Guerrouj : je ne suis absolument pas concerné par cette affaire des chocolats

thitrite

Contributeur
Contributeur
Le ministre délégué à l’Education nationale Abdeladim Guerrouj a décidé de poursuivre e, justice le journal qui a publié l’information sur l’achat des fameux 3,5 Kgs de chocolat, car il considère que c’est là une atteinte à sa dignité et à sa réputation.

Dans un entretien accordé à Assabah , Abdeladim Guerrouj assure quel’information selon laquelle il aurait acheté ces chocolats aux frais du ministère de la Fonction publique dont il était en charge, et avant de le quitter, est dénuée de tout fondement, et que s’il avait temporisé avant de faire paraître son communiqué démentant les faits, c’est parce qu’il attendait que la vérité éclate et pour s’assurer que personne n’avait procédé à cette dépense en son nom.

Le ministre délégué à l’Education nationale insiste sur le fait qu’il ne souhaitait pas avoir recours à la justice, mais vu l’ampleur qu’ont prises les informations publiées à son sujet et les doutes émis sur son intégrité, il a finalement décidé d’ester, pour préserver sa dignité et non pas pour museler les autres ou porter atteinte à leur liberté de s’exprimer. En effet, estime Guerrouj, ce qui a été publié dépasse le cadre de la liberté d’opinion et nuit au ministre et à sa famille. Face à tout cela, le ministre délégué estime ne plus être en mesure de garder le silence.

Abdeladim Guerrouj précise qu’il a reçu le soutien solidaire de son parti, le MP, ainsi celui du chef du gouvernement. « Je n’ai rien à voir avec cette histoire de chocolats« , affirme le ministre, qui ajoute que c’est lui qui a demandé à son successeur à la Fonction publique Mohamed Moubdiî de diligenter une enquête interne pour s’enquérir des faits. Il voulait ainsi savoir l’exacte vérité car, précise-t-il, il ne peut être informé de tout ce qui est acheté par son ministère.

Aussi, l’enquête administrative a conclu que le ministère n’avait pas acheté de chocolat, et Guerrouj d’apporter la précision suivante : « Ma famille a bien acheté du chocolat, qu’elle a payé, à l’occasion d’un évènement familial« , brandissant une facture en guise de preuves de ses propos. Alors, s’interroge-t-il, quelles sont ces personnes qui veulent tant lui nuire ? Pour Guerrouj, une facture ne peut disparaître avec autant de facilité du ministère, car cela ne se passe pas avec cette facilité.

Le ministre délégué à l’Education nationale avoue n’avoir aucune idée sur l’identité des gens qui veulent s’en prendre à lui, mais il a peut-être une idée. Selon lui, plusieurs marchés avaient été passés quand il était ministre de la Fonction publique, et comme pour tout marché, il y a des gagnants et des perdants. C’est sans doute l’un de ceux-là qui voulait se venger de lui en sortant cette affaire des chocolats.

Interrogé sur un éventuel accord du chef du gouvernement pour qu’il aille en justice, Guerrouj affirme qu’il s’agit là d’une décision personnelle, une décision à laquelle Abdelilah Benkirane est totalement étranger, de même qu’il est étranger à toute instruction donnée à l’actuel ministre de la Fonction publique pour enquêter sur l’ancien, son prédécesseur.
 
Le ministre délégué à l’Education nationale Abdeladim Guerrouj a décidé de poursuivre e, justice le journal qui a publié l’information sur l’achat des fameux 3,5 Kgs de chocolat, car il considère que c’est là une atteinte à sa dignité et à sa réputation.

Dans un entretien accordé à Assabah , Abdeladim Guerrouj assure quel’information selon laquelle il aurait acheté ces chocolats aux frais du ministère de la Fonction publique dont il était en charge, et avant de le quitter, est dénuée de tout fondement, et que s’il avait temporisé avant de faire paraître son communiqué démentant les faits, c’est parce qu’il attendait que la vérité éclate et pour s’assurer que personne n’avait procédé à cette dépense en son nom.

Le ministre délégué à l’Education nationale insiste sur le fait qu’il ne souhaitait pas avoir recours à la justice, mais vu l’ampleur qu’ont prises les informations publiées à son sujet et les doutes émis sur son intégrité, il a finalement décidé d’ester, pour préserver sa dignité et non pas pour museler les autres ou porter atteinte à leur liberté de s’exprimer. En effet, estime Guerrouj, ce qui a été publié dépasse le cadre de la liberté d’opinion et nuit au ministre et à sa famille. Face à tout cela, le ministre délégué estime ne plus être en mesure de garder le silence.

Abdeladim Guerrouj précise qu’il a reçu le soutien solidaire de son parti, le MP, ainsi celui du chef du gouvernement. « Je n’ai rien à voir avec cette histoire de chocolats« , affirme le ministre, qui ajoute que c’est lui qui a demandé à son successeur à la Fonction publique Mohamed Moubdiî de diligenter une enquête interne pour s’enquérir des faits. Il voulait ainsi savoir l’exacte vérité car, précise-t-il, il ne peut être informé de tout ce qui est acheté par son ministère.

Aussi, l’enquête administrative a conclu que le ministère n’avait pas acheté de chocolat, et Guerrouj d’apporter la précision suivante : « Ma famille a bien acheté du chocolat, qu’elle a payé, à l’occasion d’un évènement familial« , brandissant une facture en guise de preuves de ses propos. Alors, s’interroge-t-il, quelles sont ces personnes qui veulent tant lui nuire ? Pour Guerrouj, une facture ne peut disparaître avec autant de facilité du ministère, car cela ne se passe pas avec cette facilité.

Le ministre délégué à l’Education nationale avoue n’avoir aucune idée sur l’identité des gens qui veulent s’en prendre à lui, mais il a peut-être une idée. Selon lui, plusieurs marchés avaient été passés quand il était ministre de la Fonction publique, et comme pour tout marché, il y a des gagnants et des perdants. C’est sans doute l’un de ceux-là qui voulait se venger de lui en sortant cette affaire des chocolats.

Interrogé sur un éventuel accord du chef du gouvernement pour qu’il aille en justice, Guerrouj affirme qu’il s’agit là d’une décision personnelle, une décision à laquelle Abdelilah Benkirane est totalement étranger, de même qu’il est étranger à toute instruction donnée à l’actuel ministre de la Fonction publique pour enquêter sur l’ancien, son prédécesseur.
La consultation de sa mère dans un hôpital public qu'il n'a pas voulu régler c'est aussi non vrai.Personne ne croit ce parasite parvenu.allah yen3al lli maye7chem :claque:
 
des peuves legdali , faut des preuves ! sinon ,il a le droit de porter plainte contre toi pour diffamation .;)
Ok dis lui de porter plainte contre moi ;)Mon avis sur un site reste un avis personnel à la lumière de ce que je lis comme tout le monde et donc c'est à lui qu' il appartient de prouver que les sites qui ont relaté l'information ont menti à son sujet.Parasite oui parce qu'il n'a pas réglé la facture d'un hôpital public ,ça il ne l'a pas nié et parvenu oui parce qu'il siège au sein de gouvernement ;)
 

Schtrouf

Demain aujourd'hui sera hier.
VIB
C'est Copé qui les a chouré et en a fait des pains... au chocolat, qu'il les distribuait à la sortie des écoles pendant le ramadan même s'il n'y avait pas école.
 
Haut