Le projet national de gaz naturel liquéfié nécessitera pas moins de 4,6 milliards de dollars
Abdelkader Amara ministre de l’Energie, des mines, de l’eau et de l’environnement annonce que les besoins du royaume en gaz naturel se montent à environ 5 milliards de m3 d’ici 2025. Lors du Conseil du gouvernement qui s’est hier jeudi, le ministre a exposé la feuille de route nationale sur le développement du gaz naturel liquéfié (GNL). Ainsi, le développement de l’utilisation des énergies renouvelables et la diversification des sources d’approvisionnement en hydrocarbures ou encore l’élargissement de l’utilisation du gaz naturel sont au cœur la nouvelle stratégie énergétique du pays.
« Ce projet vise à construire des infrastructures gazières concernant la réalisation d’une jetée maritime au port de Jorf Lasfar et d’une station de transformation du gaz naturel liquéfié, la construction d’un gazoduc de transport à haute pression pour une capacité annuelle 7 milliards de m3 », précise le ministre Amara. En terme de coût, le responsable estime que la mise en oeuvre de ce plan devrait nécessiter quelque de 4,6 milliards de dollars US. Les fonds seront mobilisés par des investisseurs privés et institutionnels nationaux et étrangers.
Le calendrier verrouillé Pour ce qui est du calendrier relatif à la mise en œuvre de ce méga projet national, la première étape concernera la sélection des partenaires locaux et internationaux.
D’ailleurs, le ministère de tutelle et l’ONEE ont déjà établi des contacts et entamé des concertations avec les pays pionniers dans la production et la commercialisation du gaz naturel liquéfié. La dernière en date concerne la Russie. Celleci a émis son souhait d’accompagner le Maroc dans sa nouvelle stratégie gazière et énergétique.
La signature de contrats avec les partenaires pour la construction des infrastructures gazières (environ 48 mois) à compter de la date de signature du contrat suivra. Ensuite viendra l’aménagement des stations électriques (36 mois), l’expérimentation des infrastructures gazières et électriques fin 2020 et enfin leur mise en service au cours du premier semestre de l’année 2021
Energie : Les premières stations de gaz naturel seront opérationnelles en début 2021
Abdelkader Amara ministre de l’Energie, des mines, de l’eau et de l’environnement annonce que les besoins du royaume en gaz naturel se montent à environ 5 milliards de m3 d’ici 2025. Lors du Conseil du gouvernement qui s’est hier jeudi, le ministre a exposé la feuille de route nationale sur le développement du gaz naturel liquéfié (GNL). Ainsi, le développement de l’utilisation des énergies renouvelables et la diversification des sources d’approvisionnement en hydrocarbures ou encore l’élargissement de l’utilisation du gaz naturel sont au cœur la nouvelle stratégie énergétique du pays.
« Ce projet vise à construire des infrastructures gazières concernant la réalisation d’une jetée maritime au port de Jorf Lasfar et d’une station de transformation du gaz naturel liquéfié, la construction d’un gazoduc de transport à haute pression pour une capacité annuelle 7 milliards de m3 », précise le ministre Amara. En terme de coût, le responsable estime que la mise en oeuvre de ce plan devrait nécessiter quelque de 4,6 milliards de dollars US. Les fonds seront mobilisés par des investisseurs privés et institutionnels nationaux et étrangers.
Le calendrier verrouillé Pour ce qui est du calendrier relatif à la mise en œuvre de ce méga projet national, la première étape concernera la sélection des partenaires locaux et internationaux.
D’ailleurs, le ministère de tutelle et l’ONEE ont déjà établi des contacts et entamé des concertations avec les pays pionniers dans la production et la commercialisation du gaz naturel liquéfié. La dernière en date concerne la Russie. Celleci a émis son souhait d’accompagner le Maroc dans sa nouvelle stratégie gazière et énergétique.
La signature de contrats avec les partenaires pour la construction des infrastructures gazières (environ 48 mois) à compter de la date de signature du contrat suivra. Ensuite viendra l’aménagement des stations électriques (36 mois), l’expérimentation des infrastructures gazières et électriques fin 2020 et enfin leur mise en service au cours du premier semestre de l’année 2021
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