Exemples de création d'entreprise

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David Vrel et Louis Timur : ils ont trouvé la faille sur le marché du pare-brise

Le nom de leur société est bien trouvé.

En deux ans, Rapid Pare-Brise a ouvert 130 centres en France et atteint 20 millions d'euros de volume d'affaires. Un déploiement éclair, donc.
Les deux fondateurs, anciens gérants d'American Car Wash, proposent ce business aux pros de l'auto comme complément d'activité.

Avec un package simple : un abonnement de 780 euros par mois et une indépendance totale vis-à-vis des assureurs. «On n'a pas besoin d'eux pour trouver des clients», précise Louis Timur.

D'autant que, chez eux, la franchise bris de glace et le lavage sont offerts. Pour accélérer encore son développement, les associés viennent de créer une école de pose de pare-brise.

Christophe David


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Thomas Bacharzyna : il nettoie votre deux-roues là où il est garé

Les services sur smart-phone sont infinis.

La preuve avec The Bike Washer, qui permet de faire nettoyer son scooter ou sa moto au pied de chez soi ou du bureau. Il suffit de télécharger l'appli mobile, d'identifier son véhicule, de donner un créneau horaire et de payer (25 à 35 euros). «C'est un nettoyage à sec écolo», explique Thomas Bacharzyna, 36 ans, dont dix passés dans la pub. Ses équipes, qui se déplacent en scooter électrique, ont déjà séduit 1.200 clients en 18 mois. Après paris, où l'on compte 250.000 deux-roues, il vise Lyon, Marseille et Nice.


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Manuel Roy : il s'occupe de votre voiture à l'aéroport

En voilà encore un qui va agacer les taxis...

Avec Smart Park, Manuel Roy, 26 ans, propose aux voyageurs de prendre en charge leur voiture à l'arrivée à l'aéroport. Depuis la dépose minute, ses équipes, en jaune fluo, vont garer le véhicule dans un parking low-cost. «On la ramène au retour de voyage», explique ce jeune diplômé de l'ESCP, qui a lancé sa start-up fin 2013.
Compter 90 euros la semaine, soit 50% de moins qu'une place près des terminaux.
Présent à Roissy et Orly, il cherche à lever 500.000 euros pour se développer en France et en Europe.

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Claire Lanneau : elle développe son service de nounous en franchise

Maman de quatre enfants, cette francilienne de 48 ans, ex-commerciale chez Sopra Steria et Hewlettpackard, creuse son sillon dans la garde d'enfants à domicile.

L'originalité de Babychou : une sélection stricte des nounous comme des adhérents à son réseau de franchise, qui compte 50 agences en France. Plus de 5.000 familles font appel à elle. Soit un chiffre d'affaires de 10 millions d'euros (7,2 millions en 2013). «Nous ne voulons pas croître trop vite», précise la dirigeante, qui a ajouté une touche écolo à son service de garde.

>>> Lire aussi Entreprendre en franchise : les enseignes qui cartonnent en 2015
http://www.capital.fr/carriere-mana...e-son-service-de-nounous-en-franchise-1030821

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Vanessa Viquel-Delangre : elle fabrique du matériel scolaire en briques alimentaires recyclées

Elle fabrique du matériel scolaire à partir de briques alimentaires recyclées.

Pour dynamiser Viquel, son groupe familial de fournitures scolaires et de bureau (23 millions d'euros de chiffre d'affaires, dont 70% en supermarché), Vanessa Viquel-Delangre a misé sur le Kalatera: une nouvelle matière issue du recyclage de briques alimentaires.

Vendue 5% plus cher que ses concurrents en matières synthétiques, «la gamme Unik en Kalatera est celle qui a le mieux marché cette année», se félicite-t-elle.

Bonus : elle a pu ainsi pérenniser la production dans l' Aisne, car c'est du 100% made in France.

Capital

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Adam Levy-Zauberman et Mickael Nadjar : ils louent votre cave pour stocker des objets

Ils louent votre cave pour stocker des objets.

Dans la famille économie collaborative, voici le garde-meuble. Avec leur site Costockage, Adam Levy-Zauberman et Mickael Nadjar mettent en relation les propriétaires d'espaces (garages, caves... ) avec les personnes cherchant un lieu où entreposer leurs biens. Les loyers sont deux fois moins chers que ceux des entreprises de self-stockage.

Un mètre carré loué à paris peut rapporter jusqu'à 20 euros par mois au propriétaire. Actuellement, 40 000 mètres cubes sont disponibles sur le site de l'entreprise, visité par près de 10 000 personnes tous les mois.

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Grégory Boudghene : il vend des consignes pour la plage

Il vend des consignes pour la plage.

En vacances, laisser ses affaires sans surveillance sur le sable est toujours une angoisse. Plus avec Grégory Boudghene, fondateur en 2011 de Serenity box. Son idée: vendre des casiers à clés pour la plage, les bases de loisirs, les stations de ski, les festivals... L'intérêt: solides et inoxydables, ses consignes parent aussi bien les tentatives de vol que les intempéries.

Vendu 8 500 euros pièce, le modèle de base (650 kilos, 48 casiers) est personnalisable, aux couleurs d'une ville ou d'une marque. Clamart, Menton ou encore Grenoble figurent parmi les clients.

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Estelle Aubouin : elle envoie des spécialités du terroir aux expatriés

Elle envoie des spécialités du terroir aux expatriés.

Saucissons, terrines, biscuits... Trouver de bons produits français à l'étranger est un enfer. Alors autant se les faire envoyer. Estelle Aubouin, 23 ans (Celsa, Essec), propose depuis fin 2013 de livrer des paniers garnis partout dans le monde. Lancé avec 2 000 euros, LeColis.com vise 225 000 euros de chiffre d'affaires cette année et table sur «au moins 50% de croissance l'an prochain».

Pour ce faire, cette jeune pousse, rentable depuis ses débuts, s'attaque désormais au marché des cadeaux d'entreprises.

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Sanid

Je ne suis pas là !
VIB
Manuel Roy : il s'occupe de votre voiture à l'aéroport

En voilà encore un qui va agacer les taxis...

Avec Smart Park, Manuel Roy, 26 ans, propose aux voyageurs de prendre en charge leur voiture à l'arrivée à l'aéroport. Depuis la dépose minute, ses équipes, en jaune fluo, vont garer le véhicule dans un parking low-cost. «On la ramène au retour de voyage», explique ce jeune diplômé de l'ESCP, qui a lancé sa start-up fin 2013.
Compter 90 euros la semaine, soit 50% de moins qu'une place près des terminaux.
Présent à Roissy et Orly, il cherche à lever 500.000 euros pour se développer en France et en Europe.

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Pas mal du tout cette idée !
 

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Ouvrir sa boîte en vélo-taxi

Le leader français du microcrédit, l'Adie, vient de lancer une franchise avec une start up lyonnaise pour le transport de personnes et de colis en triporteurs électriques.

Le microcrédit, qui permet à des personnes éloignées de l'emploi de créer ou de reprendre une activité, moyennant des aides au financement, étend le champ de ses interventions.
L'Adie, leader sur ce marché avec plus de 120.000 microcrédits accordés en 25 ans d'existence, souhaite développer les activités «clés en mains» à destination de créateurs d'entreprises dépourvus d'idées de projets.
Depuis 2009, l'association a ainsi lancé la microfranchise solidaire, avec des partenaires tels que le spécialiste français des services à la personne O2 (pour une prestation de jardinage) ou la société de chauffeur sans voiture, Chauffeur & Go.

Elle vient d'étoffer son réseau avec la société Cyclopolitain, un fabricant de triporteurs à assistance électrique et premier réseau de vélo-taxis, installé à lyon.

L'idée est de lancer un réseau de transport de personnes sur de courtes distances et de livraisons de petits colis, baptisé «Mon coursier de quartier», dans plusieurs grandes villes françaises.

Concrètement, les demandeurs d'emplois n'ayant pas accès au crédit bancaire bénéficieront de l'appui de l'Adie pour s'acquitter d'un droit d'entrée de 8000 € et créer leur entreprise. Cyclopolitain leur fournira ensuite un cyclotaxi équipé, une formation de trois jours aux différents métiers et un accompagnement à la création de l'activité.
Selon l'Adie, dès ses premiers mois d'activité, le franchisé pourra gagner un «revenu supérieur au Smic», via notamment la vente d'espaces publicitaires sur le véhicule.

Les villes de plus de 35.000 habitants visées
Le réseau «Mon coursier de quartier» est en cours de déploiement à Bordeaux, Toulouse, Nantes, Grenoble, Lille, Chambéry, Annecy et Dijon.
A terme, toutes les villes de plus de 35.000 habitants sont visées.
«Notre objectif est de convaincre avec cette franchise solidaire 500 entrepreneurs d'ici 5 ans», précise Sarah Dufour, cofondatrice de Cyclopolitain avec Gérald Lévy. Les deux créateurs de la start up, qui réalise aujourd'hui 1,5 million d'euros de chiffre d'affaires, ont eu l'idée de cette entreprise sur les bancs de l'EMLyon en 2003;

ils comptent aujourd'hui quelque 800 véhicules en circulation à travers 20 pays. En France, le service de Cyclotaxis est disponible dans une dizaine de villes en France et a permis la création de 80 emplois indirects.
«Le partenariat avec l'Adie bénéficie d'un très bon accueil puisque nous avons déjà reçu plus de 500 dossiers de candidatures.
A nous maintenant de les étudier et d'apporter des réponses», se félicite Sarah Dufour.

L'Adie, qui permet via le microcrédit la création de plus de 200 emplois par semaine, mise sur la microfranchise solidaire pour monter en charge. Sa présidente, Catherine Barbaroux, a fixé comme priorité stratégique à l'horizon de 2017 de distribuer chaque année 24.000 microcrédits contre 16.000 actuellement, dont 13.400 dédiés à la création d'entreprise. Avec les microfranchises solidaires, elle ambitionne de créer «3000 à 5000 emplois à horizon 10 ans au sein de 10 à 12 filières».

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