salam
Un garçon de 10 ans a été soumis à un interrogatoire policier pour avoir écrit en classe : «Je vis dans une maison terroriste». Il s'agissait en réalité d'une faute d'anglais.
C'est une simple faute d'anglais qui a conduit le jeune garçon à se faire interroger par la police. «Je vis dans une maison terroriste», a-t-il écrit en classe, soit «terrorist house» en anglais, quand il voulait réellement dire «Je vis dans une maison mitoyenne», qui se dit «terraced house». L'enfant, musulman, a fait cette erreur pendant son cours d'anglais, dans une école du Lancashire, au nord-est de l'Angleterre.
Le lendemain, la police a débarqué chez la famille du jeune garçon, alertée par son professeur, pour l'interroger et fouiller l'ordinateur portable de ses parents. En effet, depuis juillet, les professeurs britanniques sont tenus d'alerter les autorités s'ils constatent un comportement «extrémiste», de la part de leurs élèves, dans le cadre de la loi de 2015 sur la sécurité et le terrorisme.
Un garçon de 10 ans a été soumis à un interrogatoire policier pour avoir écrit en classe : «Je vis dans une maison terroriste». Il s'agissait en réalité d'une faute d'anglais.
C'est une simple faute d'anglais qui a conduit le jeune garçon à se faire interroger par la police. «Je vis dans une maison terroriste», a-t-il écrit en classe, soit «terrorist house» en anglais, quand il voulait réellement dire «Je vis dans une maison mitoyenne», qui se dit «terraced house». L'enfant, musulman, a fait cette erreur pendant son cours d'anglais, dans une école du Lancashire, au nord-est de l'Angleterre.
Le lendemain, la police a débarqué chez la famille du jeune garçon, alertée par son professeur, pour l'interroger et fouiller l'ordinateur portable de ses parents. En effet, depuis juillet, les professeurs britanniques sont tenus d'alerter les autorités s'ils constatent un comportement «extrémiste», de la part de leurs élèves, dans le cadre de la loi de 2015 sur la sécurité et le terrorisme.