a tous ceux qui galèrent en bas des escaliers

...des escaliers des cités hlm
A ceux qui n'ose plus dire "je t'aime"
A ceux que la société a rejettée
Tel une épave sur une plage, echoué
A ceux qui terminent le mois difficilement
A ceux que le système rejette perpetuellement
A ceux qui n'osent plus réver de peur de tomber de haut
a ceux qui crient au secour et n'ont pour reponses que leur echos
A ceux qui s'interdisent de sourire et d'encore y croir
A ceux qui ont mis tous leur espoir au fond d'un placard
A ceux qui gardent une corde au fond dleur tiroir
A ceux qui oublient leur calvaire, avec des pétards
A ceux qui se noient dans leur dettes
A ceux qui dorment avec une machette
A ceux qui sursautent au moindre coup dklaxon
A ceux qui n'osent plus sortir de leur cocon
A ceux qui subissent le delis dfaciès, catalogués
A ceux qui se font piller régulièrement par les ussiers
A ceux qui pour nourrir leur familles ont du braquer
A ceux qui se sont fait piller et depouillé
A ceux qui n'ont plus d'tune dans leur poches
A ceux qui ont perdu un etre proche
A ceux qui n'ont plus personne vers qui sretourner
A ceux qui se font injustement coloniser
A ceux qui ont le coeur brisé
A ceux qui n'peuvent pas voir leur familles l'été
A ceux qui meurt de froid l'hiver
A ceux qui ont subit les sévices d'un pervers
A ceux qui sont née dans la guerre
A ceux qui ont toujours connu la misère
...
Je pourrai encore continuer longtemps
Qui ne s'est pas reconnus au moins une fois ?
Qui ne s'est pas plein à un moment?
Qui ne s'est pas deja dit "pourquoi moi ?"
Jpense à la veuve qui panse, ses bléssure grave, sans broncher.
L'epreuve est une chance, et c'est toujours au brave, de la relever.









Deux personne étaient en train de parler. l'un demandait a quoi sert-il de vivre et l'autre repondait "à se préparer à la mort" . A coté un corbeau affamé sur un panneau stop s'engagea dans une complexe reflexion...

Une autre personne plus loin ,qui sentait l'alcool, marmonait dans sa barbe que dans cette vie, c'est le reveil qui se serait fait le plus insulter.

Quelque par au meme moment dans un desert aride, un serpent qui sillonait le sable brulant, se persuadait sans cesse, que les chemins qui menaient à la vérité, étaient certainements sinueux et ardants mais il jurait de ne pas se laisser surprendre.

Ou est passé ce marcheur fou , ce reveur qui trébuche sur chaque trotoir ?
 
A

AncienMembre

Non connecté
...des escaliers des cités hlm
A ceux qui n'ose plus dire "je t'aime"
A ceux que la société a rejettée
Tel une épave sur une plage, echoué
A ceux qui terminent le mois difficilement
A ceux que le système rejette perpetuellement
A ceux qui n'osent plus réver de peur de tomber de haut
a ceux qui crient au secour et n'ont pour reponses que leur echos
A ceux qui s'interdisent de sourire et d'encore y croir
A ceux qui ont mis tous leur espoir au fond d'un placard
A ceux qui gardent une corde au fond dleur tiroir
A ceux qui oublient leur calvaire, avec des pétards
A ceux qui se noient dans leur dettes
A ceux qui dorment avec une machette
A ceux qui sursautent au moindre coup dklaxon
A ceux qui n'osent plus sortir de leur cocon
A ceux qui subissent le delis dfaciès, catalogués
A ceux qui se font piller régulièrement par les ussiers
A ceux qui pour nourrir leur familles ont du braquer
A ceux qui se sont fait piller et depouillé
A ceux qui n'ont plus d'tune dans leur poches
A ceux qui ont perdu un etre proche
A ceux qui n'ont plus personne vers qui sretourner
A ceux qui se font injustement coloniser
A ceux qui ont le coeur brisé
A ceux qui n'peuvent pas voir leur familles l'été
A ceux qui meurt de froid l'hiver
A ceux qui ont subit les sévices d'un pervers
A ceux qui sont née dans la guerre
A ceux qui ont toujours connu la misère
...
Je pourrai encore continuer longtemps
Qui ne s'est pas reconnus au moins une fois ?
Qui ne s'est pas plein à un moment?
Qui ne s'est pas deja dit "pourquoi moi ?"
Jpense à la veuve qui panse, ses bléssure grave, sans broncher.
L'epreuve est une chance, et c'est toujours au brave, de la relever.









Deux personne étaient en train de parler. l'un demandait a quoi sert-il de vivre et l'autre repondait "à se préparer à la mort" . A coté un corbeau affamé sur un panneau stop s'engagea dans une complexe reflexion...

Une autre personne plus loin ,qui sentait l'alcool, marmonait dans sa barbe que dans cette vie, c'est le reveil qui se serait fait le plus insulter.

Quelque par au meme moment dans un desert aride, un serpent qui sillonait le sable brulant, se persuadait sans cesse, que les chemins qui menaient à la vérité, étaient certainements sinueux et ardants mais il jurait de ne pas se laisser surprendre.

Ou est passé ce marcheur fou , ce reveur qui trébuche sur chaque trotoir ?

y en a forcement qui se reconaissent mais wech???
qu est ce qui t arrive?
tu deprimes?
faut pas
:(
mais faut pas deprimer....
ps : perso ton poste me fait deprimer

y a plus de marcheur fou ou reveur
sinon dans nos reves :)
 
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