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De l'obtention d'un certificat négatif à la définition du statut de l'entreprise en passant par l'inscription au registre des patentes, le route qui mène à la création d'une entreprise au Maroc est parfois longue et tortueuse pour les Marocains d'ici et d'ailleurs. Nous vous proposons une série d'articles pour faciliter la création d'entreprise. Première étape : la partie administrative de la création.
De l'obtention d'un certificat négatif à la définition du statut de l'entreprise en passant par l'inscription au registre des patentes, le route qui mène à la création d'une entreprise au Maroc est parfois longue et tortueuse pour les Marocains d'ici et d'ailleurs. Nous vous proposons une série d'articles pour faciliter la création d'entreprise.
Première étape : la partie administrative de la création.
Les étapes pour créer son entreprise au Maroc. / DRCréer son entreprise au Maroc « n’a jamais été aussi facile », paraît-il. D’autant que certains secteurs, comme l’environnement et l’énergie, y sont en plein essor et s’attirent de plus en plus les faveurs de potentiels entrepreneurs marocains d’ici et d’ailleurs. C’est sans compter les initiatives déployées par des professionnels de l’entreprenariat pour dénicher les viviers de demain, à l’instar de l’association Maroc Entrepreneurs venue murmurer à l’oreille des Marocains résidant en France, notamment, lors de la journée de la Création d'entreprise à l’Ecole supérieure de commerce de Paris (ESCP Europe) qu’elle a organisée en décembre 2015. Tour d’horizon, donc, des étapes-clés pour créer son entreprise au royaume.
La première formalité consiste à se procurer un certificat négatif auprès de l’Office marocain de la propriété industrielle et commerciale (OMPIC), représentée au sein du Centre régional d'investissement. Il s’agit d’un document administratif qui atteste de la disponibilité d’un nom commercial ou d’une enseigne. Il permet de limiter le risque de contentieux et de se prémunir contre l’usurpation du nom commercial et la concurrence déloyale.
L’entrepreneur doit ensuite définir le statut de sa future entreprise (SARL, SAS, SA) auprès d'un cabinet juridique (fiduciaires, notaires, avocats, experts comptables, conseillers juridiques, etc.), avant d’établir le bulletin de souscription. Soit un document en vertu duquel la personne qui souhaite obtenir des actions au sein d'une entreprise (non cotée en bourse) s'engage, en contrepartie, à verser une somme d'argent. Le bulletin de souscription indique ainsi le montant total à verser.
S’inscrire au registre des patentes et se créer un identifiant fiscal
De l'obtention d'un certificat négatif à la définition du statut de l'entreprise en passant par l'inscription au registre des patentes, le route qui mène à la création d'une entreprise au Maroc est parfois longue et tortueuse pour les Marocains d'ici et d'ailleurs. Nous vous proposons une série d'articles pour faciliter la création d'entreprise.
Première étape : la partie administrative de la création.
Les étapes pour créer son entreprise au Maroc. / DRCréer son entreprise au Maroc « n’a jamais été aussi facile », paraît-il. D’autant que certains secteurs, comme l’environnement et l’énergie, y sont en plein essor et s’attirent de plus en plus les faveurs de potentiels entrepreneurs marocains d’ici et d’ailleurs. C’est sans compter les initiatives déployées par des professionnels de l’entreprenariat pour dénicher les viviers de demain, à l’instar de l’association Maroc Entrepreneurs venue murmurer à l’oreille des Marocains résidant en France, notamment, lors de la journée de la Création d'entreprise à l’Ecole supérieure de commerce de Paris (ESCP Europe) qu’elle a organisée en décembre 2015. Tour d’horizon, donc, des étapes-clés pour créer son entreprise au royaume.
La première formalité consiste à se procurer un certificat négatif auprès de l’Office marocain de la propriété industrielle et commerciale (OMPIC), représentée au sein du Centre régional d'investissement. Il s’agit d’un document administratif qui atteste de la disponibilité d’un nom commercial ou d’une enseigne. Il permet de limiter le risque de contentieux et de se prémunir contre l’usurpation du nom commercial et la concurrence déloyale.
L’entrepreneur doit ensuite définir le statut de sa future entreprise (SARL, SAS, SA) auprès d'un cabinet juridique (fiduciaires, notaires, avocats, experts comptables, conseillers juridiques, etc.), avant d’établir le bulletin de souscription. Soit un document en vertu duquel la personne qui souhaite obtenir des actions au sein d'une entreprise (non cotée en bourse) s'engage, en contrepartie, à verser une somme d'argent. Le bulletin de souscription indique ainsi le montant total à verser.
S’inscrire au registre des patentes et se créer un identifiant fiscal