INFOGRAPHIE - C'est à la famille du défunt de choisir le lieu des funérailles. Les obsèques se font généralement dans la stricte intimité, parfois plusieurs mois après les faits.( Pour cacher ? )
Le Figaro dresse une carte de France des lieux d'inhumation des terroristes français.
Après l'assassinat du prêtre Jacques Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray par deux individus ayant prêté allégeance à" l'Etat islamique" (qui n'existe pas sauf chez les menteurs) , la question de l'enterrement des terroristes est revenue au devant de la scène. Kouachi, Coulibaly, Petitjean: où enterrer ceux qui ont commis des actes d'horreur? ( Sont ils réellement morts ? )
En France, la plupart des maires ont eu la même réaction et ont généralement refusé d'accueillir la dépouille des terroristes. Le maire de Reims Arnaud Robinet s'était par exemple opposé à l'enterrement dans sa commune de Saïd Kouachi, un des auteurs de la tuerie de «Charlie Hebdo» du 7 janvier 2015. Mais il avait finalement été inhumé... à Reims. Car en France, c'est à la famille du défunt de choisir le lieu des obsèques. Selon l'article L2223-3 du code général des collectivités territoriales, trois possibilités existent pour être enterré sur une commune: il faut y avoir habité, y être décédé ou avoir une personne de sa famille y possédant une sépulture familiale. Et si la famille n'a pas les ressources financières nécessaires pour assurer les funérailles, c'est à la commune de les prendre en charge. Autre point sensible, celui de l'anonymat des tombes. «Je ne veux surtout pas qu'on ait une sépulture sur la commune qui puisse servir de martyre pour un certain nombre de personnes», mettait en garde le maire de Reims. Pour éviter les regroupements et déferlements de haine, les tombes peuvent rester anonymes pour éviter tout «trouble à l'ordre public».
Abballa, Kermiche, et Petitjean pas encore enterrés "Trois terroristes français n'ont pas encore eu d'obsèques". Le premier est Larossi Abballa.
Figaro.fr
Le Figaro dresse une carte de France des lieux d'inhumation des terroristes français.
Après l'assassinat du prêtre Jacques Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray par deux individus ayant prêté allégeance à" l'Etat islamique" (qui n'existe pas sauf chez les menteurs) , la question de l'enterrement des terroristes est revenue au devant de la scène. Kouachi, Coulibaly, Petitjean: où enterrer ceux qui ont commis des actes d'horreur? ( Sont ils réellement morts ? )
En France, la plupart des maires ont eu la même réaction et ont généralement refusé d'accueillir la dépouille des terroristes. Le maire de Reims Arnaud Robinet s'était par exemple opposé à l'enterrement dans sa commune de Saïd Kouachi, un des auteurs de la tuerie de «Charlie Hebdo» du 7 janvier 2015. Mais il avait finalement été inhumé... à Reims. Car en France, c'est à la famille du défunt de choisir le lieu des obsèques. Selon l'article L2223-3 du code général des collectivités territoriales, trois possibilités existent pour être enterré sur une commune: il faut y avoir habité, y être décédé ou avoir une personne de sa famille y possédant une sépulture familiale. Et si la famille n'a pas les ressources financières nécessaires pour assurer les funérailles, c'est à la commune de les prendre en charge. Autre point sensible, celui de l'anonymat des tombes. «Je ne veux surtout pas qu'on ait une sépulture sur la commune qui puisse servir de martyre pour un certain nombre de personnes», mettait en garde le maire de Reims. Pour éviter les regroupements et déferlements de haine, les tombes peuvent rester anonymes pour éviter tout «trouble à l'ordre public».
Abballa, Kermiche, et Petitjean pas encore enterrés "Trois terroristes français n'ont pas encore eu d'obsèques". Le premier est Larossi Abballa.
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