IRIB- « L’usage d’un type de gaz dans la tragédie de Mina a causé la perte de mémoire chez les sinistrés de l’incident », a déclaré Abdel Hamid Fawzi.
Interviewé par la chaîne de télévision CBS, l’ancien ministre délégué de la Santé d’Egypte, Abdel Hamid Fawzi, a révélé l’usage d’une sorte de gaz à l’encontre des pèlerins au cours du drame de Mina. « Passant par les morgues, j’ai constaté un grand nombre de dépouilles sur lesquelles ne se voyait aucune trace de coup ou de violence. Les médecins des hôpitaux saoudiens et moi, nous sommes d’avis que la mort des pèlerins à Mina relève de l’inhalation d’un gaz », a déclaré Abdel Hamid Fawzi avant d’ajouter : « La médecine ne peut pas justifier la perte de mémoire en raison d’un mouvement de foule ni d’une bousculade. L’étouffement ne peut pas causer la perte de mémoire. J’ai vu des dizaines de blessés avoir perdu leur mémoire et la plupart d’entre eux étaient nos frères africains. Un grand nombre de blessés avaient perdu leur mémoire et étaient incapables de se reconnaître. Je pense que l’usage d’un gaz est à l’origine de la perte de mémoire des pèlerins ».
Dans une lettre destinée au roi saoudien, Abdel Hamid Fawzi a déclaré : « Je me suis rendu à tous les hôpitaux de Mina, d’Arafat et de La Mecque pour retrouver mon neveu disparu et j’ai appris que la plupart des malades souffrent d’une perte de mémoire. Ces malades n’avaient aucune blessure ni fracture. J’ai également examiné des dizaines de corps dans les morgues qui n’avaient aucune blessure apparente. Je pense que la médecine légale doit passer en action et dire le dernier mot à ce propos ».
Interviewé par la chaîne de télévision CBS, l’ancien ministre délégué de la Santé d’Egypte, Abdel Hamid Fawzi, a révélé l’usage d’une sorte de gaz à l’encontre des pèlerins au cours du drame de Mina. « Passant par les morgues, j’ai constaté un grand nombre de dépouilles sur lesquelles ne se voyait aucune trace de coup ou de violence. Les médecins des hôpitaux saoudiens et moi, nous sommes d’avis que la mort des pèlerins à Mina relève de l’inhalation d’un gaz », a déclaré Abdel Hamid Fawzi avant d’ajouter : « La médecine ne peut pas justifier la perte de mémoire en raison d’un mouvement de foule ni d’une bousculade. L’étouffement ne peut pas causer la perte de mémoire. J’ai vu des dizaines de blessés avoir perdu leur mémoire et la plupart d’entre eux étaient nos frères africains. Un grand nombre de blessés avaient perdu leur mémoire et étaient incapables de se reconnaître. Je pense que l’usage d’un gaz est à l’origine de la perte de mémoire des pèlerins ».
Dans une lettre destinée au roi saoudien, Abdel Hamid Fawzi a déclaré : « Je me suis rendu à tous les hôpitaux de Mina, d’Arafat et de La Mecque pour retrouver mon neveu disparu et j’ai appris que la plupart des malades souffrent d’une perte de mémoire. Ces malades n’avaient aucune blessure ni fracture. J’ai également examiné des dizaines de corps dans les morgues qui n’avaient aucune blessure apparente. Je pense que la médecine légale doit passer en action et dire le dernier mot à ce propos ».