Dans le cadre de sa fonction de Directeur Exécutif du CREPDA (Groupe de Recherches sur le Parlementarisme et la Démocratie en Afrique), le politologue camerounais connu pour son verbe franc lance un vibrant appel à la communauté internationale afin qu’elle réagisse face aux exactions connues du Polisario sur les réfugiés arrivés sur leurs terres venant de certains pays en conflit.
Ayant aujourd’hui du mal à faire l’unanimité dans le monde en ce qui concerne son indépendance, la République Sahraouie, reconnue uniquement par l’Union Africaine depuis 1982, est dirigée avec le bras rigide du Front Polisario. Cet Etat proclamé territoire non autonome par l’ONU bénéficie encore jusqu’à présent de l’aide alimentaire qui devrait profiter aux populations des camps de Tindouf. Mais triste est de constater selon Aboya Manassé Endong, Directeur Exécutif du CREPDA qu’il y ait violations des dispositions de la convention de Genève. Le politologue déclare : « Déplorant que la gestion des camps soit déléguée à un groupe armé qui n’est tout autre que les milices du Polisario » attribuant ces violations qui vont du kidnapping à la répression des sahraouis s’étant enfuis pour des pays indépendants jusqu’à l’empêchement à certaines ONGs d’accéder dans les camps de Tindouf qui bénéficient de l’aide alimentaire mondiale grâce au HCR au Front Polisario qui, selon des renseignements s’est battu jusqu’ici pour l’indépendance de la RASD...
Le Cameroun qui jusqu’ici n’a pas encore retiré sa reconnaissance comme 44 pays dans le monde, lui, faisant partie des 85 Etats qui reconnaissaient encore cet "Etat" et soucieux de lutter pour la paix. En décidant de prendre la tête d’une vingtaine d’ONGs pour dénoncer les exactions du Polisario dans ce pays, le Directeur Exécutif du CREPDA perpétue cette volonté et recommande à l’ONU d’assumer leurs responsabilités et de procéder aux recensements des populations en veillant à la protection des droits fondamentaux des populations civiles.
© Camer.be : Yannick Ebosse
Ayant aujourd’hui du mal à faire l’unanimité dans le monde en ce qui concerne son indépendance, la République Sahraouie, reconnue uniquement par l’Union Africaine depuis 1982, est dirigée avec le bras rigide du Front Polisario. Cet Etat proclamé territoire non autonome par l’ONU bénéficie encore jusqu’à présent de l’aide alimentaire qui devrait profiter aux populations des camps de Tindouf. Mais triste est de constater selon Aboya Manassé Endong, Directeur Exécutif du CREPDA qu’il y ait violations des dispositions de la convention de Genève. Le politologue déclare : « Déplorant que la gestion des camps soit déléguée à un groupe armé qui n’est tout autre que les milices du Polisario » attribuant ces violations qui vont du kidnapping à la répression des sahraouis s’étant enfuis pour des pays indépendants jusqu’à l’empêchement à certaines ONGs d’accéder dans les camps de Tindouf qui bénéficient de l’aide alimentaire mondiale grâce au HCR au Front Polisario qui, selon des renseignements s’est battu jusqu’ici pour l’indépendance de la RASD...
Le Cameroun qui jusqu’ici n’a pas encore retiré sa reconnaissance comme 44 pays dans le monde, lui, faisant partie des 85 Etats qui reconnaissaient encore cet "Etat" et soucieux de lutter pour la paix. En décidant de prendre la tête d’une vingtaine d’ONGs pour dénoncer les exactions du Polisario dans ce pays, le Directeur Exécutif du CREPDA perpétue cette volonté et recommande à l’ONU d’assumer leurs responsabilités et de procéder aux recensements des populations en veillant à la protection des droits fondamentaux des populations civiles.
© Camer.be : Yannick Ebosse