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Histoire. Les minutes dun anniversaire sanglant
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[QUOTE="Erolisk, post: 5290224, member: 157401"] 18h10. M'hamed Ababou et le gros des troupes forcent l'état-major des FAR. Une simple formalité : le siège de l'armée tombe en moins de cinq minutes. “Au sein des Forces armées royales, personne n'est prêt à mourir pour Hassan II”, écrit Stephen Smith. M'hamed Ababou s'attribue le poste de chef d'état-major. “On est passés ensuite à l’infirmerie pour soigner Ababou”, se remémore un sous-officier. Entre-temps, Oufkir a fait appel à ses unités spéciales et donne l’ordre au général Bachir Bouhali, commandant des FAR, de reprendre l'état-major. “En sortant, nous nous sommes trouvés nez à nez avec Bachir Bouhali et ses militaires. Il avait aussi fait encercler la ville par les blindés et les parachutistes”, poursuit-il. “Tu vas te rendre, espèce de chien ?”, lance Bouhali à Ababou. Akka, homme de main du colonel putschiste, baroudeur qui a fait ses armes en Indochine, arrose le camp adverse avec son AK47. Bouhali tombe sous les balles, tandis que Ababou est à nouveau blessé. Touché grièvement, il demande à Akka de l'achever. 18h20. C'est la panique chez les cadets, privés de leur tête pensante. Mohamed Ababou s'enfuit, il sera arrêté lundi 12 juillet. 19h00. La BLS (Brigade légère de sécurité) et les fantassins du camp de Benslimane “nettoient” le dernier foyer putschiste. Plus de cent cadets tombent sous les balles, certains après s’être rendus. Oufkir fait arrêter Bougrine, Hammou, Habibi et Amahrech. 22h45. L'annonce radiophonique du putsch, qui, jusque-là, était diffusée à intervalle régulier, cesse. 23h30. Le général Oufkir informe Hassan II que tout est rentré dans l'ordre. Chat échaudé craignant l’eau froide, le roi ne se réfugie dans aucun de ses palais. Il s’installe sous haute protection dans sa villa, allée des Princesses dans le quartier Souissi. 1h15. Les Marocains apprennent l’échec du putsch sur les ondes nationales Par Youssef Ziraoui, Mehdi Sekkouri Alaoui et Ayla Mrabet Tel Quel [/QUOTE]
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