C'est vrai que le rouleau compresseur du gouvernement Russe ça fait réfléchir .
Quelle hypocrisie et de sang sur leurs têtes qui est et sera redemandé.
Former des jeunes et les envoyer sur un terrain dangereux pour tuer
son prochain doctrine satanique pour soutenir l'entité illégale non hébreu.
*****
À chaque fois, il s'agit d'histoires vraies racontées par les proches de ces jeunes : "Quand on vous annonce la mort de votre enfant, on ne vous donne pas son nom véritable, on vous donne son nom de combattant. C'est comme si vous, vous n'étiez plus le parent de cet enfant-là", témoigne une mère dans un des clips de la campagne. Dans les quatre spots, des parents, désemparés, témoignent. Tous disent n'avoir rien compris, n'avoir rien vu, comme l'explique Marie Guyard, de France 2
Un numéro vert mis en place
Les clips renvoient au numéro vert de signalement des candidats au jihad, créé par le ministère de l'Intérieur : c'est le 0800 005 696. Mille Français sont déjà partis en Syrie. Parmi les 3 000 signalements déjà enregistrés sur le site du ministère, un quart concerne des mineurs, parmi lesquels une majorité de jeunes filles.
francetvinfo
Quelle hypocrisie et de sang sur leurs têtes qui est et sera redemandé.
Former des jeunes et les envoyer sur un terrain dangereux pour tuer
son prochain doctrine satanique pour soutenir l'entité illégale non hébreu.
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À chaque fois, il s'agit d'histoires vraies racontées par les proches de ces jeunes : "Quand on vous annonce la mort de votre enfant, on ne vous donne pas son nom véritable, on vous donne son nom de combattant. C'est comme si vous, vous n'étiez plus le parent de cet enfant-là", témoigne une mère dans un des clips de la campagne. Dans les quatre spots, des parents, désemparés, témoignent. Tous disent n'avoir rien compris, n'avoir rien vu, comme l'explique Marie Guyard, de France 2
Un numéro vert mis en place
Les clips renvoient au numéro vert de signalement des candidats au jihad, créé par le ministère de l'Intérieur : c'est le 0800 005 696. Mille Français sont déjà partis en Syrie. Parmi les 3 000 signalements déjà enregistrés sur le site du ministère, un quart concerne des mineurs, parmi lesquels une majorité de jeunes filles.
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