Au fil des boycotts, israël perd ses alliés

Au fil des boycotts, Israël perd ses alliés
samedi 4 janvier 2014 - 17h:30

Dr Daud Abdullah

En faisant durer les négociations, les dirigeants israéliens s’imaginent qu’ils peuvent convaincre tout le monde qu’ils recherchent effectivement la paix. Mais comme le dit l’adage : « on peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps ».
L’isolement d’Israël sur le plan international est finalement devenu réalité. Ces dernières semaines, ceci a été illustré par l’absence des principales personnalités politiques israéliennes aux funérailles de Nelson Mandela, immédiatement suivie par l’imposition d’un boycott académique à l’encontre des universités et institutions israéliennes par l’Association des études américaines (ASA).

Pour de nombreux observateurs, il semble désormais que les nuages activistes se transforment en un déluge de boycotts. Israël est à court d’alliés.

Le simple fait que les journalistes israéliens eux-mêmes évoquent l’augmentation du nombre de boycotts dans leurs articles souligne l’importance des événements actuels. La provocation ouvre la voie à une saine réflexion. Les campagnes de boycott qui ont commencé à voir le jour vers la fin de la seconde Intifada revêtent une toute nouvelle dimension. Loin de se limiter aux produits issus des colonies, ils s’étendent désormais lentement mais sûrement aux produits israéliens en général.

Même les gouvernements qui ont investi sans compter leur temps et leurs ressources dans la recherche d’une paix équitable concèdent aujourd’hui que ceci est lié au fait qu’Israël modifie constamment les règles du jeu. En 1993, six problèmes liés au statut définitif ont été identifiés et ont fait l’objet d’une négociation lors de la signature des Accords d’Oslo : les frontières, Jérusalem, les réfugiés, les colonies, la sécurité et l’eau. Benjamin Netanyahu, Premier ministre en fonction, en a ajouté un septième : la reconnaissance d’Israël en tant qu’« État juif », et, plus récemment, un huitième : le droit de poster des soldats israéliens dans la vallée du Jourdain.

En faisant durer les négociations, les dirigeants israéliens s’imaginent qu’ils peuvent convaincre tout le monde qu’ils recherchent effectivement la paix. Mais comme le dit l’adage : « on peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. La course au boycott est lancée, et il semble désormais peu probable que la marche arrière puisse être enclenchée.

La liste des pays ayant annoncé des mesures diverses à l’encontre d’Israël s’allonge. Un rapport israélien publié récemment indique que l’Afrique du Sud a refusé d’importer des produits provenant de la mer Morte car ceux-ci avaient été fabriqués par des entreprises opérant au delà de la « ligne verte ». Pretoria va même plus loin en informant un certain nombre de grandes entreprises britanniques et françaises de son intention de cesser toute collaboration avec elles en cas de poursuite de leurs transactions avec les colonies israéliennes. Dans le même esprit, la Cour de justice de l’Union européenne a statué que les produits émanant des colonies ne sont pas israéliens et devraient par conséquent être bannis des marchés européens. Il y a quelques semaines, la Roumanie a décidé de ne plus envoyer de travailleurs en Israël suite au refus du gouvernement de Tel Aviv de lui garantir que ceux-ci ne seraient pas employés dans les colonies.

Les autorités israéliennes, blessées dans leur fierté, n’attribueront sans doute pas beaucoup d’importance à ces événements. Cependant, elles sont réellement effrayées par les conséquences économiques alors que de plus en plus d’européens boycottent non seulement les produits issus des colonies mais également les produits israéliens.

Constatant l’isolation croissante auquel le pays fait désormais face, certains hommes politiques israéliens un peu plus rationnels essaient désespérément de redorer l’image de leur pays. Leur récente rétraction du plan Prawer qui avait déclenché une polémique en visant à la « relocalisation » (terme israélien pour épuration ethnique) de milliers de Bédouins du Néguev illustre cette volonté. Un débat a lieu au sein du parti au pouvoir, le Likoud, pour savoir s’il doit ou non continuer à s’aligner sur le parti Israel Beytenou, réputé pour son discours raciste et dont le dirigeant, Avigdor Lieberman, été réhabilité récemment.

Heureusement, il n’est pas aisé de jeter de la poudre aux yeux à tout le monde. De telles politiques ne suffiront pas à dissimuler le racisme ouvert envers les non-Juifs ou même les Juifs d’origine non européenne qui pervertit la société israélienne, et ce, malgré quelques exceptions symboliques à la règle.

Alors qu’Israël erre dans les profondeurs de l’isolation internationale, peu nombreux sont ceux, israéliens ou non, qui trouvent une explication rationnelle à son auto-destruction. Certains l’attribuent à un ethnocentrisme borné, d’autres l’imputent à un manque de perspicacité. Dans les deux cas, les conséquences sont les mêmes. D’autres pourraient faire remarquer, non sans ironie, qu’Israël a perdu ses points de repère historiques. Le révisionniste Vladimir Jabotinsky n’avait-il pas mis en garde ses camarades sionistes contre le fait que les peuples indigènes résistent à toute domination étrangère ?
Aujourd’hui, Israël est soumis à au moins 20 boycotts différents en raison de sa politique. Tant que le pays persistera à renier les droits nationaux du peuple palestinien, sa réputation au sein de la communauté internationale continuera d’être compromise. Tant qu’Israël défiera la Cour internationale de Justice avec la construction du mur de l’Apartheid et l’occupation de territoires palestiniens, le retour sur investissement de sa politique se limitera au mouvement de boycott. Et le nombre de boycotts semble appelé à augmenter.

Aujourd’hui, Israël est non seulement en conflit avec ses alliés occidentaux, y compris les Américains, mais se trouve également en situation d’affrontement permanent avec eux, tout comme avec une grande partie de la communauté internationale. Le pays a entamé des négociations, non pas pour résoudre le conflit, mais pour éviter d’être isolé davantage et gagner du temps pour pouvoir poursuivre politique coloniale. Pour l’instant, le dilemme auquel Israël est confronté semble se limiter à des problèmes politiques et de réputation, mais les conséquences économiques des boycotts et sanctions se feront sentir tôt ou tard. Ceci permettra peut-être aux Israéliens d’entendre raison et de commencer à faire preuve d’une réelle sincérité dans les négociations visant à établir une paix équitable et durable. Israël est sans doute en train de perdre ses alliés, et pourrait aussi finir, faute de prudence, par manquer de temps.

* Dr Daud Abdallah est directeur du Middle East Monitor

20 décembre 2013 - Middle East Monitor - Vous pouvez consulter cet article à :
https://www.middleeastmonitor.com/r...
Traduction : Info-Palestine.eu - Claire L.
 

SoumaSoum078

Je stresse comme un lutin !
VIB
Comment faire entendre raison à des gens qui croient fermement être les élus de leur dieu et que le reste du monde est du bétail jaloux des faveurs que leur dieu leur a donné
 
Campagne de BDS contre Israël : l’année 2014 verra-t-elle un tournant décisif ?
mercredi 1er janvier 2014 - 06h:44
Le mouvement qui appelle au boycott, au désinvestissement et aux sanctions contre Israël, gagne du terrain à l’échelle mondiale.

Il est à la fois curieux et surprenant de constater qu’Israël se sente vulnérable alors qu’il se trouve au sommet de sa puissance économique et militaire, notamment en matière de nucléaire. Cette fois, l’ironie veut que la menace provienne d’un mouvement non-violent ancré dans le droit international et dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Au mois de juin de cette année, le Premier Ministre Israélien Benyamin Netanyahu a en effet déclaré que le mouvement mondial de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS), dirigé par les Palestiniens, représente une « menace stratégique » pour le régime israélien d’occupation, de colonisation et d’apartheid. Pour cela, Netanyahu a décidé de confier la responsabilité totale de la lutte contre le BDS au Ministre des Affaires Stratégiques.

Cette évolution spectaculaire reflète l’échec de « Brand Israel », une campagne israélienne bien huilée menée par le Ministre des Affaires Étrangères depuis le lancement du mouvement BDS en 2005, et dont la stratégie consistait à utiliser la culture comme instrument de propagande en faisant appel à des artistes et des écrivains israéliens dans l’objectif de présenter au monde entier une « meilleure image d’Israël. »

C’est en effet grâce aux gens de conscience depuis les quatre coins du monde, qui ont compris qu’on pouvait mettre fin à l’impunité d’Israël au moyen d’une résistance populaire en Palestine même et associée à une pression et responsabilité internationale à la fois efficace, moralement cohérente et permanente.

C’est cette prise de conscience qui a donné un grand élan aux campagnes de BDS. Plusieurs de ceux qui étaient jusqu’ici des partisans et des sympathisants d’Israël ont fini par s’en éloigner à cause, entre autres, 1) du brutal blocus israélien sur la Bande de Gaza, 2) de la construction sauvage de colonies illégales et du mur de séparation en Cisjordanie occupée, 3) de sa « stratégie de judaïsation » à Jérusalem, en Galilée, dans la Vallée du Jourdain et dans le Naqab (Le Néguev), comme démontré par des rapports officiels de l’ONU 4) de l’adoption de nouvelles lois racistes, et enfin 5) du déni des droits des réfugiés.

Il convient donc de considérer que les succès du mouvement de BDS au cours des dernières années seraient le facteur qui a ébranlé le régime Israélien. Le soutien en décembre 2012 du

Quant à sa position aux yeux de l’opinion publique mondiale, il faut reconnaitre que la réputation d’Israël s’est quelque peu érodée depuis un certain temps déjà. Deux facteurs majeurs en sont la cause. Il s’agit, premièrement, de la force morale du mouvement de BDS, y compris sa composante israélienne anticolonialiste cruciale. Et en second lieu, le changement politique israélien qui s’est clairement orienté vers l’extrême droite. Dans un sondage réalisé en 2013 par la BBC, les résultats ont fait ressortir la concurrence entre Israël et la Corée du Nord, perçus par la grande majorité des personnes en Europe et ailleurs, comme le troisième ou le quatrième des pires pays au monde.

Qu’est-ce que la champagne de Boycott, Désinvestissement et Sanctions ?

Le 9 juin 2005 a été le jour où l’appel au BDS était pour la première fois lancé par une alliance de plus de 170 organisations palestiniennes : syndicats, réseaux de réfugiés, ONG et associations locales. Le message transmis ce jour était un appel aux organisations de la société civile internationale et aux gens de conscience, afin qu’ils « imposent un boycott général et mettent en place des initiatives de désinvestissement contre Israël, emboitant ainsi le pas aux mesures appliquées en Afrique du Sud durant la période où sévissait l’apartheid. »

Plus précisément, le BDS appelle à la fin de l’occupation israélienne des territoires palestiniens et arabes occupés depuis 1967, avec le démantèlement du mur et des colonies, la fin du système israélien de discrimination raciste contre ses citoyens palestiniens et le droit au retour inhérent et reconnu par l’ONU des réfugiés Palestiniens dans leur terre d’origine.

Ces trois droits fondamentaux correspondent aux trois composantes majeures du peuple palestinien : les citoyens de la Bande de Gaza et de la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est (38% de la population palestinienne d’après des statistiques de 2011), ceux du territoire de 1948 qui vivent sous le régime d’apartheid israélien (12%) et ceux de la diaspora, en exil (50%). Plus de deux tiers des Palestiniens ont le statut de réfugiés ou sont des personnes déplacées à l’intérieur de leur pays.

Agir et s’imposer avec diplomatie et délicatesse

Pour Desmund Tutu, Roger Waters, Naomi Klein, Alice Walker, Judith Butler, John Berger, Ken Loach, Angela Davis, Arundhati Roy, Marcel Khalife et Aijaz Ahmed - personnalités publiques jouissant d’une forte influence - la conclusion est on ne peut plus claire : c’est la même lutte menée en Afrique du sud du temps de l’Apartheid qui doit être suivie aujourd’hui. En effet, le mouvement de BDS est absolument indispensable pour obliger Israël à respecter ses obligations en vertu du droit international.

En faisant appel aux gens de conscience, partout dans le monde, afin d’aider à mettre fin au système israélien d’oppression à trois facettes, le mouvement de BDS n’entend pas solliciter une action héroïque mais plutôt l’accomplissement et le respect d’une profonde obligation morale qu’est le renoncement à la complicité dans l’oppression.

Chaque année, les pays occidentaux, à l’instar des États-Unis et de l’Allemagne offrent des milliards de dollars à Israël, sans oublier le commerce militaire lucratif. De ce fait, les contribuables de ces pays occidentaux subviennent aux violations israéliennes du droit international pendant que leurs programmes sociaux domestiques subissent des coupes sombres, que le chômage atteint des niveaux alarmants et que l’environnement se fait massacrer et détruire. Tirer un trait sur la complicité avec les crimes israéliens ne joue pas en faveur du peuple palestinien seulement, mais il conviendra sans nul doute aux « 99% » des personnes aux quatre coins du monde qui luttent contre une guerre perpétuelle et pour une justice socio-économique.

S’appuyant sur son influence mondiale, le mouvement de BDS dirigé par la principale coalition dans la société civile palestinienne, le BNC [BDS National Committee] enregistre une percée à travers le monde, couronnée par d’importantes victoires.

Quelques jours auparavant,

Pour leur part, les Conseils d’Étudiants à travers plusieurs universités nord-américaines, dont l’Université de Californie, Berkeley, ont opté pour le désinvestissement de toutes les sociétés qui tirent profit de l’occupation israélienne.

Une liste de plus en plus longue

A travers des millions de membres - originaires, entre autres, d’Afrique du sud, de Grande-Bretagne, d’Irlande, d’Inde, du Brésil, de Norvège, du Canada, d’Italie, de France, de Belgique et de Turquie - ce sont les principales fédérations syndicales internationales qui ont apporté leur soutien au mouvement de BDS

Veolia qui est une société complice avec l’occupation israélienne, a perdu ou a dû se retirer d’appels d’offres qui valent des milliards de dollars, principalement en Suède, en Grande-Bretagne, en Irlande et maintenant aux États-Unis.

Le militantisme du BDS en Norvège, en Afrique du Sud, au Parlement Européen et dans plusieurs Universités Britanniques et ailleurs, a pu frapper G4S, la plus grande société de services de sécurité à l’échelle mondiale. L’entreprise fait actuellement face à d’importants échecs tout à fait significatifs résultant de son implication dans les prisons israéliennes où des détenus Palestiniens, notamment des enfants se font torturer. Elle est également impliquée dans plusieurs projets qui enfreignent le droit international.

En Grande-Bretagne, la cinquième plus grande chaine de supermarché Co-op a adopté la politique de boycott des sociétés qui opèrent dans les Territoires Palestiniens Occupés.

L’an dernier,

Pour sa part, le gouvernement néerlandais a publiquement « dissuadé » les entreprises de son pays à renoncer au business avec les entités israéliennes opérant dans les Territoires Palestiniens Occupés, ce qui a poussé la plus grande entreprise de construction aux Pays-Bas, Royal Haskoning DHV, à se retirer d’un projet de traitement des eaux usées avec la municipalité israélienne de Jérusalem-Est occupée. Dans le même contexte, l’entreprise publique des eaux Vitens a également résilié un contrat avec l’entreprise israélienne des eaux, Mekorot.....
 
suite......Il en va de même pour le gouvernement britannique qui a publié une directive sur l’implication des entreprises dans les colonies illégales israéliennes. Ces étapes suivent la publication des directives européennes contre le financement des projets et entités israéliens dans les Territoires Palestiniens.

Deutsche Bahn, la compagnie allemande des chemins de fer et qui est contrôlée par le gouvernement, s’est retirée d’un projet israélien qui empiète et confisque la terre palestinienne occupée. Des responsables du Ministère allemand des Affaires Étrangères ont informé des représentants de la société civile palestinienne qu’ils ont recommandé à toutes les institutions académiques allemandes d’éviter tout échange avec l’université d’

Il est vrai que la violente répression israélienne, sa politique de nettoyage ethnique et son blocus à l’encontre des Palestiniens augmentent jour après jour. Néanmoins, nous demeurons confiants et convaincus que nous surmonterons les obstacles et que nous vaincrons. Grâce au mouvement de BDS, aujourd’hui devenu mondial et ayant réussi à conquérir les cœurs et les esprits des peuples, il se pourrait bien que nous atteignons le point ou tout basculera.

Omar Barghouti est militant Palestinien indépendant des droits de l’homme et membre fondateur du mouvement de BDS. Il est l’auteur de <"Boycott, Dvestment, Sanctions : The Global Struggle for Palestinian Rights," (Haymarket : 2011).
 
Faux, la plupart sont anti-sioniste, d'ailleurs beaucoup d'entre eux qui été venu en Israël son reparti parce qu'Israël c'est l'idéal du sionisme pas des juifs.

effectivement israel ne veut pas des juifs mais seulement leur argent.
une amie juive parti là bas enterrer un oncle c'est faite cracher dessus, insulter ainsi que sa mère....Voilà l'accueil.
 

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
suite......Il en va de même pour le gouvernement britannique qui a publié une directive sur l’implication des entreprises dans les colonies illégales israéliennes. Ces étapes suivent la publication des directives européennes contre le financement des projets et entités israéliens dans les Territoires Palestiniens.

Deutsche Bahn, la compagnie allemande des chemins de fer et qui est contrôlée par le gouvernement, s’est retirée d’un projet israélien qui empiète et confisque la terre palestinienne occupée. Des responsables du Ministère allemand des Affaires Étrangères ont informé des représentants de la société civile palestinienne qu’ils ont recommandé à toutes les institutions académiques allemandes d’éviter tout échange avec l’université d’

Il est vrai que la violente répression israélienne, sa politique de nettoyage ethnique et son blocus à l’encontre des Palestiniens augmentent jour après jour. Néanmoins, nous demeurons confiants et convaincus que nous surmonterons les obstacles et que nous vaincrons. Grâce au mouvement de BDS, aujourd’hui devenu mondial et ayant réussi à conquérir les cœurs et les esprits des peuples, il se pourrait bien que nous atteignons le point ou tout basculera.

Omar Barghouti est militant Palestinien indépendant des droits de l’homme et membre fondateur du mouvement de BDS. Il est l’auteur de <"Boycott, Dvestment, Sanctions : The Global Struggle for Palestinian Rights," (Haymarket : 2011).


Hahaha ! C'est bien fait ! Les pro-israeliens vont ressortir l'argument du "et la chine qui envahit le Tibet ?" sauf qu'Israel est la seule entité violant ouvertement le droit international tout en étant toujours aussi soutenu ... C'est bien normal que notre argent n'aille pas à cette entité qui ne fait que bouffer tout en se fichant ouvertement de nous et des contreparties qu'on lui réclame ... Même Obama avait pêté un câble à cause de Netanyahu ...
 
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