Front syrien :des tunisiennes partent faire “le jihad du sexe”

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
A ton avis? tu serais un journaleux genre figaro ou parisien aurait utiliser le même terme sans être maghrébin ou arabe....

tu bafouilles, tu kiss lool cool....:D

Pourquoi un organe officiel , un ministre, d'un parti religieux utilise ce terme de jihad du sexe ?
 

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
Vous allez être déçus : le « djihad du sexe » en Syrie n’a jamais existé !

Après avoir inventé le concept d'infiltrés, pour enlever aux Syriens avides de liberté leur appartenance à la communauté nationale, et après avoir qualifié les opposants ayant pris les armes pour assurer leur légitime défense de gangs armés, de terroristes et de takfiris, la propagande du régime syrien a inventé, à la fin de l'année 2012, un nouveau concept. Rendu public pour la première fois sur la chaîne de télévision libanaise Al-Jadid - totalement inféodée à Damas comme le montre la présence à la tête de son service politique de la journaliste Maria Maalouf -, et immédiatement repris par certains médias favorables au pouvoir en place à Damas, ce nouveau concept était destiné comme les autres à heurter et paralyser les opinions publiques occidentales./...

la suite ici sur blog Le Monde :

http://syrie.blog.lemonde.fr/2013/0...sexe-en-syrie-na-jamais-existe/#xtor=RSS-3208
 
Vous allez être déçus : le « djihad du sexe » en Syrie n’a jamais existé !

Après avoir inventé le concept d'infiltrés, pour enlever aux Syriens avides de liberté leur appartenance à la communauté nationale, et après avoir qualifié les opposants ayant pris les armes pour assurer leur légitime défense de gangs armés, de terroristes et de takfiris, la propagande du régime syrien a inventé, à la fin de l'année 2012, un nouveau concept. Rendu public pour la première fois sur la chaîne de télévision libanaise Al-Jadid - totalement inféodée à Damas comme le montre la présence à la tête de son service politique de la journaliste Maria Maalouf -, et immédiatement repris par certains médias favorables au pouvoir en place à Damas, ce nouveau concept était destiné comme les autres à heurter et paralyser les opinions publiques occidentales./...

la suite ici sur blog Le Monde :

http://syrie.blog.lemonde.fr/2013/0...sexe-en-syrie-na-jamais-existe/#xtor=RSS-3208

J’espère que ça va faire fermer le clapet à plus d'un(e) ici, quand on parlait de manipulation hein?
 
Le ministre de l’Intérieur tunisien a admis jeudi dernier que des femmes, sans préciser leur nombre, se rendaient en Syrie où elles assouvissent les désirs sexuels des combattants djihadistes avant de revenir enceintes.

“Elles ont des relations sexuelles avec 20, 30, 100 djihadistes...” Le ministre de l'Intérieur tunisien, Lotfi ben Jeddou, a expliqué jeudi dernier devant les députés que des Tunisiennes avaient réussi à quitter le territoire pour aller faire “le jihad du sexe” en Syrie, en allant assouvir les besoins sexuels des combattants islamiques qui cherchent à faire tomber le régime syrien de Bachar al-Assad.

Le ministre, qui n’a pas indiqué combien de femmes étaient concernées ni dans quelles conditions elles avaient été prises en charge, a précisé : “après ces rapports sexuels qu'elles ont au nom du jihad al-nikah, elles reviennent enceintes”, a-t-il toutefois précisé.

Le jihad al-nikah, permettant d'avoir des rapports sexuels hors mariage avec des partenaires multiples, est considéré par certains dignitaires salafistes comme une forme légitime de guerre sainte. :eek:

Contrôles renforcés dans les aéroports

La presse tunisienne évoque des centaines de femmes dans ce cas, tout comme elle parle de centaines d'hommes partis combattre les troupes du régime de Bachar al-Assad.

Au total, en 15 ans, ce sont des milliers de citoyens tunisiens qui ont rejoint, via la Turquie ou Libye, les rangs de jihadistes à travers le monde, en Afghanistan, en Irak et désormais en Syrie.

Le ministre de l'Intérieur estime que, depuis sa prise de fonction en mars, “6.000 jeunes tunisiens ont été empêchés d'aller là-bas”. Pour lutter contre ce phénomène, Lotfi ben Jeddou a admis avoir renforcé les contrôles dans les aéroports pour devancer les femmes et les hommes suspectés de vouloir rejoindre la Syrie.

aufait

http://www.aufaitmaroc.com/actualit...ire-le-jihad-du-sexe_215377.html#.UkASa6yOlRw
wa sba7 l'khir ! 3ad weslek l'khbar ?
 
wa sba7 l'khir ! 3ad weslek l'khbar ?
C'est une honte et les souteneurs ici de ces assassins soutenus par le gouv us fr gb séouds qatar
et l'entité sont ravis .
Ça sent le retour de ces crapules mais qui va les prendre en charge avec les risques ? parce qu'il y a
la dette du sang .
Ce gouv tunisien incapable d'enrayer leur honte . Beaucoup sont attirés aussi par l'argent facile de ces
recruteurs sataniques .
 

kouskous

اللهم أنزل الرحمة في قلوب الناس
Modérateur
Le ministre de l’Intérieur tunisien a admis jeudi dernier que des femmes, sans préciser leur nombre, se rendaient en Syrie où elles assouvissent les désirs sexuels des combattants djihadistes avant de revenir enceintes.

“Elles ont des relations sexuelles avec 20, 30, 100 djihadistes...” Le ministre de l'Intérieur tunisien, Lotfi ben Jeddou, a expliqué jeudi dernier devant les députés que des Tunisiennes avaient réussi à quitter le territoire pour aller faire “le jihad du sexe” en Syrie, en allant assouvir les besoins sexuels des combattants islamiques qui cherchent à faire tomber le régime syrien de Bachar al-Assad.

Le ministre, qui n’a pas indiqué combien de femmes étaient concernées ni dans quelles conditions elles avaient été prises en charge, a précisé : “après ces rapports sexuels qu'elles ont au nom du jihad al-nikah, elles reviennent enceintes”, a-t-il toutefois précisé.

Le jihad al-nikah, permettant d'avoir des rapports sexuels hors mariage avec des partenaires multiples, est considéré par certains dignitaires salafistes comme une forme légitime de guerre sainte. :eek:

Contrôles renforcés dans les aéroports

La presse tunisienne évoque des centaines de femmes dans ce cas, tout comme elle parle de centaines d'hommes partis combattre les troupes du régime de Bachar al-Assad.

Au total, en 15 ans, ce sont des milliers de citoyens tunisiens qui ont rejoint, via la Turquie ou Libye, les rangs de jihadistes à travers le monde, en Afghanistan, en Irak et désormais en Syrie.

Le ministre de l'Intérieur estime que, depuis sa prise de fonction en mars, “6.000 jeunes tunisiens ont été empêchés d'aller là-bas”. Pour lutter contre ce phénomène, Lotfi ben Jeddou a admis avoir renforcé les contrôles dans les aéroports pour devancer les femmes et les hommes suspectés de vouloir rejoindre la Syrie.

aufait

http://www.aufaitmaroc.com/actualit...ire-le-jihad-du-sexe_215377.html#.UkASa6yOlRw
qui sera le vrai père après 100 jihadistes .

n'importe quoi comme idée.
 

youpli

I kiff Rolinet
VIB
Les enfants auront-ils la double nationalité ? et qui paiera les recherches adn pour identifier le père ? Qui paiera la pension alimentaire ? que de questions dont personne ne parle, c'est ça qui est scandaleux.
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Vous allez être déçus : le « djihad du sexe » en Syrie n’a jamais existé !

Deux développements ont redonné depuis peu de l'actualité à cette affaire. L'un en provenance de Tunis. L'autre depuis la Syrie.

Initié par cet avis juridique désormais anonyme, un mouvement d'importation en Syrie de candidates tunisiennes à ce genre de djihad ne se serait jamais interrompu. En mars 2013, le quotidien saoudien Al Hayat rapportait que, répondant à cet appel de leur plein gré ou sous la pression de leurs proches, au moins 13 jeunes tunisiennes s'étaient rendues en Syrie pour y fournir des "services sexuels" aux djihadistes. Une vidéo contenant un témoignage mais ne présentant aucun début d'élément de preuve venait aussitôt confirmer la chose. Repris à satiété sur les réseaux sociaux, d'autres témoignages continuaient à accréditer cette histoire. Le 20 septembre, le ministre tunisien de l'Intérieur Loutfi Ben Jeddo affirmait devant les membres de l'Assemblée constituante que des Tunisiennes continuaient de se rendre en Syrie pour y pratiquer le "djihad al-nikah". Il ne fournissait aucun chiffre, mais son silence ouvrait la porte à toutes les supputations. Certains médias parlaient aussitôt de dizaines, d'autres de centaines de femmes parties dans ces conditions. Certains utilisaient ces chiffres au conditionnel. D'autres les retenaient sans hésitation, en recourant au présent de l'indicatif…

Le problème est qu'aucun témoignage crédible n'a jamais confirmé, ni avant, ni après, les propos du ministre. Il est vrai que des Tunisiens sont partis, certains disent par centaines, d'autres affirment par milliers, prêter main forte à leurs frères Syriens, en choisissant généralement de combattre dans les rangs d'unités islamistes, si ce n'est de djihadistes, les uns par convictions personnelle, les autres par souci d'efficacité. Mais ce n'est pas parce que leur présence en Syrie est devenue un problème intérieur et extérieur pour les autorités tunisiennes, que ces dernières doivent prêter leur concours à une propagande dont on sait désormais depuis des mois qu'elle ne repose sur rien. Puisqu'elles semblent trouver du plaisir à se livrer à cette publicité qui ne sert pas précisément leur pays, elles pourraient peut-être expliquer aussi pourquoi la Tunisie serait le seul et unique pays arabe du Maghreb et du Machreq frappé par cette épidémie ?

En Syrie même, le "djihad du mariage" a régulièrement fait l'objet de campagne de dénonciation sur les chaînes officielles. Elles ont produit elles aussi, pour illustrer ce phénomène, des témoignages, tantôt de "terroristes" capturés qui avouaient avoir contraint leurs femmes à se prostituer dans ces conditions, tantôt de femmes victimes de ce genre d'esclavage sexuel. Mais, en raison du manque de crédibilité de ces témoins et de la faiblesse de leurs témoignages, leurs récits n'ont pas convaincu grand monde, y compris dans les rangs des partisans du régime auxquels ils étaient en priorité destinés. Dans l'espoir de frapper un grand coup, les autorités syriennes ont alors préparé avec plus de soin l'apparition sur les écrans de la chaîne officielle Al-Ikhbariya, le 22 septembre, d'une jeune fille de 16 ans, qui répondait au nom de Rawan Qaddah. Elles espéraient que son témoignage, appris par cœur et débité à vive allure sans épargner aux auditeurs un seul détail scabreux, ferait définitivement pencher les sceptiques de leur côté. Encore une fois, elles ont obtenu un résultat contraire.


Article complet dans le lien http://syrie.blog.lemonde.fr/2013/0...sexe-en-syrie-na-jamais-existe/#xtor=RSS-3208
 

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
Vous allez être déçus : le « djihad du sexe » en Syrie n’a jamais existé !

Deux développements ont redonné depuis peu de l'actualité à cette affaire. L'un en provenance de Tunis. L'autre depuis la Syrie.

Initié par cet avis juridique désormais anonyme, un mouvement d'importation en Syrie de candidates tunisiennes à ce genre de djihad ne se serait jamais interrompu. En mars 2013, le quotidien saoudien Al Hayat rapportait que, répondant à cet appel de leur plein gré ou sous la pression de leurs proches, au moins 13 jeunes tunisiennes s'étaient rendues en Syrie pour y fournir des "services sexuels" aux djihadistes. Une vidéo contenant un témoignage mais ne présentant aucun début d'élément de preuve venait aussitôt confirmer la chose. Repris à satiété sur les réseaux sociaux, d'autres témoignages continuaient à accréditer cette histoire. Le 20 septembre, le ministre tunisien de l'Intérieur Loutfi Ben Jeddo affirmait devant les membres de l'Assemblée constituante que des Tunisiennes continuaient de se rendre en Syrie pour y pratiquer le "djihad al-nikah". Il ne fournissait aucun chiffre, mais son silence ouvrait la porte à toutes les supputations. Certains médias parlaient aussitôt de dizaines, d'autres de centaines de femmes parties dans ces conditions. Certains utilisaient ces chiffres au conditionnel. D'autres les retenaient sans hésitation, en recourant au présent de l'indicatif…

Le problème est qu'aucun témoignage crédible n'a jamais confirmé, ni avant, ni après, les propos du ministre. Il est vrai que des Tunisiens sont partis, certains disent par centaines, d'autres affirment par milliers, prêter main forte à leurs frères Syriens, en choisissant généralement de combattre dans les rangs d'unités islamistes, si ce n'est de djihadistes, les uns par convictions personnelle, les autres par souci d'efficacité. Mais ce n'est pas parce que leur présence en Syrie est devenue un problème intérieur et extérieur pour les autorités tunisiennes, que ces dernières doivent prêter leur concours à une propagande dont on sait désormais depuis des mois qu'elle ne repose sur rien. Puisqu'elles semblent trouver du plaisir à se livrer à cette publicité qui ne sert pas précisément leur pays, elles pourraient peut-être expliquer aussi pourquoi la Tunisie serait le seul et unique pays arabe du Maghreb et du Machreq frappé par cette épidémie ?

En Syrie même, le "djihad du mariage" a régulièrement fait l'objet de campagne de dénonciation sur les chaînes officielles. Elles ont produit elles aussi, pour illustrer ce phénomène, des témoignages, tantôt de "terroristes" capturés qui avouaient avoir contraint leurs femmes à se prostituer dans ces conditions, tantôt de femmes victimes de ce genre d'esclavage sexuel. Mais, en raison du manque de crédibilité de ces témoins et de la faiblesse de leurs témoignages, leurs récits n'ont pas convaincu grand monde, y compris dans les rangs des partisans du régime auxquels ils étaient en priorité destinés. Dans l'espoir de frapper un grand coup, les autorités syriennes ont alors préparé avec plus de soin l'apparition sur les écrans de la chaîne officielle Al-Ikhbariya, le 22 septembre, d'une jeune fille de 16 ans, qui répondait au nom de Rawan Qaddah. Elles espéraient que son témoignage, appris par cœur et débité à vive allure sans épargner aux auditeurs un seul détail scabreux, ferait définitivement pencher les sceptiques de leur côté. Encore une fois, elles ont obtenu un résultat contraire.


Article complet dans le lien http://syrie.blog.lemonde.fr/2013/0...sexe-en-syrie-na-jamais-existe/#xtor=RSS-3208
déjà posté 5 messages plus haut :p
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
désouli j'ai pas vu.....j'étais sur un autre forum et je l'ai vu pour ça...^^

et dire que nombreux ici on accusé le Sheykh Arifi d'avoir émis une fatwa alors que les démentis ont été posté....toucher à l'honneur d'un musulman c'est très grave en Islam....

déjà posté 5 messages plus haut :p
 
désouli j'ai pas vu.....j'étais sur un autre forum et je l'ai vu pour ça...^^

et dire que nombreux ici on accusé le Sheykh Arifi d'avoir émis une fatwa alors que les démentis ont été posté....toucher à l'honneur d'un musulman c'est très grave en Islam....
Parce que tu crois que des femmes ne sont pas fournies à ces assassins ?
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
L’arnaque du "djihad du sexe"
Depuis plusieurs semaines des médias montent en épingle le "djihad du sexe", qui aurait cour dans les zones contrôlées par les rebelles. Des centaines de femmes musulmanes, venues notamment de Tunisie, se rendraient en Syrie pour s’offrir à des djihadistes en signe de leur dévotion. L’histoire est certes croustillante, mais semble complètement bidon.
La première mention du "djihad du sexe" date de décembre 2002, dans un tweet attribué du saoudien Mohamad al-Arefe. Ce cheikh salafiste est une personnalité respectée dans les milieux djihadistes, et connue pour ses prêches rigoristes.
Le fameux tweet qui "autorise le djihad du sexe" imputé au cheikh salafiste Mohamad al-Arefe.
Ce tweet autorise "les femmes musulmanes, à partir de 14 ans, à se marier avec un djihadiste pour quelques heures, puis à d’autres djihadistes, afin de renforcer le moral des combattants, et d’ouvrir les portes du paradis".
Un tel message, émanant d’une personnalité telle que al-Arefe, aurait eu force de fatwa religieuse s’il avait été authentique. Mais on note dès le départ une anomalie : ce tweet fait 200 caractères… dépassant largement les 140 caractères autorisés par Twitter…
Malgré cette incongruité, l’affaire avait déjà en 2012 pris de l’ampleur, avait et été reprise par plusieurs chaînes de télévision arabes et iraniennes.
Le cheikh el-Arefe avait très vité nié être à l'origine de ce message, expliquant que "jamais une telle fatwa n’a été diffusée sur ses comptes Facebook ou Twitter officiels".
Extrait d'un prêche du cheikh salafiste el-Arefe dans lequel il nie être à l'origine de la fatwa en question.
Mais malgré ces dénégations, l’affaire du "Djihad du sexe" a continué à faire son chemin dans les médias, et sur les réseaux. La fatwa n’étant plus toutefois imputée au cheikh salafiste, mais qualifiée "d’origine inconnue".
Dès janvier 2013, des chaînes proches du régime syrien se sont saisies de cette histoire. Ces dernières n’hésitant pas à utiliser des images de combattantes tchétchènes, filmées en Tchétchénie en décembre 2010, pour les présenter comme des Tunisiennes parties récompenser de leurs faveurs des djihadistes syriens.
Un bidonnage qui a gêné certains journalistes. La reporter Malika Jebari affirme par exemple avoir démissionné de la chaîne de télévision libanaise al-Mayadeen, car on l’avait poussée à "fabriquer de toute pièce l’histoire du djihad du sexe".
Après quelques mois d’accalmie, le "djihad du sexe" a une nouvelle fois refait surface en septembre 2013. Des vidéos de "témoignages" et les "plannings" des femmes qui se livrent à cette pratique ont été diffusés par différents médias syriens et libanais.
Mais c’est la déclaration, le 20 septembre, du ministre de l’intérieur tunisien, Lotfi Ben Jeddou, devant l’Assemblée Constituante de son pays, qui a propulsé une nouvelle fois le "djihad du sexe" sur le devant de la scène.
Le ministre, en conflit avec le parti islamiste Ennahda au pouvoir, n’a toutefois apporté aucune preuve appuyant ses affirmations.
Il n’existe d’ailleurs aucun témoignage crédible sur ce genre de pratique. Le dernier reportage en date a été diffusé le 22 septembre 2013 par la chaîne syrienne al-Ikhbariya. On y voit une jeune Syrienne de 16 ans affirmant avoir été victime "d’inceste par son père, avant d’être livrée à des djihadistes". L’adolescente y décrit dans les moindres détails ce qu’elle a subi. Mais il s’agit d’une chaîne qui soutient le régime syrien, et qui œuvre quotidiennement à discréditer les rebelles.
Enfin, toutes les sources proches de djihadistes syriens contactées par FRANCE 24 ont nié l'existence de ce djihad du sexe. Une histoire vendeuse, donc, mais qui semble reposer sur du vent.
Contributeurs

Anwar Malek
"A l’heure où on parle les preuves sont inexistantes… Personnellement je pense c’est une machination du régime syrien"

Anwar Malek est un Algérien qui a été observateur de la Ligue Arabe en Syrie.
Je peux vous assurer que j’ai pris contact avec plusieurs officiels, et contacts tunisiens, qui m’ont tous confirmé que cette affaire n’avait aucun fondement. À l’heure où on parle, les preuves sont inexistantes.
Et puis de l’aéroport de Carthage, tous les départs sont vers Damas, toujours entre les mains du régime de Bachar el-Assad. Alors expliquez-moi comment des filles djihadistes pourraient partir de Damas pour faire des aller-retour en zone rebelle ?
Personnellement, je pense c’est une machination du régime syrien. Certes il y a des Tunisiennes sur le territoire syrien, mais ces femmes y habitent souvent depuis des années. Parmi elles, il y a des prostituées, mais cela n’a rien à voir avec un quelconque "Djihad du sexe".



Anwar Malek
Billet écrit avec la collaboration de Wassim Nasr (@SimNasr), journaliste à France24.
 

Pièces jointes

  • Tweet Mohamed El Arefe.jpg
    Tweet Mohamed El Arefe.jpg
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  • Jihadiste Tnisienne made in Tchétchène.jpg
    Jihadiste Tnisienne made in Tchétchène.jpg
    11 KB · Affichages: 29
Parce que tu crois que des femmes ne sont pas fournies à ces assassins ?
t'as envoyé ta femme?
Je suis sûr que ta femme sera très appréciée par ces assassins que tu chéries tant .
La vérité te dérange mais c'est comme cela . Du temps des califes que tu chéries c'était déjà comme
ça d'ou les ajouts les modifications dans le coran pour pourvoir arnaquer les peuples et profiter sur
les femmes sans compter les impôts .Les harems c'était une bonne affaire n'est ce pas ? combien les ottomans
ont violé de femmes et d'enfants ? combien de harems maintenant ? combien de janissaires à l'époque ? T'es un charlatan comme beaucoup d'autres et tu es loin de savoir . La prostituée vous devance sur des milliers de km .
Quant à ma vie tu ne l'a connais pas alors ne spécule pas cela vaut mieux pour toi .
 

memoLi

Bladinaute averti
Je suis sûr que ta femme sera très appréciée par ces assassins que tu chéries tant .
La vérité te dérange mais c'est comme cela . Du temps des califes que tu chéries c'était déjà comme
ça d'ou les ajouts les modifications dans le coran pour pourvoir arnaquer les peuples et profiter sur
les femmes sans compter les impôts .Les harems c'était une bonne affaire n'est ce pas ? combien les ottomans
ont violé de femmes et d'enfants ? combien de harems maintenant ? combien de janissaires à l'époque ? T'es un charlatan comme beaucoup d'autres et tu es loin de savoir . La prostituée vous devance sur des milliers de km .
Quant à ma vie tu ne l'a connais pas alors ne spécule pas cela vaut mieux pour toi .
tu réponds pas à ma question là...
 
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