TerneT
Noyer le poisson
Par Edward M. Gabriel
Washington le 7 février 2013
Témoignant devant le Congrès hier, la secrétaire d'État Hillary Rodham Clinton a déclaré attaque que l'an dernier sur les messages du gouvernement américain à Benghazi, en Libye, "font partie d'un vaste défi stratégique pour les Etats-Unis et nos partenaires en Afrique du Nord» en raison de l'extrémisme violent qui y .
Que ce soit en Libye, le Mali, ou en Algérie, les attentats terroristes islamistes aux États-Unis montrent maintenant dans une position défensive, ayant pour réagir à une nouvelle menace importante pour les intérêts américains au lieu de prendre une approche proactive.
Il suffit de regarder une carte de la région, cependant, des points à une évidente partenaire et une option durable pour répondre à cette menace. Le Maroc est progressive et stable, et a été l'allié le plus constant et le plus vieux des États-Unis dans ce vaste secteur.
En Afrique du Nord et au Sahel? de la Mauritanie à travers l'Algérie, la Tunisie, la Libye, l'Egypte et l'Afrique centrale? Le Maroc se distingue par sa stabilité, la sécurité durement gagnée et progressistes réformes politiques et économiques. Quand on regarde à travers la région, un troublant «arc d'instabilité», qui s'étend de la Corne de l'Afrique à la nouvelle base d'Al-Qaïda dans le nord du Mali. Mais il s'arrête net à la frontière marocaine. La région saharienne du Maroc n'est pas seulement calme, il va de l'avant sur son avenir économique, social et culturel. Surtout, le Maroc s'emploie activement à accroître le partage du pouvoir au sein de ses frontières.
Ce contraste a été ramené à moi par un nouveau rapport de l'économique, social, et environnemental du Maroc, qui se concentre sur la définition proactive des plans du Maroc pour mettre en uvre une nouvelle politique dans ses provinces sahariennes. Chaque décideur qui traite avec l'Afrique du Nord devraient lire ce rapport, car il aborde franchement la nécessité de régionaliser le pouvoir, un peu comme le système fédéral américain, afin de mieux répondre aux besoins de ses citoyens.
UN AUTRE REGARD: les élections au Maroc ne sont pas un modèle pour le printemps arabe comme le prétend l'Ouest
C'est une monarchie constitutionnelle comme le Maroc suggère cette dévolution du pouvoir est remarquable, mais tout aussi frappant, c'est la franchise avec laquelle la commission reconnaît les défis à relever. Le Maroc a travaillé pendant des années pour créer la stabilité et le progrès économique et social de sa population sahraouie du Sahara et du Sahel.
Maintenant, le conseil marocain est l'évaluation de ce que le pays a fait de bien et de mal à son développement économique, social et culturel dans la région du Sahara au cours des dernières décennies. Il dit qu'il va procéder à plus de 50 réunions avec toutes les parties prenantes dans les provinces sahariennes, notamment les responsables gouvernementaux, élus, société civile, entreprises, cheiks tribaux, et d'autres dirigeants du gouvernement et de l'opinion. Nul ne sera empêché d'exprimer leurs points de vue, selon le conseil. Ce sera à la base des mesures recommandées pour le Maroc pour encourager la croissance, le gouvernement participative et l'intégration culturelle. L'Amérique devrait soutenir cette initiative interne par le Maroc et partenaire avec lui dans la région.
A suivre
Washington le 7 février 2013
Témoignant devant le Congrès hier, la secrétaire d'État Hillary Rodham Clinton a déclaré attaque que l'an dernier sur les messages du gouvernement américain à Benghazi, en Libye, "font partie d'un vaste défi stratégique pour les Etats-Unis et nos partenaires en Afrique du Nord» en raison de l'extrémisme violent qui y .
Que ce soit en Libye, le Mali, ou en Algérie, les attentats terroristes islamistes aux États-Unis montrent maintenant dans une position défensive, ayant pour réagir à une nouvelle menace importante pour les intérêts américains au lieu de prendre une approche proactive.
Il suffit de regarder une carte de la région, cependant, des points à une évidente partenaire et une option durable pour répondre à cette menace. Le Maroc est progressive et stable, et a été l'allié le plus constant et le plus vieux des États-Unis dans ce vaste secteur.
En Afrique du Nord et au Sahel? de la Mauritanie à travers l'Algérie, la Tunisie, la Libye, l'Egypte et l'Afrique centrale? Le Maroc se distingue par sa stabilité, la sécurité durement gagnée et progressistes réformes politiques et économiques. Quand on regarde à travers la région, un troublant «arc d'instabilité», qui s'étend de la Corne de l'Afrique à la nouvelle base d'Al-Qaïda dans le nord du Mali. Mais il s'arrête net à la frontière marocaine. La région saharienne du Maroc n'est pas seulement calme, il va de l'avant sur son avenir économique, social et culturel. Surtout, le Maroc s'emploie activement à accroître le partage du pouvoir au sein de ses frontières.
Ce contraste a été ramené à moi par un nouveau rapport de l'économique, social, et environnemental du Maroc, qui se concentre sur la définition proactive des plans du Maroc pour mettre en uvre une nouvelle politique dans ses provinces sahariennes. Chaque décideur qui traite avec l'Afrique du Nord devraient lire ce rapport, car il aborde franchement la nécessité de régionaliser le pouvoir, un peu comme le système fédéral américain, afin de mieux répondre aux besoins de ses citoyens.
UN AUTRE REGARD: les élections au Maroc ne sont pas un modèle pour le printemps arabe comme le prétend l'Ouest
C'est une monarchie constitutionnelle comme le Maroc suggère cette dévolution du pouvoir est remarquable, mais tout aussi frappant, c'est la franchise avec laquelle la commission reconnaît les défis à relever. Le Maroc a travaillé pendant des années pour créer la stabilité et le progrès économique et social de sa population sahraouie du Sahara et du Sahel.
Maintenant, le conseil marocain est l'évaluation de ce que le pays a fait de bien et de mal à son développement économique, social et culturel dans la région du Sahara au cours des dernières décennies. Il dit qu'il va procéder à plus de 50 réunions avec toutes les parties prenantes dans les provinces sahariennes, notamment les responsables gouvernementaux, élus, société civile, entreprises, cheiks tribaux, et d'autres dirigeants du gouvernement et de l'opinion. Nul ne sera empêché d'exprimer leurs points de vue, selon le conseil. Ce sera à la base des mesures recommandées pour le Maroc pour encourager la croissance, le gouvernement participative et l'intégration culturelle. L'Amérique devrait soutenir cette initiative interne par le Maroc et partenaire avec lui dans la région.
A suivre