<Encadrement et sécurisation des soirées étudiantes
Mise à disposition de numéros verts pour empêcher le bizutage et responsabiliser les organisateurs de soirées.
Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche rappelle aux organisateurs de soirées étudiantes que
le bizutage est interdit par la loi (n°98-468) du 17 juin 1998 sur la lutte contre le bizutage
. Il s'agit d'un délit puni de 6 mois de prison et 7.500 euros d'amende (articles 225-16-1 et suivants du Code pénal).
Laurent Wauquiez a également annoncé la mise en place
d'un numéro vert dans chaque rectorat [/U
]et d'une page dédiée sur
le site du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, afin "d'informer sur le bizutage et de faire cesser les dérives".
Un numéro d'appel a été mis en place dans chaque rectorat, afin de "mettre fin à cette omerta qui règne sur les questions de bizutage afin de libérer la parole.
Ce numéro vert sera placé au plus haut niveau dans chaque académie.
Une cellule dédiée auprès de chaque recteur permettra d'informer les familles", explique le ministre.
Tout le monde, les familles, les étudiants, les organisateurs de soirées, les associations, peuvent en toute confidentialité appeler le service dédié.
Les personnes qui appellent recevront "une écoute positive : une information directe ou une réorientation vers les personnes ou services compétents. Dans tous les cas l'établissement est contacté".
Un espace internet dédié sur le site du ministère est également ouvert, présentant notamment toutes les informations utiles, les différentes actualités sur le sujet et une carte faisant figurer les numéros verts sur toute la France.
Laurent Wauquiez a par ailleurs réaffirmé sa volonté de responsabiliser les organisateurs des soirées étudiantes afin de protéger les étudiants : des testing seront organisés sur le terrain afin de vérifier à l'occasion des soirées étudiantes que celles-ci soient sécurisées et responsables. Ces procédures permettront par exemple de s'assurer que les open bars, vente promotionnelle d'alcool, soient bien proscrits des soirées, ou que les étudiants qui servent soient bien formés.
L'objectif de Laurent Wauquiez est de parvenir assez rapidement à un label qualité des organisateurs de soirées qui s'engageraient sur une charte éthique régulièrement vérifiée.
Source : Ministère de l'Enseignement supérieur>
il faut le rappeler, en effet, surtout dans certaines filiaires.....
mam
Mise à disposition de numéros verts pour empêcher le bizutage et responsabiliser les organisateurs de soirées.
Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche rappelle aux organisateurs de soirées étudiantes que
le bizutage est interdit par la loi (n°98-468) du 17 juin 1998 sur la lutte contre le bizutage
. Il s'agit d'un délit puni de 6 mois de prison et 7.500 euros d'amende (articles 225-16-1 et suivants du Code pénal).
Laurent Wauquiez a également annoncé la mise en place
d'un numéro vert dans chaque rectorat [/U
]et d'une page dédiée sur
le site du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, afin "d'informer sur le bizutage et de faire cesser les dérives".
Un numéro d'appel a été mis en place dans chaque rectorat, afin de "mettre fin à cette omerta qui règne sur les questions de bizutage afin de libérer la parole.
Ce numéro vert sera placé au plus haut niveau dans chaque académie.
Une cellule dédiée auprès de chaque recteur permettra d'informer les familles", explique le ministre.
Tout le monde, les familles, les étudiants, les organisateurs de soirées, les associations, peuvent en toute confidentialité appeler le service dédié.
Les personnes qui appellent recevront "une écoute positive : une information directe ou une réorientation vers les personnes ou services compétents. Dans tous les cas l'établissement est contacté".
Un espace internet dédié sur le site du ministère est également ouvert, présentant notamment toutes les informations utiles, les différentes actualités sur le sujet et une carte faisant figurer les numéros verts sur toute la France.
Laurent Wauquiez a par ailleurs réaffirmé sa volonté de responsabiliser les organisateurs des soirées étudiantes afin de protéger les étudiants : des testing seront organisés sur le terrain afin de vérifier à l'occasion des soirées étudiantes que celles-ci soient sécurisées et responsables. Ces procédures permettront par exemple de s'assurer que les open bars, vente promotionnelle d'alcool, soient bien proscrits des soirées, ou que les étudiants qui servent soient bien formés.
L'objectif de Laurent Wauquiez est de parvenir assez rapidement à un label qualité des organisateurs de soirées qui s'engageraient sur une charte éthique régulièrement vérifiée.
Source : Ministère de l'Enseignement supérieur>
il faut le rappeler, en effet, surtout dans certaines filiaires.....
mam