Au terme d'une fin de match époustouflante, le Gabon a battu le Maroc, vendredi à Libreville (3-2). Ce succès valide le billet des hommes de Gernot Rohr pour les quarts de finale de la Coupe d'Afrique des Nations tout en éliminant les protégés d'Eric Gerets. La Tunisie, victorieuse un peu plus tôt à l'arraché du Niger (2-1), sera également au rendez-vous du tour suivant.
C'est un véritable couac. Après deux journées, le Maroc prend la porte d'une CAN dont il visait le sommet. A quelques jours du début de la compétition, alors qu'il se trouvait en stage à Marbella, Éric Gerets affichait clairement l'ambition de son équipe: "Notre objectif est de gagner le titre et le dédier au peuple marocain. Et cette génération est capable de le faire" Bien trop connaisseur du football, l'ex-coach de l'OM nuançait évidemment ensuite ses propos: Entre la volonté et le fait de le réaliser, il y a toujours une marge. Mais les joueurs et le staff sont prêts à se dépasser pour aller chercher la Cup."
Houssine Kharja, lui, s'est dépassé en bon capitaine vendredi soir sur la pelouse de Libreville. Le milieu de terrain de la Fiorentina n'a pas été totalement accompagné par ses coéquipiers, battus 3-2 par une formation gabonaise boostée par un public qui a terminé en transe. Et il y avait de quoi. La foule s'est d'abord levée sur l'égalisation de Pierre-Emerick Aubameyang, auteur d'une puissante demi-volée du droit (78e, 1-1), répondant à l'ouverture du score du natif de Poissy à la 22e, suite à une précise frappe du gauche. Deux minutes plus tard, un autre familier de la Ligue 1, Daniel Cousin, enchaîne pivot et tir du coup de pied (2-1, 80e). Les murs tremblent.
Une furie éteinte par le doublé de Kharja, plus précisément par le sang froid de cet habitué de la Serie A qui transforma un penalty (2-2, 90e). Le président Bongo et tout un peuple exulteront enfin lorsqu'au bout du temps additionnel, le petit miracle va s'opérer. Le coup franc direct de Mbanangoye Zita trouve la lucarne droite de Lamyaghri (3-2, 96e). Une trajectoire parfaite qui envoie les Panthères en quart de finale, et les Lions de l'Atlas à leurs études.
Un Post spécial pour les petits haineux, petis fachos, et qui ont rien dans le cerveau, je pense qu'ils se reconnaitrons.
C'est un véritable couac. Après deux journées, le Maroc prend la porte d'une CAN dont il visait le sommet. A quelques jours du début de la compétition, alors qu'il se trouvait en stage à Marbella, Éric Gerets affichait clairement l'ambition de son équipe: "Notre objectif est de gagner le titre et le dédier au peuple marocain. Et cette génération est capable de le faire" Bien trop connaisseur du football, l'ex-coach de l'OM nuançait évidemment ensuite ses propos: Entre la volonté et le fait de le réaliser, il y a toujours une marge. Mais les joueurs et le staff sont prêts à se dépasser pour aller chercher la Cup."
Houssine Kharja, lui, s'est dépassé en bon capitaine vendredi soir sur la pelouse de Libreville. Le milieu de terrain de la Fiorentina n'a pas été totalement accompagné par ses coéquipiers, battus 3-2 par une formation gabonaise boostée par un public qui a terminé en transe. Et il y avait de quoi. La foule s'est d'abord levée sur l'égalisation de Pierre-Emerick Aubameyang, auteur d'une puissante demi-volée du droit (78e, 1-1), répondant à l'ouverture du score du natif de Poissy à la 22e, suite à une précise frappe du gauche. Deux minutes plus tard, un autre familier de la Ligue 1, Daniel Cousin, enchaîne pivot et tir du coup de pied (2-1, 80e). Les murs tremblent.
Une furie éteinte par le doublé de Kharja, plus précisément par le sang froid de cet habitué de la Serie A qui transforma un penalty (2-2, 90e). Le président Bongo et tout un peuple exulteront enfin lorsqu'au bout du temps additionnel, le petit miracle va s'opérer. Le coup franc direct de Mbanangoye Zita trouve la lucarne droite de Lamyaghri (3-2, 96e). Une trajectoire parfaite qui envoie les Panthères en quart de finale, et les Lions de l'Atlas à leurs études.
Un Post spécial pour les petits haineux, petis fachos, et qui ont rien dans le cerveau, je pense qu'ils se reconnaitrons.
