salam
10 experts plancheront dans le comité consultatif créé par Google sur le droit à l’oubli. Parmi eux, une Française, Sylvie Kauffmann, directrice éditorial du Monde.
Sur le droit à l’oubli, Google ne veut pas avoir l’air de faire les choses dans son coin. Après la décision de la cour européenne d’imposer aux moteurs de recherches la gestion des demandes de déréférencement, le géant de Mountain View a décidé de créer un comité composé d’experts comme nous l'annonçions dans un précédent article publié début juin.
Le groupe américain dévoile désormais les personnalités qui composent ce groupe piloté par Eric Schmidt, président de Google, et de David Drummond, vice-président et directeur juridique international de Google. Il se composera finalement de plus d’Européens qu’on ne l’imaginait.
L’idée est de faire participer toutes les composantes impliquées dans le droit à l’oubli, en l’occurrence des spécialistes du droit européen, des universitaires, des journalistes et des personnalités du web éditorial. Une manière pour Google de montrer qu’il prend l’affaire très au sérieux et qu’il ne compte pas passer par un règlement américano-américain.
http://www.01net.com/editorial/623676/droit-a-l-oubli-google-en-dit-plus-sur-son-comite-d-experts/
10 experts plancheront dans le comité consultatif créé par Google sur le droit à l’oubli. Parmi eux, une Française, Sylvie Kauffmann, directrice éditorial du Monde.
Sur le droit à l’oubli, Google ne veut pas avoir l’air de faire les choses dans son coin. Après la décision de la cour européenne d’imposer aux moteurs de recherches la gestion des demandes de déréférencement, le géant de Mountain View a décidé de créer un comité composé d’experts comme nous l'annonçions dans un précédent article publié début juin.
Le groupe américain dévoile désormais les personnalités qui composent ce groupe piloté par Eric Schmidt, président de Google, et de David Drummond, vice-président et directeur juridique international de Google. Il se composera finalement de plus d’Européens qu’on ne l’imaginait.
L’idée est de faire participer toutes les composantes impliquées dans le droit à l’oubli, en l’occurrence des spécialistes du droit européen, des universitaires, des journalistes et des personnalités du web éditorial. Une manière pour Google de montrer qu’il prend l’affaire très au sérieux et qu’il ne compte pas passer par un règlement américano-américain.
http://www.01net.com/editorial/623676/droit-a-l-oubli-google-en-dit-plus-sur-son-comite-d-experts/