque, il s'agit du corps de la femme et je ne vois pas en quoi les hommes auraient un quelconque droit décisionnel en ce qui concerne mon corps.

il semble que ce soit un point qui échappe à beaucoup de monde. Pour faire simple : de leurs corps les femmes font ce qu'elles veulent, et de leur portefeuille les hommes devraient pouvoir ce qu'ils veulent aussi. Si le choix de garder l'enfant est uniquement du côté de la mère, alors le père ne devrait pas avoir à assumer la responsabilité du choix de la mère, un choix qu'il n'a pas voulu: aujourd'hui la situation est totalement injuste pour les hommes, ils ne peuvent pas choisir quand est ce qu'ils ont un enfant, et se trouvent menés parfois des vies misérables pour supporter une naissance qu'ils n'ont jamais voulu par parfois une ruse d'une femme. A l'époque où l'égalité homme femme est encouragée, qu'on admette l'égalité des droits et des responsabilités.
 
Dernière édition:
toi tu te le permets de le dire, tant pis pour toi, après va le dire dans un plateau télé pour justifier, comme tu le fais ici pour les hommes, que les femmes ne doivent pas avoir le droit à l'avortement, et on verra comment ça se passe.

si on devait à la nature de décider, l'enfant naîtrait, et le père ferait ce que bon lui semble. Mais on ne vit pas dans la jungle, et les lois sont là pour harmoniser les rapports entre êtres humains. Il faudrait du coup ne pas oublier les hommes dans ce processus de harmonisation en leur accordant le droit de dire que non, ils ne sont pas parti pris dans cette futur naissance décidée unilatéralement par la mère, et que par conséquent ils ne doivent pas servir de carte bancaire.
loool sur un plateau télé ? ok arrange moi ça et paye moi le déplacement :D
mais ou ai-je dit que la femme ne doit pas avoir le droit à l'avortement ?

quoi que dise l'homme, qu'il assume ou pas sa paternité, le fait qu'il sera père ne peut être changé par aucune loi. le fait qu'il a abandonné un enfant vivant ne peut être maquillé par aucune législation.
 
Non...
Combien de femme ne font pas de demarches pour cela?
En France combien de meres celibataires perçoivent l'asf car défaillance du père pas de pensions alimentaires etc..
effectivement, beaucoup ne font pas les démarches, mais comme tu le sous entends elles peuvent les faire.
lui il veut qu'elles ne puissent pas les faire.
 
Comme tu dis un enfant se fait à deux..l'homme savait le risque qu'il prenait...à lui aussi de prendre ses précautions pour ne pas se retrouver dans cette situation...
Pauvre enfant...combien de personnes irresponsables se retrouvent" parents"...je plains ces pauvres enfants qui n'ont rien demandé..
 
Comme tu dis un enfant se fait à deux..l'homme savait le risque qu'il prenait...à lui aussi de prendre ses précautions pour ne pas se retrouver dans cette situation...
Pauvre enfant...combien de personnes irresponsables se retrouvent" parents"...je plains ces pauvres enfants qui n'ont rien demandé..

si le risque pris suffit à justifier de ne plus avoir le choix, alors l'avortement pour les femmes devrait aussi être interdit. Ce qui n'est pas le cas.
si l'intérêt de l'enfant est le seul pris en compte, sans considérer la responsabilité du choix de la mère, serait il aussi nécessaire d'interdire les naissances sous x, de donner son enfant à un orphelinat, etc ?

quelque soit la façon dont vous pouvez tourner les choses, on en arrive toujours au même point: des arguments inadmissibles pour les femmes sont utilisés contre le droit des hommes, et la situation est clairement inégale.

loool sur un plateau télé ? ok arrange moi ça et paye moi le déplacement :D
mais ou ai-je dit que la femme ne doit pas avoir le droit à l'avortement ?

quoi que dise l'homme, qu'il assume ou pas sa paternité, le fait qu'il sera père ne peut être changé par aucune loi. le fait qu'il a abandonné un enfant vivant ne peut être maquillé par aucune législation.

je te bousculais un peu en disant ça car comme je l'ai montré dans mes réponses, tout tes arguments sont d'applications contre le droit d'avortement des femmes, et que par conséquent si tu les maintiens tu devrais aussi être contre l'avortement de façon générale.

t'es rapide à juger le père de façon générale. Il y a un célèbre cas aux usa où une femme a prétendu être infertile, et qu'en plus elle prenait des contraceptifs, pour pousser son petit ami à avoir des relations non protégées avec elle, avant de le surprendre avec un bébé. Est ce que l'homme a eu son mot à dire dans cette affaire? pourquoi la femme serait elle la seule à décider en toute autorité quand elle voudrait être mère, sans avoir à en assumer l'entière responsabilité? Soit, si tu tiens à la nature biologique des choses, l'enfant portera la marque génétique de l'homme, mais ce n'est pas tout ce qui compte et il y a plusieurs situations existantes aujourd'hui où l'on admet bien que la biologie n'est plus la maîtresse de nos lois. Vaut il mieux responsabiliser les femmes dans leur choix à l'avortement, et donner des droits égaux aux hommes par conséquent, ou bien obliger certains hommes à avoir un enfant dont ils n'ont jamais voulu et les pousser parfois à mener des vies misérables ?
 
Les femmes peuvent être conforter à des situations qui les poussent à avorter comme un viol...l'homme lui ne peut pas tomber enceinte à la suite d'un viol..j'espère que tu comprends au moins ça...
 
Considérons l'exemple hypothétique suivant pour fixer les idées et les positions, à destination des gens qui disent que l'homme devrait choisir avant d'avoir une relation sexuelles.

Imaginons qu'un homme porte un préservatif, et que la femme prend une pilule ou un autre contraceptif, mais que la grossesse a tout de même lieu (c'est déjà arrivé, ni les préservatifs ni les contraceptifs ne sont sûrs à 100%). L'homme de toute évidence ne voulait pas la rendre enceinte, c'est pour ça qu'il a porté un préservatif. La femme ne voulait pas non plus être enceinte, mais finalement se décide à garder l'enfant, tandis que l'homme ne veut pas le garder, quel recours a-t-il? actuellement, aucun.

La seule solution présentée jusque là a été de dire simplement "il n'avait qu'à pas avoir de relation sexuels s'il n'était pas prêt à assumer les possibles conséquences", et je me demandais et continu à me demander pourquoi on n'applique pas la même idée aux femmes dans ce cas? dans l'exemple ci dessus, supposons que la femme ne voulait pas garder l'enfant parceque simplement elle n'essayait pas d'être enceinte, alors elle peut avorter tout simplement, elle n'a pas à assumer de possibles conséquences. L'homme par contre n'a aucune option.
 
Les femmes peuvent être conforter à des situations qui les poussent à avorter comme un viol...l'homme lui ne peut pas tomber enceinte à la suite d'un viol..j'espère que tu comprends au moins ça...

l'avortement n'est pas autorisé qu'en cas de viol, c'est de l'histoire ancienne ça. Et puis, comme je le disais dans l'exemple juste au dessus de ton message, l'homme peut être piégé et rendu esclave pendant des dizaines d'années par une femme qui l'aura piégé avec une grossesse, j'espère que tu comprends au moins ça...
 
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