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Egypte: Al-Azhar soutient le droit des épouses de frapper leurs maris
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[QUOTE="shehzad, post: 4946398, member: 109211"] [url]http://www.leflambeau.com/quand-une-fatwa-defend-le-droit-des-femmes/[/url] [url]http://francais.bayynat.org.lb/nouvelle/bayan27112007.htm[/url] Non à la violence faite aux femmes Communiqué légal de son Eminence, lAutorité religieuse, lAyatollah Muhammad Hussein Fadlallah, à loccasion de la Journée Mondiale Contre la Violence faite aux femmes. Fadlallah a appelé dans un communiqué légal à faire face à toutes les formes de violence faites aux femmes. Fadlallah : La femme a le droit de se défendre contre la violence exercée par lhomme ! Son Eminence, lAutorité religieuse, lAyatollah Muhammad Hussein Fadlallah, a publié un communiqué légal à loccasion de la Journée Mondiale Contre la Violence faite aux femmes. Voici le texte de ce communiqué : Malgré tous les progrès réalisés dans le domaine de la perception humaine de la femme et tous les honneurs avec lesquels elle est traitée en comparaison avec sa situation telle quelle se présentait dans la plupart des sociétés orientales et occidentales, et malgré la montée de la femme à léchelle sociale et politique grâce à laquelle elle occupe maintenant les plus hauts postes dans les gouvernements et ailleurs, et elle participe aux mouvements de lutte côte à côte avec lhomme qui se voit parfois devancé par elle, malgré tout cela, la femme subit toujours la violence quon exerce contre elle. Il sagit dune violence qui prend diverses formes, qui ne se réduisent pas à un domaine à lexclusion des autres domaines, et qui, ne prenant pas un caractère oriental, englobent la totalité du monde, même si la forme et lenvergure de cette violence diffèrent dun endroit à lautre. La femme, quelle soit sur, fille ou épouse, est toujours soumise à la tutelle de lhomme, quil soit frère, père, ou époux. Cette violence revêt des formes multiples. Il y a la violence physique avec laquelle la femme est frappée, ce qui représente un comportement humain parmi les plus ignobles, car il témoigne de labsence, chez lhomme, de la logique lui permettant déchanger avec lautre sous les signes de lengagement et de la persuasion. Frapper la femme ne prouve pas que lhomme est fort, mais plutôt quil est faible, car « Cest le faible qui a besoin davoir recours à la violence ». La violence physique atteint ses plus hauts et durs niveaux lorsque la femme se trouve la victime du viol qui peut finir par sa mort. Il y a la violence sociale inclue dans le cadre de ce quon appelle « les crimes dhonneur ». La société tribale ou familiale sy contente de simples soupçons pour condamner la femme à lexil ou à la mise à mort, alors que la société ne dispose du droit de faire usage de la peine de mort quen passant par la justice et ses mécanismes tels quils sont fixés par la loi droite. Il y a aussi la violence sociale qui, par le biais de la mentalité familiale ou tribale, contraint la femme à se marier dun homme quelle ne désire pas. Il y a aussi la violence psychique avec laquelle lhomme menace la femme de la divorcer, ou lorsquil labandonne suspendue au mariage sans la traiter en tant quépouse, ou même lorsquil utilise le divorce comme moyen de pression et de chantage la privant ainsi du sentiment de stabilité dans son mariage, ce qui a un impact très destructeur de sa personnalité et de son équilibre. Il y a la violence relative aux conditions de vie avec laquelle le mari ou le père renoncent à leurs responsabilités matérielles à légard de lépouse et de la famille. Le mari frustre ainsi la femme de ses droits de vivre dans la dignité. Il peut la soumettre à des pressions afin de lui concéder sa dot qui est, au vue de lislam, un don symbolisant lamour humain et la compassion loin de tout esprit commercial. Il y a aussi la violence dans le domaine de léducation, avec laquelle la femme se voit frustrée de son droit à la scolarisation et à la promotion dans le domaine de lenseignement supérieur et de la spécialisation scientifique nécessaires pour lamélioration de son niveau intellectuelle et culturel et pour lui ouvrir des espace de progrès pour elle et pour les autres dans tous les domaines de la vie. Une telle situation la livre à la spirale de lignorance avant de se voir porter la responsabilité de ses erreurs résultant de son manque dexpérience consécutif à la violence quon exerce à son égard. Il y a aussi la violence pratique dans la distribution inéquitables des salaires entre lhomme et la femme en dépit de légalité dans le droit au travail qui implique légalité de ses conséquences, sachant que la société toute entière peut utiliser ce genre de violence en adoptant des lois de travail qui ne prennent pas en considération les charges de la maternité et de léducation des enfants, sans parler de lexploitation des fonctionnaires femmes par des patrons et des directeurs qui les soumettent à leurs pressions dans plus dun domaine. Face à tout cela, nous mettons laccent sur les questions suivantes : Premièrement : La douceur est une méthode centrale en Islam. Elle y est prioritaire par rapport à la violence qui ne doit être utilisée que dans des situations exceptionnelles quimpliquent les exigences de léducation ou de la lutte visant à contrer lagression. Le Prophète, Muhammad (P), a dit à ce propos : « Jamais la douceur na été posée sur une chose sans lavoir rendue plus belle ; jamais la violence na été posée sur une chose sans lavoir rendue plus laide ». Cette méthode englobe toutes les relations humaines sans distinction entre homme ou femme ou entre grand et petit. Deuxièmement : La prédominance de lhomme par rapport à la femme ne signifie pas quil lui est supérieur ou quil est souverain par rapport à elle. Elle signifie que lhomme est responsable de gérer les affaires de la famille sans despotisme mais dans un esprit de partenariat où lhomme et la femme se partagent toutes les affaires communes entre eux en tant que deux époux. Troisièmement : Le fait, pour la femme, de remplir les tâches domestiques à partir de son sentiment humain, de son affectivité et de son esprit de sacrifice, tâches que lIslam ne lui impose pas même pour ce qui est des soins à apporter aux enfants, dans la mesure où il respecte son travail dans ce domaine au point quil le considère comme un travail salarié, doit inciter lhomme à apprécier les sacrifices de la femme en lui apportant ses soins à lui et à sa famille. Cela ne doit donc pas inciter lhomme à larbitraire et à la violence dans la gestion de sa relation avec la femme. Quatrièmement : LIslam a institué une règle immuable pour fonder la relation de lhomme et de la femme dans la vie conjugale et dans la famille en général. Cette règle est celle du « bon usage ». Le Noble Coran dit à ce propos : ((Comportez-vous envers elles selon le bon usage)) (Coran IV, 19). Il dit aussi au sujet du divorce : ((Ou sest la reprise conformément au bon usage, ou un renvoi avec bonté)) (Coran II, 229). Cette règle constitue une règle légale qui peut donner lieu à des qualifications légales qui annulent le mariage dès quil entre en tension avec le bon usage. [/QUOTE]
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