Avez-vous entendu parler de la recherche de la cavité du corps dans les aeroports?

Avez-vous entendu parler de la recherche de la cavité du corps dans les aéroports.

Je ne savais pas qu’une telle procedure securitaire etait prévue dans les aeroports jusqu’à ce que j’en sois temoin (pas occulaire quand même) lors de mon voyage retour venant d’un pays d’Amerique Latine que je ne voudrais pas nommer. Ceci a aiguisé ma curiosité et je suis tombée sur cette definition:

Une recherche de la cavité du corps est soit une recherche visuelle ou à une inspection interne manuel des cavités corporelles telles que les marchandises prohibées ( contrebande ), tels que les drogues illégales, l'argent , des bijoux ou des armes . Les cavités corporelles utilisées pour la dissimulation comprennent narines , les oreilles, la bouche , le nombril , le pénis ( urètre et le prépuce ) ou le vagin et le rectum . Il est beaucoup plus invasive que la fouille à nu standard qui est généralement effectuée sur des personnes placées en détention , soit en cas d'arrestation ou d'incarcération police à une prison , une prison ou un hôpital psychiatrique. Souvent, la procédure est répétée quand la personne quitte l'établissement .


La fouille des cavités corporelles qui prend place lorsqu'il existe des indices sérieux qu'une personne transporte des produits stupéfiants dans son organisme. S'il s'agit d'une personne placée en garde à vue, seul un medecin peut pratiquer cet examen - article 63-5 du code de procédure pénale. Par contre, dans la procédure des douanes, un agent des douanes peut pratiquer une fouille in corpore, à condition que la personne donne son consentement. Si celui-ci refuse, l'agent des douanes va demander au juge qu'il désigne un médecin pour la pratiquer - article 60 bis du code des douanes.


Ainsi voyager en période de mensturation doit être délicat. Inconfort sanitaire et inconfort sécuritaire dans certains pays.
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
t'as rien à craindre ma soeur si tu ne fais pas de trafic ou tu ne transporte pas des tampons imbibés de coke...l'amérique latine normal qu'on fouille un peu aussi non?

sinon à ton avis comment fait un gynéco' ou un obstétricien ou un chirurgien quand tu saignes de par là? il met des gants et puis une petite douche intime aussi non?

Avez-vous entendu parler de la recherche de la cavité du corps dans les aéroports.

Je ne savais pas qu’une telle procedure securitaire etait prévue dans les aeroports jusqu’à ce que j’en sois temoin (pas occulaire quand même) lors de mon voyage retour venant d’un pays d’Amerique Latine que je ne voudrais pas nommer. Ceci a aiguisé ma curiosité et je suis tombée sur cette definition:

Une recherche de la cavité du corps est soit une recherche visuelle ou à une inspection interne manuel des cavités corporelles telles que les marchandises prohibées ( contrebande ), tels que les drogues illégales, l'argent , des bijoux ou des armes . Les cavités corporelles utilisées pour la dissimulation comprennent narines , les oreilles, la bouche , le nombril , le pénis ( urètre et le prépuce ) ou le vagin et le rectum . Il est beaucoup plus invasive que la fouille à nu standard qui est généralement effectuée sur des personnes placées en détention , soit en cas d'arrestation ou d'incarcération police à une prison , une prison ou un hôpital psychiatrique. Souvent, la procédure est répétée quand la personne quitte l'établissement .


La fouille des cavités corporelles qui prend place lorsqu'il existe des indices sérieux qu'une personne transporte des produits stupéfiants dans son organisme. S'il s'agit d'une personne placée en garde à vue, seul un medecin peut pratiquer cet examen - article 63-5 du code de procédure pénale. Par contre, dans la procédure des douanes, un agent des douanes peut pratiquer une fouille in corpore, à condition que la personne donne son consentement. Si celui-ci refuse, l'agent des douanes va demander au juge qu'il désigne un médecin pour la pratiquer - article 60 bis du code des douanes.


Ainsi voyager en période de mensturation doit être délicat. Inconfort sanitaire et inconfort sécuritaire dans certains pays.
 

oue7dania

~¡~.......•|•......^^
VIB
t'as rien à craindre ma soeur si tu ne fais pas de trafic ou tu ne transporte pas des tampons imbibés de coke...l'amérique latine normal qu'on fouille un peu aussi non?

sinon à ton avis comment fait un gynéco' ou un obstétricien ou un chirurgien quand tu saignes de par là? il met des gants et puis une petite douche intime aussi non?
Mdrrr le tampon avec de la coke...elle serait tellement défoncé qu'ils aurait pas besoin d'y mettre un doigt...
 
LOL avec l'histoire du tampon, malheureusement telle n'est pas une fiction.

Voici l'histoire de B..26 ans arretée pour traffic d'H....

« J'avais vraiment besoin d'argent. Je venais juste d'acheter de nouveaux meubles et des jouets pour les enfants avec mon salaire, mais il me fallait plus d'argent. J'ai appelé un dealer qui était un ami et je lui ai proposé de passer de la drogue en contrebande. Je pensais pouvoir boucler l'affaire en une semaine et empocher 5 000 $. Le soir avant mon départ pour Pays X, ma fille s'est réveillée et m'a appelée. Je suis allée la consoler et elle s'est jetée à mon cou en me demandant de ne pas partir parce qu'elle avait peur que je ne revienne pas. Je l'ai gardée dans mes bras... J'étais loin de penser qu'elle avait raison.

Quand je suis arrivée en Pays X j'avais chaud, j'étais fatiguée et inquiète. J'ai cherché mon contact. Je ne savais pas du tout à quoi il ressemblait, et je devais donner un code à quiconque m'aborderait. Après environ une heure, mon contact est venu me parler.

Quand nous sommes arrivés à notre destination, j'étais épuisée mentalement et physiquement.

Le matin de mon retour, le contact est venu m'apporter la drogue — de l'héroïne — à l'hôtel. La drogue était emballée dans un cylindre, que j'ai introduit dans mon vagin. J'étais affreusement mal à l'aise et je me demandais comment je pourrais supporter le voyage.
En arrivant à l'aéroport, j'ai eu l'impression de vivre un cauchemar. Je suis passée au contrôle de sécurité et au moment où j'allais franchir les portes vitrées pour la salle d'embarquement, j'ai entendu une voix qui me disait : « Pardon, madame. » Je me suis retournée et un homme a demandé à me parler. Il m'a emmenée près d'une table où mon sac a été fouillé et où on m'a posé un tas de questions. Je ne sais pas comment je suis parvenue à garder mon calme. On m'a alors emmenée dans une pièce où j'ai été interrogée par plusieurs personnes. Finalement, on m'a dit que j'étais soupçonnée de trafic de stupéfiants et on m'a donné le choix de dire la vérité et de subir une fouille corporelle.
J'ai tout de suite avoué, mais il a quand même fallu m'envoyer à l'hôpital pour retirer le cylindre. Pour y aller, on m'a passé les menottes, attaché les jambes avec du ruban adhésif et fait traverser l'aéroport dans cette tenue. Tout le monde me regardait — je n'ai jamais eu aussi honte de ma vie.

Après avoir attendu quelques heures dans une cellule, on m'a emmenée dans des toilettes pour une fouille, puis on a pris mes empreintes digitales et ma photo. Finalement, on m'a permis de donner un coup de téléphone; j'ai appelé le père de mon fils et lui ai raconté ce qui s'était passé. Je lui ai demandé de s'occuper des enfants jusqu'à mon retour. On m'a alors escortée dans une autre prison, où j'ai été incarcérée dans une cellule avec 20 autres femmes."
 
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