Selon des informations révélées par le quotidien Libération mardi 21 décembre, Thierry Henry et Nicolas Anelka n'ont pas paraphé l'accord prévu par le président de la Fédération française de football (FFF) Fernand Duchaussoy, le manager des Bleus Marino Faccioli et l'intendant Henri Emile par lequel les vingt-trois joueurs de l'équipe de France ayant participé à la Coupe du monde 2010 s'engagent à renoncer à leur prime, du fait de leur piètre prestation. Cet accord avait été annoncé le 16 novembre, à la veille d'un match amical France-Angleterre.
PAS D'AVENIR EN ÉQUIPE DE FRANCE
Libération rappelle à ce titre que le président de la FFF avait déjà indiqué, dans les pages de L'Equipe, que "certains joueurs souhaitaient conserver tout ou partie des sommes qui leur sont dues à l'issue de l'exercice 2009-2010 et qui sont réglées en fin d'année". M. Duchaussoy laissait par ailleurs entendre que tout joueur envisageant un avenir au sein des Bleus avait intérêt à renoncer à cette prime. Or Thierry Henry et Nicolas Anelka, en conflit ouvert avec la FFF, n'ont plus d'avenir au sein de l'équipe de France, souligne Libération.
La renonciation à ces primes doit toutefois être relativisée, tempère le journal. En effet, "les sommes en jeu de 130 000 à 150 000 euros selon les cas, soit moins d'un demi-mois de salaire [sont] dérisoires à l'échelle des fortunes amassées par les deux joueurs au fil des années".
Le Monde.fr
PAS D'AVENIR EN ÉQUIPE DE FRANCE
Libération rappelle à ce titre que le président de la FFF avait déjà indiqué, dans les pages de L'Equipe, que "certains joueurs souhaitaient conserver tout ou partie des sommes qui leur sont dues à l'issue de l'exercice 2009-2010 et qui sont réglées en fin d'année". M. Duchaussoy laissait par ailleurs entendre que tout joueur envisageant un avenir au sein des Bleus avait intérêt à renoncer à cette prime. Or Thierry Henry et Nicolas Anelka, en conflit ouvert avec la FFF, n'ont plus d'avenir au sein de l'équipe de France, souligne Libération.
La renonciation à ces primes doit toutefois être relativisée, tempère le journal. En effet, "les sommes en jeu de 130 000 à 150 000 euros selon les cas, soit moins d'un demi-mois de salaire [sont] dérisoires à l'échelle des fortunes amassées par les deux joueurs au fil des années".
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