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Société
Pour traquer le flux incessant de migrants clandestins et le transport de cargaisons de drogue notamment le haschisch, l’Europe envisage de construire une base de drones au Maroc.
L’information a été révélée ce matin par le journal Al Massae qui s’appuie sur des sources diplomatiques. Selon la publication, l’Union européenne avec à leur tête l’Espagne, l’Italie et la France ont proposé au Maroc la construction d’une base de drones sur son sol. La même demande a été faite à la Tunisie et l’Algérie, mais ces derniers auraient refusé par peur d’être espionnés.
Ces drones serviraient à barrer la route aux immigrés clandestins qui arrivent sur le sol européen notamment le sud de l’Italie et l’Espagne, mais ils pourraient également servir à traquer les trafiquants de drogue qui sévissent entre le nord du Maroc et l’Espagne.
Ces derniers utilisent de puissants go-fast pour acheminer leur cargaison du nord du Maroc jusqu’au sud de l’Espagne. Plusieurs dizaines de tonnes rentrent chaque année par ce moyen de transport.
Pour l’instant, ces trois pays sont assez réticents à donner leur accord et l’Europe penserait déjà à une alternative beaucoup plus radicale : l’intervention militaire sur le sol libyen. Certains pays, comme l’Italie, l’Espagne et le Royaume-Uni, se disent même prêts à y participer.
Source: BLADI
Pour traquer le flux incessant de migrants clandestins et le transport de cargaisons de drogue notamment le haschisch, l’Europe envisage de construire une base de drones au Maroc.
L’information a été révélée ce matin par le journal Al Massae qui s’appuie sur des sources diplomatiques. Selon la publication, l’Union européenne avec à leur tête l’Espagne, l’Italie et la France ont proposé au Maroc la construction d’une base de drones sur son sol. La même demande a été faite à la Tunisie et l’Algérie, mais ces derniers auraient refusé par peur d’être espionnés.
Ces drones serviraient à barrer la route aux immigrés clandestins qui arrivent sur le sol européen notamment le sud de l’Italie et l’Espagne, mais ils pourraient également servir à traquer les trafiquants de drogue qui sévissent entre le nord du Maroc et l’Espagne.
Ces derniers utilisent de puissants go-fast pour acheminer leur cargaison du nord du Maroc jusqu’au sud de l’Espagne. Plusieurs dizaines de tonnes rentrent chaque année par ce moyen de transport.
Pour l’instant, ces trois pays sont assez réticents à donner leur accord et l’Europe penserait déjà à une alternative beaucoup plus radicale : l’intervention militaire sur le sol libyen. Certains pays, comme l’Italie, l’Espagne et le Royaume-Uni, se disent même prêts à y participer.
Source: BLADI