Une histoire magnifique qui touche les croyants :

llloubna

PSEUDO PARTAGE
Un homme appelé Abu Qudamah Ash-Shamy, qui a habité dans la Madinah du prophète Saws , a été connu pour son amour pour le Jihaad dans la cause d'Allâh Swt et sa participation aux expéditions à la terre des Romains. Un jour, tout en conversant avec certains de ses compagnons dans la Mosquée sainte du prophète Saws a Madinah, ils disaient: " O Abu Qudamah, informes nous au sujet de la chose la plus étonnante dont tu a été témoin dans le Jihaad ". Il a répondu:
Je suis une fois arrive dans la ville de Riqqa (en Irak) cherchant à acheter un chameau pour porter mes armes. Un jour, une femme s’est présentée là où je m'asseyais et dit: " O Abu Qudamah, j'écoutais ce que tu as mentionné au sujet du Jihaad et ton incitation pour que les musulmans le joignent. J'ai été béni avec plus de cheveux que beaucoup d'autres femmes; Je les ai coupés et en ai fait une rêne de cheval, et je l'ai couverte de poussière de sorte que personne ne puissent l'identifier. Je souhaite que tu la prennes avec toi, de sorte que quand vous arrivez à la terre des mécréants, et les cavaliers s'engagent dans la bataille, les flèches soient tirées, les épées soient dressées, et les lances soient sorties, soit tu l’utilises si tu en ressens le besoin ou tu la remets à celui qui en a besoin , car je souhaite que mes cheveux soient témoin de la bataille et soient couvert de poussière dans le sentier d'Allah Swt .

Je suis une femme veuve qui a eu un mari et un certain nombre de parents, qui ont tous été tués dans le chemin d'Allâh Swt ; J'aurais joint le Jihaad si il avais été prescrit pour moi." Elle me remis alors la rêne et dit: " O Abu Qudamah, saches que mon mari m'a laissé un fils qui est parmi le crème de la jeunesse: Il a appris le Qur'ân, l'art de l’épée, ainsi que le tir à l'arc; il prie la nuit et jeûne pendant le jour, et il a 15 ans. Il est actuellement parti à une propriété dont il a héritée de son père. Si tout va bien il reviendra avant votre départ, parce que je souhaite l’envoyer avec vous comme cadeau à Allâh l'Exalte et le plus haut. Et je vous demande par Allâh Swt que vous ne me privez pas de gagner les récompenses que je cherche."

Abu Qudamah dit: Je suis parti de Riqqa avec mes compagnons, quand j'ai entendu un cavalier crier par derrière: " O Abu Qudamah, attendez moi, Qu’ Allâh vous fasse miséricorde." !


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PSEUDO PARTAGE
SUITE :


Je me suis arrêté et j’ai dit à mes compagnons: Allez en avant tandis que je vérifie qui il est. Le cavalier m'a alors approché, m’a serre dans ses bras, et dit: " louange a Allâh Swt qui ne m'a pas prive de votre compagnie et ne m'a pas retourné en arrière déçu ". Je dis: " mon bien-aimé, laisses moi voir ton visage, car, s’il est impératif pour quelqu'un de ton âge de combattre, je te commanderais de nous joindre, autrement je te retournerais ". Quand il a découvert son visage, j'ai vu un jeune homme qui est comme une pleine lune (dans la beauté), et qui semble avoir vécu une vie riche.!

J'ai dit: " mon bien-aimé, as tu un père?" Il dit: " non, en fait je viens avec vous pour venger mon père qui est mort martyr, peut-être Allâh m'accordera le martyre comme il a accordé a mon père ". Je dis: " mon bien-aimé, as tu une mère?" " Oui ", il répondit. Je dis alors: " retourne alors lui demander la permission, si elle te permet d'aller alors reviens, autrement reste en arrière avec elle ". Le jeune homme dit: " O Abu Qudamah! Ne me reconnais tu pas?" " Non ", je répondis. Il dit: " je suis le fils de la femme a laquelle tu as donne la promesse . Comment as tu oublié la demande de ma mère aussi rapidement! Je suis - Insha ' Allâh- le fils martyr du martyr!

Je vous demande par Allâh de ne pas m'empêcher d'aller avec vous dans le chemin d'Allâh, car j’ai mémorise le livre d'Allâh, et ai la connaissance de la Sunnah du prophète, et je suis expérimenté dans l'équitation et le tir, et je n'ai pas laissé quelqu'un qui est un meilleur combattant que moi-même, alors ne me refoule pas pour mon jeune âge.
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Ma mère a pris un serment que je ne devrais pas revenir, et a dit!: ' O fils! Si vous rencontrez les mécréants, ne leur tourne pas le dos, et offre ton âme à Allâh Swt , et cherche à te rapprocher d'Allâh, et de la compagnie de ton père et de tes oncles vertueux dans le Paradis; et si Allâh t’accorde le martyre, alors intercède pour moi, car j'ai appris que le martyr peut intercéder en faveur de soixante-dix de ses parents et voisins.
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Elle me serra alors dans ses bras, lèva sa tête aux cieux et dit: ' mon seigneur, maître et Dieu, ceci est mon fils, la fleur de mon coeur et le plus cher à mon âme, je te l’offre, alors rapproches-le de son père '."


Quand j'ai entendu les mots du jeune, j'ai pleuré pour son bon caractère et la beauté de sa jeunesse, et par pitié pour le coeur de sa mère, et mon étonnement à sa patience a être loin de lui .

Nous avons continue notre voyage; nous nous sommes reposés à la tombée de la nuit, et avons décollé le matin. Pendant ce temps le jeune n'a pas cessé de se rappeler Allâh et le louer . J'ai observé ses mouvements, et ai constaté qu'il était meilleur que nous en montant , et notre domestique une fois que nous démontions. Pendant que nous étions de plus en plus près de l'ennemi, il renforçait notre détermination, son esprit se fortifiait, son coeur s’épurerait, et les signes du bonheur le couvraient.


Nous avons procédé jusqu'à ce que nous soyons près de la terre des Kuffars. le coucher du soleil était proche quand nous avons campe . Le jeune homme faisait cuire la nourriture pour que nous rompions notre jeune puis il s'endormi.


Il a dormi pendant longtemps, et je pouvais le voir sourire pendant son sommeil. Quand il s'est réveillé, j'ai lui ai dit: " mon bien-aimé, je t’ai vu sourire tandis que tu etait endormi.
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Il dit: " j'ai vu une vision que j'ai aimé et m'a fait sourire ". Je demandai : " qu’as tu vu ?" Il repondi : " je me suis vu dans un jardin vert élégant. Tout en y errant , j'ai fait face à un château argenté qui avait des balcons faits de perles et de bijoux. Ses portes etaient faites d'or, et ses rideaux etaient abaissés. J'ai alors vu des servantes, dont les visages étaient comme la lune (dans la beauté), soulevant les rideaux.
."
 

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SUITE ET FIN :

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En me voyant, elles dirent: ' bienvenue '. J'ai alors entendu certaines d'entre elles dire aux autres: ' c'est le mari ' de la Mardhiyyah ' (la bénie) '. Elles me dirent: ' Approche , qu’ Allâh te fasse misericorde '. Quand je me suis approché, j'ai vu une salle au dessus du château, faite d'or rouge, qui avait un lit vert fait de bijoux, et ses pieds d'argent blanc. Il y avait une fille sur le lit dont le visage était comme le soleil, et sans l'aide d'Allâh j'aurais perdu ma vue, et j'aurais perdu mon esprit, a cause du brillant de la salle, et la beauté de la fille.
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En me voyant, la fille m'a salué disant: ' Bienvenue, O serviteur d’Allâh et son bien-aimé! Tu es mienne et je suis à toi.' J'ai voulu l'étreindre, mais elle dit: ' ne te précipite pas, tu n’es pas de ceux qui font du tort. Cependant, nous nous réunirons demain à l'heure de la prière de Zuhur, Alors rejuis toi !'."

Abu Qudamah dit: Je lui ai alors dit: " mon bien-aimé, tu n’as vu que du bon, et bon il sera Insha ' Allâh."
Stupéfait du rêve du jeune, nous sommes allés dormir. Quand nous nous sommes réveillés, nous nous sommes précipités, monté nos chevaux, une voix s’ecria: " O cavaliers d’ Allâh! Montez vos chevaux, et rejuissez vous du paradis, ' Légers ou lourds, lancez-vous au combat ' [ Qur'ân, 9:41 ]."
Nous etions seulement a une heure de l'armée des Kufars, qu’ Allâh l'humilie, elle s’approchait comme si ils étaient des sauterelles eparpillees. Le premier d’entre nous a les attaquer était le jeune, qui les a dispersés, a dispersé leurs lignes, et plongé dans leurs rangs; il a tué plusieurs de leurs hommes, et a fait tomber leurs héros. Quand je l'ai vu faire ceci, je l’ai rattrapé, saisi la rêne de son cheval, et lui dit: Mon bien-aimé, retire toi! Tu es un jeune garçon qui est inexpérimenté dans la guerre.
Il a répondu: " O oncle ! N’as tu pas entendu les paroles d'Allâh Swt ' O vous qui croiyez! Quand vous rencontrez les mecreants dans la bataille, ne leur tournez point le dos ' souhaites tu que je rentre dans le feu de l'enfer?"

Tout en parlant, le Mushrikounes ont lancés une grande offensive, qui nous a disperse , et chacun de nous a dû s'occuper de lui-meme. Apres la bataille les tués étaient innombrables. Je circulais afin d'examiner les tués, dont le sang coulait sur le sol , et qui ne pouvaient pas être identifié a cause de la poussière et du sang qui ont couvert leurs visages.



Tout en inspectant , j'ai vu le jeune entre les sabots des chevaux, couverts de poussière et de sang; il disait: " O musulmans! Par Allâh, demandez a mon oncle Abu Qudamah de venir à moi!" En entendant ses pleures, j'ai couru vers lui. Je ne pouvais pas identifier son visage en raison du sang, et les marques des pieds des chevaux. Je dis: " je suis la , c’est Abu Qudamah ". Il dit: '" O oncle , par le seigneur de la Ka'bah, mon rêve est devenu realite . !

Je suis le fils du propriétaire de la rêne!" En entendant ceci, je me suis jeté sur lui, l’ai embrassé sur le front, essuyé la poussière et le sang de son visage, Je lui dis: O mon bien-aimé! N'oublie pas ton oncle Abu Qudamah, compte le parmi ceux pour lesquels tu intercederas en leur nom le jour du jugement! Il répondi: " les hommes de ton genre ne peuvent pas être oubliés!
Tu essuyes mon visage avec ta robe? Ma robe est plus digne de cela.


O oncle ! laisse la comme elle est, car je souhaite rencontrer Allâh dans cet état.
O Oncle ! La Hoor (fille du paradis) dont je t’ai parle est à mon chevet, attendant que mon âme se separe de mon corps, et elle me dit : Vite ! J’ai hate d’etre avec toi'

O Oncle ! Pour l’amour d’Allâh, s' il devait te retourner sans risque, porte mes vêtements souillés de mon sang à ma pauvre mère, affligée et triste, présente les lui, et dis lui: ' Allâh a accepté ton cadeau '." Il a alors souri et a dit: " je témoigne qu'il n'y a aucun dieu digne d’etre adore a part Allâh, Il n’a aucun associé ; Il a tenu sa promesse, et je témoigne que Muhammad est le serviteur et le messager d'Allâh

« Voila ce qu'Allâh et son messager nous avaient promis, et Allâh et son messager disaient la verite. »

Son âme a alors quitte son corps. Nous l'avons enterré avec ses vêtements, qu’Allâh soit satisfait de lui et de nous.
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Quand nous sommes retournés de notre expédition et sommes entrés dans la ville de Riqqa, Je me suis dirigé vers la maison de la mère du jeune homme.
Elle est sorti, et semblait très inquiéte. Je l'ai saluée, elle a répondu à mon Salam et a dit: " vous apportez des condoleances ou de bonnes nouvelles?" Expliquez à moi ce qui est une condoléance et ce qui est une bonne nouvelle pour vous, qu’ Allâh vous fasse misericorde , j'ai répondu :
 

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Elle dit: " si mon fils est revenu sain et sauf, alors vous apportez des condoleances. Cependant s' il a été tué dans le chemin d'Allâh, alors vous êtes porteur de bonnes nouvelles!" J'ai dit: Rejouissez vous, car Allâh a accepté votre cadeau!
En entendant ceci elle a pleuré et a dit: " il l'a accepté?"


J'ai dit: " Oui ."

Sur quoi elle a dit: " Louanges à Allâh Swt qui l'a épargné pour moi au jour du jugement
 
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