Il est le vétéran des humoristes marocains et le roi de la satire sociale. Derrière son personnage de clown, Abderrahim Tounsi, Alias Abderraouf, a squatté la télévision marocaine pendant des décennies, avant de tomber dans les oubliettes.
Pourtant, Abderraouf a fait quelques incursions dans le cinéma avec un certain succès salué par la critique. C’est le cas des films «Ammi» de Nassim Abbassi ou encore le délicieux, «La bicyclette de Ba Larbi», réalisé par Leila Triki, où il a campé des personnages jugés trop «sérieux» par rapport à son image burlesque dont les traces sont restées indélébiles dans la mémoire des spectateurs.
Hier, Abderraouf a eu droit à la reconnaissance qui lui est impartie et aux ovations d’un public de toutes les générations.
http://www.leseco.ma/maroc/52425-le-fifm-rend-un-vibrant-hommage-a-abderraouf.html
Pourtant, Abderraouf a fait quelques incursions dans le cinéma avec un certain succès salué par la critique. C’est le cas des films «Ammi» de Nassim Abbassi ou encore le délicieux, «La bicyclette de Ba Larbi», réalisé par Leila Triki, où il a campé des personnages jugés trop «sérieux» par rapport à son image burlesque dont les traces sont restées indélébiles dans la mémoire des spectateurs.
Hier, Abderraouf a eu droit à la reconnaissance qui lui est impartie et aux ovations d’un public de toutes les générations.
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