Depuis deux ans, l'étudiant entrepreneur a fait son apparition dans le paysage universitaire français. Il bénéficie d'un statut unique dans le monde.
Un diplôme révolutionnaire
Bienvenue dans le monde des Pépite, ces « Pôles étudiants pour l'innovation, le transfert et l'entrepreneuriat ».
Derrière cet acronyme astucieux se cache une structure inter-établissement où sont accueillis les étudiants touchés par le virus de la création d'entreprise.
Pour eux, le secrétariat d'État à l'Enseignement supérieur a concocté en 2014 un diplôme et un statut unique au monde : étudiant entrepreneur. Objectif ?
Leur offrir une formation doublée d'un coaching pour les aider à créer leur société. Et permettre un aménagement de leur cursus, afin d'éviter qu'ils abandonnent leurs études en cours de route. « L'époque où l'on conseillait à un étudiant qui voulait créer son entreprise de terminer d'abord ses études est révolue, explique Jean-Pierre Boissin, coordinateur national du plan Pépite.
Si on veut lancer une application, on a intérêt à se dépêcher avant de se faire piquer son idée. » Le diplôme est révolutionnaire : il n'y a pas de cours.
« Ils ont autre chose à faire, ils montent leur projet », poursuit M. Pépite.
Il y a des ateliers-conférences, que les jeunes suivent à la carte selon leurs besoins.
la suite sur http://www.lepoint.fr/societe/etudi...vttYaGAR_C8_FnwlHH58Bj_hzyJT8eqG_#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20160622
mam
Un diplôme révolutionnaire
Bienvenue dans le monde des Pépite, ces « Pôles étudiants pour l'innovation, le transfert et l'entrepreneuriat ».
Derrière cet acronyme astucieux se cache une structure inter-établissement où sont accueillis les étudiants touchés par le virus de la création d'entreprise.
Pour eux, le secrétariat d'État à l'Enseignement supérieur a concocté en 2014 un diplôme et un statut unique au monde : étudiant entrepreneur. Objectif ?
Leur offrir une formation doublée d'un coaching pour les aider à créer leur société. Et permettre un aménagement de leur cursus, afin d'éviter qu'ils abandonnent leurs études en cours de route. « L'époque où l'on conseillait à un étudiant qui voulait créer son entreprise de terminer d'abord ses études est révolue, explique Jean-Pierre Boissin, coordinateur national du plan Pépite.
Si on veut lancer une application, on a intérêt à se dépêcher avant de se faire piquer son idée. » Le diplôme est révolutionnaire : il n'y a pas de cours.
« Ils ont autre chose à faire, ils montent leur projet », poursuit M. Pépite.
Il y a des ateliers-conférences, que les jeunes suivent à la carte selon leurs besoins.
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