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En arabie saoudite, la controverse du sang du prophète
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[QUOTE="Islamogeek, post: 14452762, member: 380422"] [B]Plus tard, une dynamique politique puissante[/B] Le lignage est ressorti de l’anonymat un millénaire plus tard, lorsque le chef d’un de ses clans, Mohamed al-Saoud, a décidé de s’allier avec un chef religieux contesté, Mohammed ben Abdel Wahhab. Coup de génie ou coup de chance, l’initiative a créé une dynamique politique exceptionnellement puissante qui s’est traduite par la création successive de trois royaumes saoudiens au cœur de l’Arabie. Il en a résulté l’Etat actuel, fondé dans les années 1920 par un géant intrépide, Abdelaziz, père de tous les monarques qui se sont succédé depuis sur le trône, Salmane y compris. La pensée de Mohammed ben Abdel Wahhab, le wahhabisme, est aujourd’hui comme hier la confession officielle des Saoud et, donc, de leur royaume. Elle se veut un retour aux sources de l’islam et s’avère extrêmement intransigeante, comme en témoigne la répression tatillonne exercée au quotidien dans le pays par une police religieuse redoutée de tous, le Comité pour la prévention du vice et la propagation de la vertu. [B]Cette doctrine a une caractéristique moins connue mais tout aussi intéressante pour la famille régnante. Elle a repris les thèses d’un fameux théologien médiéval, Ibn Taymiyya, sur l’accession au rang de calife. Des thèses selon lesquelles ce privilège n’a pas à être réservé aux Qoreishites et qu’il doit pouvoir revenir aussi à des monarques particulièrement puissants, puisque leur pouvoir démontre qu’ils ont été choisis par Dieu. «Voilà pourquoi […] les Al-Saoud et leurs imams n’ont jamais toléré la moindre critique des thèses d’Ibn Taymiyya, et ceci jusqu’à nos jours», écrit Jacques-Jocelyn Paul. Car c’est bien cette vision du califat «qui a permis de protéger (leur) souveraineté, initialement fragile.»[/B] L’influence du théologien connaît des limites cependant. La famille régnante n’a pas osé s’appuyer sur lui pour octroyer à l’un des siens le titre de calife. Et elle a attendu ces dernières décennies, ainsi que «l’habileté manœuvrière du roi Fahd», pour se proclamer «surveillante» des «Lieux saints». «Surveillante» et pas «gardienne», un terme déjà trop prestigieux. [B][/B] [/QUOTE]
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