Le film « much loved » cartonne en france

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Après un très bon démarrage le jour de sa sortie le 16 septembre dernier (plus de 15.000 entrées) , le film Much Loved continue sur sa lancée en dépassant les 130.000 spectateurs en 15 jours en France.
L'annonce a été faite sur Twitter par le réalisateur du film, Nabil Ayouch, visiblement très satisfait du soutien du public.
« 130.798 entrées pour Much Loved ! Score jamais atteint pour un film marocain en France ! Merci un million de fois pour votre soutien. », a-t-il écrit sur son compte Twitter.
Il (...)

- Monde / Film Much loved, Cinéma, Loubna Abidar, France, Nabil Ayouch

Le film « Much Loved » cartonne en France
 
Ce film fait la promotion de la femme prostituée à Marrakech, le tourisme du sexe :D

Le principal message de ce film:" Venez à Marrakech tout est permis "

Tu parle d'un cinéma, cinéma de caniveau . On aurait mieux fait de ne pas parler de ce navet. On lui a fait de la pub gratuite en le critiquant .

On aurait mieux fait de le laisser et ne rien dire, il est tellement nul se film que quand tu sors de la salle de cinéma tu as la nausée tellement ce film est faux et ne représente pas le Maroc. C'est comme dire que le Bois de Boulogne représente la France.
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
AlençonMaking-of du film Much Loved : une production alençonnaise

Jugé "réaliste" par certains et "scandaleux" par d'autres, Much Loved fait parler de lui. Son making-of a été réalisé par une société de production alençonnaise : Sunrun films.

“Marre de Paris”

La société a également réalisé un documentaire autour de Much Loved. Derrière la caméra : Aurélien Réal. C’est lui qui, en février 2013, a décidé de poser ses valises à Alençon.

“J’en avais assez de la capitale, j’ai pris ma voiture, je me suis baladé. Et j’ai découvert Alençon”.
Sunrun films, ses sept salariés et ses studios de postproduction sont ainsi arrivés dans l’Orne.

Depuis, la notoriété de la société grandit et les projets se multiplient. Le contact avec Nabil Ayouch a été possible grâce à Camélia Montassere, membre de Sunrun films : “Nous nous connaissions, il m’a proposé d’être première assistante sur Much Loved”.

En plus d’endosser le costume de “bras droit”, Camélia Montassere a aussi joué dans le film...................


http://www.orne-hebdo.fr/2015/09/30/making-of-du-film-much-loved -une-production-alenconnaise/

---------------------

Bravo la Basse Normandie vous êtes des pros....:cool:
 
Des Prosélytes du tourisme sexuel ? :D


AlençonMaking-of du film Much Loved : une production alençonnaise

Jugé "réaliste" par certains et "scandaleux" par d'autres, Much Loved fait parler de lui. Son making-of a été réalisé par une société de production alençonnaise : Sunrun films.

“Marre de Paris”

La société a également réalisé un documentaire autour de Much Loved. Derrière la caméra : Aurélien Réal. C’est lui qui, en février 2013, a décidé de poser ses valises à Alençon.

“J’en avais assez de la capitale, j’ai pris ma voiture, je me suis baladé. Et j’ai découvert Alençon”.
Sunrun films, ses sept salariés et ses studios de postproduction sont ainsi arrivés dans l’Orne.

Depuis, la notoriété de la société grandit et les projets se multiplient. Le contact avec Nabil Ayouch a été possible grâce à Camélia Montassere, membre de Sunrun films : “Nous nous connaissions, il m’a proposé d’être première assistante sur Much Loved”.

En plus d’endosser le costume de “bras droit”, Camélia Montassere a aussi joué dans le film...................


http://www.orne-hebdo.fr/2015/09/30/making-of-du-film-much-loved -une-production-alenconnaise/

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Bravo la Basse Normandie vous êtes des pros....:cool:
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
possible y'a longtemps que des touristes français savent ou aller pour consommer, rien de bien nouveau, ce film n'est qu'un appel en fait à poursuivre le tourisme sexuel...dommage que la promotion soit faite par des mrm et des mre mais bon on change pas une équipe qui gagne...

Des Prosélytes du tourisme sexuel ? :D
 
Ou est le prosélytisme pour la prostitution dans ce film ?
ce que lit concerne plutôt une dénonciation des conditions de vie de ces femmes.
Je peut comprendre que l'on conteste le propos du film concernant la société marocaine, mais comment parler d'un proselytisme de la protitution ?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Much_Loved

À l'époque actuelle, Noha, Randa, Soukaina et Hlima vivent d’amours tarifés à Marrakech. Objets de désirs inavoués dans la société marocaine, elles décrivent à l'aide des mots du langage de la prostitution leur vie de tous les jours, tantôt joyeuses et complices mais aussi tristes et rejetées par une société qui les utilise et les avilit.

http://www.courrierinternational.co...oved-le-film-polemique-raconte-par-son-equipe


Mais Much Loved, du cinéaste franco-marocain Nabil Ayouch, ne sera pas projeté dans les salles au Maroc, où il a été interdit car les autorités l’ont considéré comme un “outrage grave aux valeurs morales et à la femme marocaine, et une atteinte flagrante à l’image du Maroc”. Le film a également été décrié sur les réseaux sociaux, suscitant une importante polémique dans le pays.

.....

Il n’y a pas de rôle positif dans le film, de personnage porteur d’espoir. Le tableau est-il si noir ?
L.A. : Ah si ! Il y a le personnage de Saïd (le chauffeur merveilleusement joué par Abdellah Didane qui les accompagne dans tous leurs déplacements et veille un peu sur elles).

N.A. : Pour moi, le tableau n’est pas noir, il est réaliste ! Il y a beaucoup de rôles positifs. Les filles vivent certes des choses extrêmement douloureuses, mais ce n’est pas pour autant que ça n’en fait pas des personnages pleins de vie. Leur humanité transparaît dans des moments pleins de drôlerie et de sensibilité. Ces filles sont capables d’amitié, capables de s’aimer entre elles. Ça, c’est extrêmement positif.

En ce qui concerne l’espoir, c’est une autre question. Le film a été conçu comme si ces filles étaient sur une route où, effectivement, elles ne peuvent aller ni à gauche ni à droite. Il y a une espèce de tunnel. Mais au bout de ce tunnel, à la fin de ce tumulte, il y a cette fin sur la plage. Une fin ouverte, porteuse d’espoir.

Ces femmes qui ont conquis leur indépendance, leur petit espace – elles sont quand même maîtresses de leur entreprise – n’ont pas de souteneurs, de maquereaux comme il y en a ici en Occident, donc elles s’autogèrent. Ces femmes ont décidé de partir [de Marrakech] et là, sur la plage, elles se retrouvent face à un choix, quand Soukaina demande à Noha : “Cette soirée du 28, est-ce qu’on est obligées d’y aller ?”, et que Noha ne répond pas. On finit sur cet horizon. Pour moi, c’est source d’espoir, ça veut dire : “Qu’est-ce qu’on veut pour notre vie ?” Mais il n’y a pas de réponse. La fin reste ouverte. Je trouve ça assez beau.


http://www.telerama.fr/cinema/films/much-loved,500765.php

LA CRITIQUE LORS DE LA SORTIE EN SALLE DU 16/09/2015
Elles sont quatre princesses à vendre, dans les nuits de Marrakech. Noha, Randa, Soukaina, Hlima : de belles tornades brunes, tourbillons de strass, de jurons et d'énergie farouche. Quatre ******* inséparables, seules contre tous, en butte aux honnêtes gens, aux bigots, à la famille qui prend l'argent « sale » des passes en se pinçant le nez. Sans compter les flics corrompus, et bien sûr les clients, tartuffes, prédateurs et frustrés imprévisibles... Une vie de paria, heurtée, marginale : c'est l'universelle « complainte des filles de joie », comme disait Brassens. Sauf que cette chronique électrisante s'enracine au coeur du monde arabe, dans une société qui réprime la pulsion, condamne le désir. Les prostituées, ces fiancées clandestines qui « se marient vingt fois par jour », doivent, ici plus qu'ailleurs, éponger les manques et payer le prix fort du mépris et de l'hypocrisie.

Ce clivage, Much loved le montre sans le démontrer jamais. Il suffit d'un plan de rue derrière une vitre de voiture, ou d'un regard qui se détourne, pour évoquer un irrémédiable isolement. Il suffit de voir exploser la rage d'un riche Saoudien, confronté, malgré lui, à son homosexualité, pour révéler des gouffres de déni. Le réalisateur marocain Nabil Ayouch scrute son pays, ses violences et ses inégalités, comme il l'a toujours fait, de Mektoub aux Chevaux de Dieu : avec une acuité quasi documentaire. Il nous immerge dans le quotidien tragi-cocasse de ses héroïnes, interprétées par un inoubliable et volcanique quatuor de comédiennes. On leur colle au corps, à table, au bar ou au lit, dans une promiscuité crue, frontale. Les insultes, le sexe, les humiliations, les virées folles et les moments de fatigue ou de tendresse : on partage tout, y compris leur formidable solidarité. Ni victimes, ni ******* : une drôle de fratrie d'amazones.

Présenté en mai dernier à Cannes, à la Quinzaine des réalisateurs, le film a aussitôt embrasé le Maroc, avant même de pouvoir y être diffusé. Il a valu au cinéaste la plus violente polémique de sa carrière, et une censure pour « outrage grave aux valeurs morales et à la femme marocaine ». Nabil Ayouch comme son actrice principale ont même reçu des menaces de mort. Leur crime ? Avoir osé donner chair à un tabou. — Cécile Mury
 

Courir

Tas beau courir, Tu ne me rattrapes pas
VIB
Seront-elles heureuse avec l'argent récolté
Seront-elles en paix ultérieurement au Maroc
Quelle sera l'image de leur parents familles
le tout pour l'argent
c'est triste
vaut mieux vivre en paix sans cette argent !!!!!!!!
 
Seront-elles heureuse avec l'argent récolté
Seront-elles en paix ultérieurement au Maroc
Quelle sera l'image de leur parents familles
le tout pour l'argent
c'est triste
vaut mieux vivre en paix sans cette argent !!!!!!!!
Je pense que c'est au delà de l'argent. Un artiste aspire a une certaine reconnaissance et visibilité sur l'espace public quelque soit le prix à payer...
 

Courir

Tas beau courir, Tu ne me rattrapes pas
VIB
Je pense que c'est au delà de l'argent. Un artiste aspire a une certaine reconnaissance et visibilité sur l'espace public quelque soit le prix à payer...

Je ne suis pas d'accord , ce n'est que mon avis personnel,
ces Miss avaient un bon train de vie au Maroc
aimé du peuple et là elle sont passés de l'autre coté
elles aurait bien du réfléchir et le pire elles ont fait mal voir souffrir leur familles par ce film et ses images ..............................................
 
Je ne suis pas d'accord , ce n'est que mon avis personnel,
ces Miss avaient un bon train de vie au Maroc
aimé du peuple et là elle sont passés de l'autre coté
elles aurait bien du réfléchir et le pire elles ont fait mal voir souffrir leur familles par ce film et ses images ..............................................
Mais je te parle de l'ego de l'artiste comme tu dis une vie pas mal mais la ce n'est pas lié a la variable financière. Pour avoir côtoyé pas mal d'artistes je peux t'assurer que la dimension "reconnaissance" est un moteur. Au Maroc ça passe mal mais en France, elles sont encensées.
Pour les familles restées la bas c'est plus triste de subir les moqueries et les humiliations.
 
Seront-elles heureuse avec l'argent récolté
Seront-elles en paix ultérieurement au Maroc
Quelle sera l'image de leur parents familles
le tout pour l'argent
c'est triste
vaut mieux vivre en paix sans cette argent !!!!!!!!

le tout pour payer le loyer de leur famille qui les méprise tout en prenant la thune.
tel est le sujet du film
 
A

AncienBladinaute

Non connecté
En effet, Ils ne dénoncent rien du tout, leur seul objectif est de se remplir les poches grâce à la provocation et à la polémique qui a été enclenchée :D
des prostituées qui gagnent plus d'argent que le chef du gouvernement et ils te disent "dénonciation des conditions..."

y a des prostituées qui souffrent vraiment mais on en parle pas du tout dans le film.....
 
Ce film fait la promotion de la femme prostituée à Marrakech, le tourisme du sexe :D

Le principal message de ce film:" Venez à Marrakech tout est permis "

Tu parle d'un cinéma, cinéma de caniveau . On aurait mieux fait de ne pas parler de ce navet. On lui a fait de la pub gratuite en le critiquant .

On aurait mieux fait de le laisser et ne rien dire, il est tellement nul se film que quand tu sors de la salle de cinéma tu as la nausée tellement ce film est faux et ne représente pas le Maroc. C'est comme dire que le Bois de Boulogne représente la France.
tu as vu le film?
 
S

Soomy

Non connecté
Une amie est allée le voir
Quand je lui ai demandé son avis :
"il est degueulasse le film c est abusé"

:D

Elle n'avait pas suivi tout le tapage sur ce film..et etait pressée de le voir
Elle est sortie avant la fin, déçue
 

Serenade

Umuntu ngumuntu ngabantu
VIB
Si t'aimes mon commentaires n'oublies pas de liker, ça me fera plaisir

Mendiant :D


J'en profite pour raconter une anecdote:
Une amie de ma mère lui a proposé d'aller le voir au cinéma. Elle était curieuse de le voir parce que sa fille allait le voir avec une copine à elle, et la copine en question sort avec un marocain qui a refusé d'aller le voir parce qu'il estime que ce film est dégoutant. Le gars s'est fait une opinion avant même de voir le film :confused:
 
Un film qui fait l'apologie de la prostitution par extention la pédophilie et encourage au tourisme sexuel qu'on veut faire passer comme une préocupation de la cobdition de la femme.

Des 9roud, les conditions des femmes dans les usines, les entreprises, les zones rurales, à la frontière espagnole avec les mules, celle qui ont choisi de travailler plutôt que donner leurs fesses ça l'a pas intèressé?

Ce lâche aurait pu au moins aller jusqu'au bout de sa démarche et dire qui trempe dans ce milieu, que la monarchie a organisée cela pour les devises, que la france et l'arabie ont investie dans les hotels afin de soutenir cette prostitution.

Encore un laicard probablement dègènerè qui a besoin de la caresse sur la tête de ses maitres blancs.

En plus on doit pleurer sur le sort de ces perverses, le Sida les ratrapera ou le suicide.
 
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