Le genocide des touaregs

Considérant la Déclaration Universelle de Droit de l’Homme du 10 décembre 1948
Considérant la lettre des chefs traditionnels Touaregs qui demandaient à la France sous De Gaulle de ne pas faire partie des Etats en création et voulaient un Etat Touareg indépendant des 1957
Considérant la création de OCRS (Organisation commune des régions sahariennes), par la loi Française n° 57 -7- 27 du 10 janvier 1957 parue dans le journal officiel du 12 janvier 1957
Considérant la non consultation de la Nation Touarègue quand à leur future appartenance au Mali et au Niger
Considérant la révolte de 1963 dans l’Adrar des Ifoghas réprimée par les Etats de l’Algérie et du Mali
Considérant l’attaque commando de Tchintabareden 1984
Considérant le massacre de Tchintabaraden où plus de 3200 civils ont été massacrés du fait de leur appartenance à la Nation Touarègue en 1990
Considérant la non prise en compte de la question Touarègue au cours de la conférence nationale du Niger d’août 1991
Considérant la rébellion de 1990 dans l’Aïr et l’Azawak
Considérant de la rébellion du 23 mai 2006 dans l’Adrar de Ifoghas
Considérant la composition de la Nation Touarègue en sept confédérations: Ahaggar,Ajjer, Aïr, Azawagh, Adghagh , Tadamakkat, Oudalan
Considérant l’éloignement de la capitale du Niger, Niamey qui isole la Nation Touarègue dans l’administration territoriale
Considérant la repartition géographique des nations africaines d’avant la colonisation (Nation Songhaï, Peuhl, Haoussa )
Considérant la délimitation arbitraire des frontières faite par la France avec pour objectif la dislocation de la Nation Touarègue
Considérant les résistances Touarègues à la pénétration coloniale en Pays Touareg par Fihroun Ag Alinsar dans l’Azawad et dans l’Adrar de Ifoghas, de Kaocen dans l'Aïr, Moussa Ag Amastane dans le Hoggar
Considérant le refus des Etats à trouver une solution à la rébellion Touarègue
Considérant les accords de paix successifs signés entre les Etats du Niger et du Mali et les rébellions Touarègues
Considérant les colonies de peuplement sédentaires de par lesquelles les pouvoirs centraux des Etats du Niger et du Mali tentent d’expulser le peuple Touareg de ses terres
Considérant l’incapacité notoire des Etats à répondre aux besoins fondamentaux de la nation Touarègue
Considérants que les l’Etat Maliens et Nigériens sont de construction factice
Considérant que l'armée de ces deux Etats combattent depuis des décennies la Nation Touarègue avec le plus grand mépris et en violation des droits humains
Considérant la Déclaration des Droits de Peuples Autochtones votée par l’ONU le 13 septembre 2007,
 
innaceptable,odieux et crapuleux , c est crime contre l humanite.le genocide des touaregs est commis en silence.


http://occitan-touareg.over-blog.com/article-12502008-6.html

Pas dans le silence !

Dans le respect des interêts de Veolia à en croire un certain générale de l'armée Française.

Les algériens et leurs chiens de garde les polizario, on déjà sédentariser et tuer à petit feu une partie de nos frères sahrawi... Les touaregs vont suivre :(
 
Mardi 27 novembre 2007
/NIGER/ TANDJA responsable de l’assassinat de 65 civils au Nord Niger.

NIGER/ TANDJA responsable de l’assassinat de 42 civils au Nord Niger.

Depuis le début de l’année 2007 les « FAN » (Forces Armées Nigériennes) dont le chef et responsable se dénomme Mr Tandja Mamadou,ont assassinés 35 civils.
Ces civils sont des nomades Touareg accompagnant leur troupeaux ou des passagers transitant entre le Nord Niger et l’Algérie ou de simples maraîchers. Tous étaient Touareg !
À ce jour aucune association Internationale de défense des droits de l’Homme n’a prit officiellement position sur ces crimes.
Mr Sarkozy et ses amis de AREVA, avec le soutient complice de la Chine et des autres Etats achetant des concessions au Nord Niger pour piller l’uranium, se taisent.
Combien de Touaregs Mr TANDJA pourra-t-il avoir à son tableau de chasse avant de se faire sanctionner par les plus hautes autorités internationales ?

Voici la liste des civils Touareg assassinés :

Sidi Mohamed Imolan dit Kalakoua
Abtchaw Kounfi
Aoussouk Kounfi
Idrissa Takho-Ouidane,
Aghalo Moughamad,
Maghmoud Moughamad,
Ghousmane Ewadane,
Moughmoud Tagho,
Aghmad Hitane.
Zeyda ag Badi,
Ahmadu ag Moussa,
Ghoumour ag Ahmad,
Mohamed ag Akarfa,
Ismaghil ag Akam,
Rhissa ag Attaher,
Bikim ag Ilyas,
Akloua ag Hama,
Oumra Lahcen.
Adam Abarchi
Ghoumour Assaleh
Mohamed Atchawar,
Manik Kané,
Almoctar Bachir,
Hamad Moussa (un religieux qui pendant toute sa vie ne s'est occupé que de ses livres sains).
Liman Houdane
Toukane Assale
Mohamed Rhissa Imolane
Ikizaba Attoulel
Mouhmoud Alain
Aboubacar (commerçant)
Mohamed Almoctar (Guinadan)
Abdousalam Amadou Zamanka
Hadda Baregha
Mahmoud Alanne
Kouzaba Attolal
- Oumama Iyadane
- Ibrahim Ghissa
- Boulla Lachi
- Hamadi Ghoumour
- Idrissa
- Lolo
- Sidi Koummado
-INANA KRIMA
CADAVRES DES CIVILS RETROUVÉS MORTS
A l’Est de Gougaram :
- Akassa Abdourahamane
- Ilyass Abdourahamane,
-Abbi Ghabdoula,
- Badame Ghabdoula
- Soulimane Tchahama
- Madouwane Aoughamet
Aux environs de Tidène :
- Inanane Ag Karimoune
Derniers actes :
- le 18 octobre 2008, 7 personnes découpées en morceaux par les Forces Armées “Nigériennes” (FAN) à ELMIKI,
• Silimane Amine, 43 ans marié père de 5 enfants
• Ghoumour Amine, 48 ans marié père de 6 enfants
• Aghali Biki, 70 ans marié père de 12 enfants
• Elweli Biki, 47 ans marié père de 7 enfants
• Elhaji Tchibra, 49 ans marié père de 8 enfants
• Silimane Abdalla, 70 ans marié père de 9 enfants
• Adam Alhou, 24 ans marié père de 2 enfants
Silimana Biki
Elweli Indilou
Tangadako Indilo
Silimane Rabdoula
- le 22 octobre 2008, 02 personnes tuées à TCHINTELOUST par les Forces Armées “Nigériennes” (FAN)
Suite aux arrestations de Elmiki:
- Mamadou Ahmed (entrepreneur) à Elmiki
-Mohamed DAWEL (gardien à la Sonichar)
 
Je comprends pas pourquoi vouloir mettre toute la faute sur la France. Je comprends qu'elle ne devrait pas acheter le territoire. C'est la même chose qui se passe au Darfour...
 
Je comprends pas pourquoi vouloir mettre toute la faute sur la France. Je comprends qu'elle ne devrait pas acheter le territoire. C'est la même chose qui se passe au Darfour...

Mon ami, je ne suis pas de ceux qui stigmatise à la va vite ! Mais la France a des intérêts certains dans cette région caché dérière un paternalisme certain je cite : "Dans le massif de l'Aïr, au Nord du Niger, des Touaregs sont en cours de sédentarisation. Pour les y aider, la construction de puits s'avère indispensable. Une association est à leurs côtés..."

Mais comme les touaregs ne rentraient pas dans le jolie template peint pour eux, ils deviennent des "cafards" qu'il faut exterminer... Le tout avec une nostalgie rowandaise en arrière plan.
 
innaceptable,odieux et crapuleux , c est crime contre l humanite.le genocide des touaregs est commis en silence.


http://occitan-touareg.over-blog.com/article-12502008-6.html

République Touarègue Tumoujgha ???? MDR

Ta source montre bien une instrumentalisation dans les cercles militants basés en Europe et en Kabylie, mais aujourd’hui, le conflit n’est pas un conflit identitaire.

Faites bien attention la rebellion est surtout economique c'est contrôler les trafics de drogues, clandestins, contrebandes de cigarettes et alcool dans la region.
Le contrôle d’intérêts et d’enjeux économiques s’opère sous l’image de la rébellion.
Les mouvements rebelles apparaissent, s’interrompent et se réactivent successivement.

Les quelques tarés du MNJ qui mettent leur pays à feu et à sang ne représentent en rien le peuple touareg qui n'aspire qu'à vivre en paix. Ils sont pas mieux intentionnés que ces dingues du Polisario qui fatiguent tout les Sahraouis et destabilise le Maghreb.

"Le brassage des populations empêche les dérapages identitaires, explique l’universitaire Djibo Hamani. Au Niger, il y a des Touaregs dans toutes les régions. Et la majorité d’entre eux est noire, pas blanche. Si les touaregs réclament un Etat touareg et si toutes les autres ethnies de l’Afrique réclament un Etat, alors que deviendra le Sahel et le Maghreb?« , s’est-il interrogé."
 
République Touarègue Tumoujgha ???? MDR

Ta source montre bien une instrumentalisation dans les cercles militants basés en Europe et en Kabylie, mais aujourd’hui, le conflit n’est pas un conflit identitaire.

Faites bien attention la rebellion est surtout economique c'est contrôler les trafics de drogues, clandestins, contrebandes de cigarettes et alcool dans la region.
Le contrôle d’intérêts et d’enjeux économiques s’opère sous l’image de la rébellion.
Les mouvements rebelles apparaissent, s’interrompent et se réactivent successivement.

Les quelques tarés du MNJ qui mettent leur pays à feu et à sang ne représentent en rien le peuple touareg qui n'aspire qu'à vivre en paix. Ils sont pas mieux intentionnés que ces dingues du Polisario qui fatiguent tout les Sahraouis et destabilise le Maghreb.

"Le brassage des populations empêche les dérapages identitaires, explique l’universitaire Djibo Hamani. Au Niger, il y a des Touaregs dans toutes les régions. Et la majorité d’entre eux est noire, pas blanche. Si les touaregs réclament un Etat touareg et si toutes les autres ethnies de l’Afrique réclament un Etat, alors que deviendra le Sahel et le Maghreb?« , s’est-il interrogé."


ils ont dega renonce a revndique une partie de l algerie c est deja ca.
ent tout cas al khadafi les soutient a fond.
 
Jeu trouble du leader libyen aux frontière de l’extrême sud
Kadhafi provoque l’Algérie
Le guide de la Djamahiriya libyenne, le colonel Mouaâmar Kadhafi, tient toujours à son rêve d’un « grand Etat du Sahara », idée lancée lors de son discours à Tombouctou la nuit du Mawlid (anniversaire de la naissance du Prophète Mohamed), à la mi-avril 2006. Une option catégoriquement réfutée par le chef du gouvernement algérien Ahmed Ouyahia et par l’aménokal des Touareg, Ahmed Edaber. La Libye reste décidée à pénétrer la ceinture géographique au sud de l’Algérie.




Une délégation d’officiels libyens et maliens a rencontré, vendredi 21 avril, les autorités administratives, des notables et des ex-combattants de la rébellion targuie de Kidal (nord-est du Mali), a rapporté l’Agence France Presse, citant des sources maliennes. La délégation comprenait notamment Béchir Salah, le directeur de cabinet du dirigeant libyen Mouaâmar Kadhafi, et le général de division Kafougouna Koné, ministre malien de l’Administration territoriale et des Collectivités locales, ancien ministre de la Défense pendant la transition en 1992 et ancien et chef d’état-major général des armées. Au cours de cette rencontre, les ex-rebelles touareg ont souhaité que leur région puisse obtenir un « statut particulier » pour accélérer son développement, a déclaré un responsable de l’ex-rébellion, contacté par l’AFP. Une source proche du gouvernement malien a déclaré hier à l’agence française que l’Etat avait déjà pris l’engagement de nommer « prochainement » un conseiller au ministère malien de la Défense pour s’occuper des problèmes des ex-combattants de la rébellion targuie, dont certains sont intégrés dans l’armée. La même source a rappelé que l’Etat allait « prochainement » débloquer 1,2 milliard de francs CFA (environ 1,8 million d’euros) pour lutter contre le chômage des jeunes de la région, autre préoccupation des ex-combattants et de la notabilité locale. De leur côté, les Libyens ont annoncé leur décision de « remettre sur les rails deux projets économiques dans le nord du Mali : une usine de phosphate à Bourem (région de Gao, au sud de Kidal) et une usine de fabrication de plâtre à Tessalit, au nord de Kidal », a rapporté une autre source proche de la rencontre. Le lieutenant-colonel Hassan Fagaga, un ex-combattant rebelle targui dans les années 1990 qui avait ensuite incorporé l’armée, avait pris les armes mi-février dernier avec une poignée d’hommes pour exiger notamment des mesures en faveur de la région de Kidal et des ex-rebelles intégrés dans l’armée. Il avait accepté de rentrer dans le rang, mi-mars, alors que le gouvernement s’était engagé à ne pas prendre de sanctions contre lui et à étudier ses doléances. A rappeler que la Libye a ouvert, début février dernier, un consulat à Kidal - en plus de sa représentation à Bamako - avec comme premier responsable un homme d’affaires, Moussa El Kony, membre du sérail à Tripoli, qui a abandonné ses affaires pour être le messager de Kadhafi sur place. L’homme parcourt depuis le nord du Mali, frontalier avec l’Algérie, proposant et inaugurant ici et là dans les villages de cette région différents projets dans les domaines de l’hydraulique, de l’éducation et de la santé. Selon le site d’information malienne, afribone.com, la Libye s’engage, par l’entremise du consulat, à financer la construction de mosquées, d’hôpitaux et d’écoles à Kidal, Gao et Tombouctou, ainsi que la construction de l’aéroport à Kidal et l’équipement de plusieurs forages dans les trois régions. Selon ce
 
site d’information, le 22 mars dernier s’est organisée à Kidal « une cérémonie de remise de dons, qui en fait peut être considérée comme un don du ciel, au moment où cette ville est sous le coup d’un blocus orchestré par les voisins algériens, depuis l’ouverture du consulat libyen ». Par contre, « les voisins algériens » semblent avoir mauvaise image : la grève de la faim des étudiants maliens à Alger la semaine dernière bénéficie de commentaires accusateurs envers le voisin du Nord. Pour autant, le dessin kadhafien d’un « grand Etat du Sahara » né d’un pacte entre tribus ne semble pas tenir la route : « Nulle crainte du côté des tribus du nord du Mali. Nous connaissons parfaitement les Touareg et s’ils accueillent bien toute aide matérielle car leur vie est difficile, ils refusent de se retourner maintenant contre leur pays. Surtout les Touareg algériens ! », nous a indiqué hier un spécialiste de la question. Ainsi, après le jeu trouble du « guide » libyen au Tchad, avec un partage des rôles avec la puissance déclinante en Afrique qu’est la France - la récente visite de Douste-Blazy - à Tripoli était-elle envisageable, il y a seulement quelques années ? Kadhafi est tenté par bloquer la pénétration africaine de l’Algérie. Alger, de son côté, intensifie ses relations avec le Niger. Poursuivant sa visite en Algérie, le ministre nigérien de l’Intérieur et de la Décentralisation, Mounkaila Modi, a exprimé sa satisfaction suite aux travaux de la deuxième session du comité bilatéral frontalier algéro-nigérien qui a eu lieu à Tamanrasset (200 km au sud d’Alger), les 19 et 20 avril et qui a été sanctionnée par une série de recommandations visant notamment à faire de la zone frontalière un « espace de paix, de sécurité, de progrès et de prospérité partagée dans un intérêt mutuel des populations des régions frontalières ». Population caractérisée par le nomadisme et la précarité et qui se retrouve au cœur d’enjeux géostratégiques majeurs.
 
ils ont dega renonce a revndique une partie de l algerie c est deja ca.
ent tout cas al khadafi les soutient a fond.

Oui kadhaffi les utilisent depuis au moins les années 80.
te rappells-tu de la légion islamique: des Touaregs utilisés par Kadhafi dans les années 1970-1980 pour servir dans les rangs de l'armée libyenne au Tchad et au Liban.

Le chef de l'Etat libyen a fait volte face à de multiples reprises. Les Touaregs ne representent rien d'autres que des pions dans son jeu de domination regionale et continentale.
 
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