Salut,
Avez-vous entendu parler d'un complot islamiste en France ?
Et bien en regardant un article de l'Express et ben j'ai été étonné.
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NÉO-ISLAMISTES: STRATÉGIES POUR NOYAUTER LA RÉPUBLIQUE
Un réseau déjà bien implanté dans plusieurs grandes villes de France cherche à peser sur les lieux de pouvoir, des universités à l'UMP. L'Express s'est procuré son manuel de lobbying, dissimulé dans un cédérom pirate du disque... de Carla Bruni. Ultrasecret, ce mode d'emploi de l'entrisme est délivré aux cadres du réseau, une soixantaine d'initiés présents dans la mouvance des Etudiants musulmans de France (EMF) ou de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) - laquelle, par ailleurs, vient de réaliser un score significatif aux élections du Conseil français du culte musulman. Ce document, malgré sa ferveur et son triomphalisme, est intéressant par la froideur tactique, la volonté de puissance, l'habileté politique et la philosophie opportuniste qu'il affiche. Rien ne dit que ce prosélytisme religieux ait de l'avenir. Mais iI faut savoir qu'il existe
La délicieuse Carla Bruni est devenue, sans le savoir, la messagère des consignes clandestines d'une avant-garde néo-islamiste réunie sous le nom de code «Veni, vidi, vici». Un réseau de croyants purs et durs répartis entre Lille, Strasbourg, Lyon, Marseille, Montpellier, Toulouse et Bordeaux. Tous passés par l'université, ils sont jeunes, intelligents et cyniques, bien placés à l'UOIF (Union des organisations islamiques de France) et souvent à l'association des Etudiants musulmans de France (EMF).
Au nom d'Allah, cette petite phalange influente et rompue aux jeux politiques a décidé d'investir les centres d'influence et de pouvoir de l'Hexagone. Un combat mené dans le plus grand secret. Avec le concours d'informaticiens de haut vol, leurs recommandations stratégiques et tactiques ont été camouflées à l'intérieur de copies pirates, sur mini-cédéroms numérotés, a priori insoupçonnables, du disque de Carla Bruni, Quelqu'un m'a dit. Il s'agit de 70 fiches ultraconfidentielles qui déclinent un à un les axes du combat. Seuls les militants les plus sûrs y ont accès. Au préalable, lors de discrets rendez-vous, on leur a confié les clefs du décryptage, dont huit mots à retrouver dans l'édition Folio de Paris, d'Emile Zola. L'Express a pu se les procurer, remonter le jeu de piste et accéder à la stratégie secrète des néo-islamistes.
Dès le préambule, la petite équipe affiche sa conviction d'avoir le vent en poupe: «Cette année 2002 fut, grâce à Allah, et grâce à vous, une année riche pour nous tous.» Elle s'attribue de nombreux succès. Il s'agit de l'entrée, par la grande porte, de l'UOIF au Conseil français du culte musulman, de l' «explosion» sur la scène universitaire des Etudiants musulmans de France, qui se targuent d'avoir déjà 39 élus dans les conseils d'université et de résidence, et de l'élection, grâce à la mobilisation d'associations islamistes, d'une dizaine de députés UMP. Le «didacticiel de formation» secrètement inséré dans le disque de Carla Bruni se veut un «recueil d'expériences» destiné à aider les militants «dans cette guerre de mouvement que nous engageons face à nos adversaires multiples».
Avez-vous entendu parler d'un complot islamiste en France ?
Et bien en regardant un article de l'Express et ben j'ai été étonné.
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NÉO-ISLAMISTES: STRATÉGIES POUR NOYAUTER LA RÉPUBLIQUE
Un réseau déjà bien implanté dans plusieurs grandes villes de France cherche à peser sur les lieux de pouvoir, des universités à l'UMP. L'Express s'est procuré son manuel de lobbying, dissimulé dans un cédérom pirate du disque... de Carla Bruni. Ultrasecret, ce mode d'emploi de l'entrisme est délivré aux cadres du réseau, une soixantaine d'initiés présents dans la mouvance des Etudiants musulmans de France (EMF) ou de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) - laquelle, par ailleurs, vient de réaliser un score significatif aux élections du Conseil français du culte musulman. Ce document, malgré sa ferveur et son triomphalisme, est intéressant par la froideur tactique, la volonté de puissance, l'habileté politique et la philosophie opportuniste qu'il affiche. Rien ne dit que ce prosélytisme religieux ait de l'avenir. Mais iI faut savoir qu'il existe
La délicieuse Carla Bruni est devenue, sans le savoir, la messagère des consignes clandestines d'une avant-garde néo-islamiste réunie sous le nom de code «Veni, vidi, vici». Un réseau de croyants purs et durs répartis entre Lille, Strasbourg, Lyon, Marseille, Montpellier, Toulouse et Bordeaux. Tous passés par l'université, ils sont jeunes, intelligents et cyniques, bien placés à l'UOIF (Union des organisations islamiques de France) et souvent à l'association des Etudiants musulmans de France (EMF).
Au nom d'Allah, cette petite phalange influente et rompue aux jeux politiques a décidé d'investir les centres d'influence et de pouvoir de l'Hexagone. Un combat mené dans le plus grand secret. Avec le concours d'informaticiens de haut vol, leurs recommandations stratégiques et tactiques ont été camouflées à l'intérieur de copies pirates, sur mini-cédéroms numérotés, a priori insoupçonnables, du disque de Carla Bruni, Quelqu'un m'a dit. Il s'agit de 70 fiches ultraconfidentielles qui déclinent un à un les axes du combat. Seuls les militants les plus sûrs y ont accès. Au préalable, lors de discrets rendez-vous, on leur a confié les clefs du décryptage, dont huit mots à retrouver dans l'édition Folio de Paris, d'Emile Zola. L'Express a pu se les procurer, remonter le jeu de piste et accéder à la stratégie secrète des néo-islamistes.
Dès le préambule, la petite équipe affiche sa conviction d'avoir le vent en poupe: «Cette année 2002 fut, grâce à Allah, et grâce à vous, une année riche pour nous tous.» Elle s'attribue de nombreux succès. Il s'agit de l'entrée, par la grande porte, de l'UOIF au Conseil français du culte musulman, de l' «explosion» sur la scène universitaire des Etudiants musulmans de France, qui se targuent d'avoir déjà 39 élus dans les conseils d'université et de résidence, et de l'élection, grâce à la mobilisation d'associations islamistes, d'une dizaine de députés UMP. Le «didacticiel de formation» secrètement inséré dans le disque de Carla Bruni se veut un «recueil d'expériences» destiné à aider les militants «dans cette guerre de mouvement que nous engageons face à nos adversaires multiples».