Le fluor : cet ami qui vous veut du mal

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Bladinaute averti
Le fluor produit de plus en plus controversé dans le monde scientifique est notamment un des Ingrédients de base du Prozac® (chlorhydrate de fluoxétène) et du gaz neurotoxique sarin (isopropyl-méthyl-phosphoryl-fluoride).








Le fluorure de sodium, dangereux résidu et sous-produit de la fabrication de l’aluminium, est un ingrédient commun aux raticides, insecticides, produits anesthésiants, hypnotiques, médicament psychotropes, dentifrices et gaz de combat. Il était autrefois très coûteux de s’en débarrasser correctement, jusqu’à ce que les industries de l’aluminium produisent une surabondance de la substance et que l’on convainc le public à l’idée débile (mais fortement profitable avec une marge bénéficiaire de 20 000 fois son coût de fabrication) de l’acheter pour l’injecter dans nos approvisionnements en eau potable et dans les dentifrices.

Des évidences scientifiques indépendantes révélèrent à plusieurs reprises, au cours des 50 dernières années, que le fluor raccourcirait notre durée de vie, favoriserait le cancer et diverses perturbations mentales, accélérerait l’ostéoporose et les fractures des cols de fémur chez les personnes âgées, nous rendrait stupides, dociles et serviles tout à la fois. La toxicité du fluor est, de plus, liée à celle de l’aluminium : il existe des rapports prouvant que l’aluminium est probablement un facteur causal dans la maladie d’Alzheimer et des points d’évidence vers la forte affinité du fluor pour l’aluminium par sa capacité à leurrer la barrière hémato méningée en ressemblant à l’ion hydrogène, ouvrant de ce fait l’accès chimique aux tissus cérébraux.

Or on sait que l’examen anatomo-pathologique des cerveaux des personnes décédées de la maladie d’Alzheimer montre souvent de fortes concentrations d’aluminium… Beaucoup de diabétiques qui boivent plus de liquides que les personnes saines ne devraient pas, selon les médecins, boire de l’eau fluorée sous peine de passer en dosage toxique.

Beaucoup de malades des reins ont du mal à éliminer le fluor et devraient s’abstenir de boire des eaux fluorées car de nombreux décès de malades dialysés ont été imputés à une intoxication au fluor (Annapolis, Maryland, 1979).

Si l’on se réfère à la matière médicale homéopathique (Clarke, Boericke, etc.) on peut y lire que les effets de l’intoxication aux dérivés fluorés sur le mental sont : indifférence envers les êtres aimés, insouciance, apathie, état dépressif, confusion et pensées suicidaires. Édifiant, n’est-ce pas ? Quant à leur influence sur les os et les dents, ils provoquent des nécroses et des déchaussements.

Dans certains pays, le fluor est incorporé d’office à l’eau de la ville au dosage de 1ppm, ce qui est déjà une dose toxique selon de nombreuses études indépendantes et également les études de certaines administrations responsables de la santé. En France, la fluoration de l’eau ne semble pas être autorisée pour l’instant, selon la réglementation en vigueur. Les compagnies des eaux annoncent cependant une limite de tolérance en fluor plafonnée à 1,5 mg-/litre. D’autre part, on peut constater que les dentifrices, toujours selon des arguments de bénéfices pour les dents, contiennent en moyenne un dosage de fluor tournant autour des 1300 ppm dont l’origine n’est pas naturelle. Toutefois, un usage quotidien de ces produits ramène finalement à la même intoxication que par l’eau de boisson.

Mais quel est l’intérêt caché de fluorer l’eau ou les dentifrices ?
La réalité n’est pas souvent là où on l’on croit la trouver. En effet, en ce qui concerne ce poison que sont finalement le fluor et ses dérivés, les faits sont plus stupéfiants et édifiants que l’on croit ; et cette terrible réalité est confirmée par de nombreux témoignages de victimes et enquêtes d’historiens chercheurs indépendants très informés. On comprend alors bien mieux les raisons de l’usage du fluor qui sont soigneusement cachées sous des prétextes complètement différents mais qui font l’unanimité du public.



 
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