Alors qu'elle réclamait une pension alimentaire à celui qu'elle pensait être le père de ses jumelles, une Américaine a découvert que chacune de ses filles avait en réalité un géniteur différent. Un cas extrêmement rare.
Tomber enceinte quand on est déjà enceinte, c'est possible. C'est en tout cas ce que vient de prouver un test de paternité réalisé sur des jumelles aux Etats-Unis. Leur mère, une Américaine du New Jersey, vient de découvrir que ses deux petites filles avaient en réalité deux pères différents, comme le rapporte le New York Times.
La jeune femme, une mère célibataire, s'est rendue compte de cette situation extrêmement rare alors qu'elle réclamait devant la justice une pension alimentaire à l'homme qu'elle considérait être le père de ses filles.
Deux relations sexuelles en une semaine
Comme il est d'usage aux Etats-Unis, la Cour du comté de Passaic, dans le New Jersey, a fait réaliser un test ADN sur les deux petites filles, nées en janvier 2013. Les résultats se sont révélés très surprenants: les jumelles n'ont pas le même père. Selon la loi, l'homme à qui la mère réclamait une pension n'est donc légalement responsable que d'un seul enfant et versera une pension pour sa fille.
Pour expliquer cette exception biologique, la mère a dû avouer qu'elle avait eu deux relations sexuelles la même semaine. L'une avec le père identifié, son ancien compagnon, et une autre avec un deuxième homme. L'Américaine a donc fécondé deux ovules avec deux spermatozoïdes différents pendant son cycle menstruel.
Un cas sur 13.000
Selon une gynécologue, citée par le quotidien américain, ce phénomène est qualifié de "superfécondation". Et n'est pas sans rappeler les exemples de naissance de jumeaux dont l'un est noir et l'autre blanc.
La probabilité pour que des jumeaux aient chacun un père différent est d'une chance sur 13.000, selon le Dr Karl-Hans Wurzinger, repris par le New York Times.
Etats-Unis: elle donne naissance à des jumelles qui n'ont pas le même père
Tomber enceinte quand on est déjà enceinte, c'est possible. C'est en tout cas ce que vient de prouver un test de paternité réalisé sur des jumelles aux Etats-Unis. Leur mère, une Américaine du New Jersey, vient de découvrir que ses deux petites filles avaient en réalité deux pères différents, comme le rapporte le New York Times.
La jeune femme, une mère célibataire, s'est rendue compte de cette situation extrêmement rare alors qu'elle réclamait devant la justice une pension alimentaire à l'homme qu'elle considérait être le père de ses filles.
Deux relations sexuelles en une semaine
Comme il est d'usage aux Etats-Unis, la Cour du comté de Passaic, dans le New Jersey, a fait réaliser un test ADN sur les deux petites filles, nées en janvier 2013. Les résultats se sont révélés très surprenants: les jumelles n'ont pas le même père. Selon la loi, l'homme à qui la mère réclamait une pension n'est donc légalement responsable que d'un seul enfant et versera une pension pour sa fille.
Pour expliquer cette exception biologique, la mère a dû avouer qu'elle avait eu deux relations sexuelles la même semaine. L'une avec le père identifié, son ancien compagnon, et une autre avec un deuxième homme. L'Américaine a donc fécondé deux ovules avec deux spermatozoïdes différents pendant son cycle menstruel.
Un cas sur 13.000
Selon une gynécologue, citée par le quotidien américain, ce phénomène est qualifié de "superfécondation". Et n'est pas sans rappeler les exemples de naissance de jumeaux dont l'un est noir et l'autre blanc.
La probabilité pour que des jumeaux aient chacun un père différent est d'une chance sur 13.000, selon le Dr Karl-Hans Wurzinger, repris par le New York Times.
Etats-Unis: elle donne naissance à des jumelles qui n'ont pas le même père
