Grand format. les paysages extraordinaires de la comète tchouri

madalena

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Dans un endroit lointain, très lointain (510 millions de kilomètres), la sonde Rosetta continue d'observer la comète Tchouri et d'écrire une page de l'histoire spatiale. Alors que la revue "Science" publie le 23 janvier une pléiade d'études consacrées au corps céleste, focus sur les photos haute définition exceptionnelles diffusées par l'Agence spatiale européenne.



Comme de nombreuses images partagées par l'Agence spatiale européenne (ESA), celle-ci résulte de l'assemblage de quatre photos. Les prises de vue ont été réalisées à une vingtaine de kilomètres de Tchouri. On y voit les trois parties principales de la comète : le gros lobe (à gauche), le petit lobe (à droite), et le "cou" (au centre) reliant les deux extrémités. (ESA/Rosetta)

En zoomant sur l'image précédente, nous observons plus en détail la falaise de la région Hathor, à droite, qui surplombe une zone plus lisse de la région Hapi, sur le cou de la comète. En tout, les scientifiques ont déterminé 18 régions, toutes nommées d'après la mythologie égyptienne. (ESA/Rosetta)

Cette image composite montre 67P/Tchourioumov-Guérassimenko (c'est le nom officiel de la comète) dans son entier. Son diamètre mesure environ quatre kilomètres. (ESA/Rosetta)

Tchouri photographiée au téléobjectif par Rosetta, à huit kilomètres de distance. Ici, une section appartenant au plus petit des deux lobes. La présence de dunes étonne compte tenu de l'absence de vent. (ESA/Rosetta)

Cette image diffusée le 22 janvier montre une faille qui parcourt le cou de la comète et passe de la région Hapi à celle d'Anuket. (ESA/Rosetta)
 

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Également diffusée en janvier, cette photo a été surexposée afin de révéler les flux de gaz et de poussière qui s'échappent de Tchouri, essentiellement en provenance de son cou. (ESA/Rosetta)

Image composite à partir de quatre photos prises par Rosetta à 28 km de Tchouri du côté de la région d'Imhotep, sur le gros lobe. (ESA/Rosetta)

La partie plate au milieu et la zone escarpée en haut à droite constituent la région d'Imhotep. (ESA/Rosetta)

Gros plan sur la région d'Imhotep. Les photos prises par les systèmes de prise de vue Osiris et NAVCAM révèlent la complexité et la diversité de la géologie de Tchouri. (ESA/Rosetta)

Rapprochons-nous encore d'Imhotep : ce cliché dévoile notamment des zones plates situées à des hauteurs différentes, ainsi que des structures circulaires. (ESA/Rosetta)
 

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Des dépressions remplies de décombres visibles sur le gros lobe de Tchouri, le 25 octobre. Certains puits peuvent atteindre 100 mètres de profondeur. (ESA/Rosetta)

Image NAVCAM datant d'octobre 2014. Le cliché souligne le contraste entre la zone accidentée du côté du petit lobe et le terrain plus lisse qui caractérise le cou (au centre de l'image) et la région du grand lobe (premier plan). (ESA/Rosetta)

Sur le petit lobe et le cou de Tchouri, dans une image prise le 23 octobre. Selon les études publiées par "Science", la comète possède se révèle riche en matériaux organiques. (ESA/Rosetta)

Image prise le 8 janvier 2015 à 27,5 km de distance. Le petit lobe se situe à droite. Le cou de la comète, dont l'origine est encore inexpliquée, y apparaît de manière particulièrement lumineuse. (ESA/Rosetta)

Début novembre, Philae entre en action. Le petit atterrisseur s'est détaché de la sonde Rosetta et s'est dirigé vers le site indiqué par cette croix en haut de l'image, baptisé Agilkia. (ESA/Rosetta/Philae)
 

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Après une descente pleine de suspense, Philae a rebondi sur la comète, puis s'est retrouvé coincé entre deux falaises dans un endroit peu éclairé, l'empêchant d'exploiter ses capteurs solaires. Le robot s'est alors plongé dans une veille dont il sortira en mars, à la faveur d'une meilleure exposition. Avant de s'endormir, il a tout de même immortalisé la vue dont il jouit sur Tchouri. L'un de ses pieds est visible en bas à gauche de l'image. (ESA/Rosetta/Philae)


http://tempsreel.nouvelobs.com/gale...ges-extraordinaires-de-la-comete-tchouri.html
 

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Après une descente pleine de suspense, Philae a rebondi sur la comète, puis s'est retrouvé coincé entre deux falaises dans un endroit peu éclairé, l'empêchant d'exploiter ses capteurs solaires. Le robot s'est alors plongé dans une veille dont il sortira en mars, à la faveur d'une meilleure exposition. Avant de s'endormir, il a tout de même immortalisé la vue dont il jouit sur Tchouri. L'un de ses pieds est visible en bas à gauche de l'image. (ESA/Rosetta/Philae)
http://tempsreel.nouvelobs.com/gale...ges-extraordinaires-de-la-comete-tchouri.html
Je ressuscite ce thraed sur la comète

- Philae s'est réveillé sur la comète Tchouri:
7 mois d'hibernation et puis le réveil. Le robot de la mission Rosetta a donné un signe de vie dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 juin 2015. Une nouvelle que les scientifiques de l'ESA n'espéraient (presque) plus.

- Comment le robot Philae va-t-il se remettre au travail ?
Le petit engin, qui a atterri sur la comète en novembre, s'est réveillé après sept mois d'hypothermie. Et maintenant, que va-t-il se passer ? Un scientifique responsable d'une des fonctionnalités de Philae
 

Hibou57

Comme-même (tm)
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Une astronome dit que tout le monde essayait d’imaginer la forme de comète, et que personne ne s’attendait à finalement la voir avec la forme d’un canard de bain. Juste après, un astronome dit que c’est l’objet le plus excitant qu’on puisse imaginer. :joueur:

— Édit —

Il est joli, le logo animé du mot Comet.
 
Dernière édition:

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coucou @madalena,
La comète Tchouri libère du dioxygène !
Tchouri, la comète 67P/Churyumov–Gerasimenko, n'en finit pas d'émerveiller les astronomes. Après l'observation de la naissance d'un véritable bouclier magnétique à son approche du soleil, la découverte de molécules organiques complexes à sa surface, voici qu'une équipe internationale vient de mettre en évidence la présence d'oxygène moléculaire (O2) dans sa chevelure. Et pas qu'un peu : environ 3,8 % d'abondance relative par rapport à l'eau. "C'est vraiment beaucoup ! s'exclame Kathrin Altwegg, astrophysicienne à l'Université de Berne, en Suisse, et co-auteur de la publication dans le magazine nature, décrivant cette découverte. Cela a été une surprise ! On ne s'attendait pas du tout à trouver de l'oxygène moléculaire" poursuit la chercheuse. En effet, les précédentes études des gaz composant la chevelure des comètes font état de la présence de vapeur d'eau (consécutive à l'effet des radiations solaires sur la glace qui les compose), de monoxyde de carbone (CO) et de dioxyde de carbone (CO2). Ces trois composés représentent 95 % des molécules de la chevelure, le reste étant fait d'un vaste cocktail de composés sulfurés ou hydrocarbonés. Mais jusqu'à présent, jamais de dioxygène (O2).
 

madalena

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coucou @madalena,
La comète Tchouri libère du dioxygène !
Tchouri, la comète 67P/Churyumov–Gerasimenko, n'en finit pas d'émerveiller les astronomes. Après l'observation de la naissance d'un véritable bouclier magnétique à son approche du soleil, la découverte de molécules organiques complexes à sa surface, voici qu'une équipe internationale vient de mettre en évidence la présence d'oxygène moléculaire (O2) dans sa chevelure. Et pas qu'un peu : environ 3,8 % d'abondance relative par rapport à l'eau. "C'est vraiment beaucoup ! s'exclame Kathrin Altwegg, astrophysicienne à l'Université de Berne, en Suisse, et co-auteur de la publication dans le magazine nature, décrivant cette découverte. Cela a été une surprise ! On ne s'attendait pas du tout à trouver de l'oxygène moléculaire" poursuit la chercheuse. En effet, les précédentes études des gaz composant la chevelure des comètes font état de la présence de vapeur d'eau (consécutive à l'effet des radiations solaires sur la glace qui les compose), de monoxyde de carbone (CO) et de dioxyde de carbone (CO2). Ces trois composés représentent 95 % des molécules de la chevelure, le reste étant fait d'un vaste cocktail de composés sulfurés ou hydrocarbonés. Mais jusqu'à présent, jamais de dioxygène (O2).


salam

merci Uni pour ce rajout! lol
 

madalena

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